Bevezető
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2015. október Szövegértés 1.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2015. október Szövegértés 2.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2015. október Szövegértés 3.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2015. október Nyelvhelyesség 1.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2015. október Nyelvhelyesség 2.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2015. október Nyelvhelyesség 3.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2015. október Nyelvhelyesség 4.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2015. október Hallás utáni szövegértés 1.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2015. október Hallás utáni szövegértés 2.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2015. október Hallás utáni szövegértés 3.
0/0 Pont
Bevezető

Kedves érettségire készülők! 
 
Az alábbi feladatsort gyakorlásra szánjuk. A feladatoknál helyes válaszként mindig a legoptimálisabbat adjuk meg, ettől függetlenül az érettségin elképzelhető más elfogadható megoldás is. A technikai korlátok miatt elképzelhető, hogy egyes esetekben a helyes válaszotokat nem fogadja el a rendszer. A szabad szavas válaszoknál a mondatok végére nem kell pontot tenni, a kis- és nagybetűket nem különbözteti meg a rendszer, az ékezeteket azonban igen. Ha bármelyik feladattal kapcsolatban kérdésetek lenne, keressétek bizalommal az feladatsor összeállítóját a franciatanar0911[kukac]gmail[pont]com címen!
1. Mettez dans l’ordre les parties découpées du texte. Écrivez vos solutions dans les cases du tableau. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
 Ton activité ici: Mets en ordre les lettres!
A Après le café, elle insiste :
B Mon amie Carole travaille sur les Champs-Elysées
C Tant qu’on ne tourne pas la clé, la porte reste transparente
D De passage à Paris, je la retrouve pour déjeuner et elle m’emmène dans l’un de ses restos : la brasserie du Publicis Drugstore, près de l’Arc de triomphe
E « Il faut fermer à clé, Mademoiselle ! »
F Tu vas voir, le concept est dingue : assise sur les toilettes, tu vois les gens à l’extérieur comme si la porte était transparente. »
G Le fou rire de celle qui arrive derrière elle ne laisse plus de doute :
H Je confirme cinq minutes plus tard depuis le siège, c’est impressionnant
I Bizarre aussi : je jurerais que la fille qui attend après moi me voit pour de vrai, gênée
K « Ne pars pas avant d’avoir fait un tour aux toilettes
(Cosmopolitan)

B
I
A
C
F
K
H
G
E
D
2. Lisez le texte. Répontdez aux questions! La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Le cheval qui pensait 
 
À la fin du 19e siècle, un professeur de mathématiques allemand, Wilhelm von Osten a voulu prouver que l’intelligence animale était bien supérieure à ce qu’imaginaient les hommes. Pour tester son hypothèse, il a entrepris d’enseigner les maths à un groupe d’étudiants composé d’un chat, d’un ours et d’un cheval. Si les deux premiers sont restés hermétiques aux équations, le troisième a fait preuve de compétences étonnantes : quand von Osten écrivait un chiffre au tableau noir, le cheval était capable de le reproduire en tapant le nombre de coups correspondant avec son sabot. Et avec un peu d’entraînement, il est parvenu même à résoudre des problèmes élémentaires tels que des fractions ou des racines carrées. Le cheval s’appelait Hans, et il allait devenir l’un des phénomènes les plus célèbres de l’histoire de la science. À partir de 1891, von Osten a commencé à exhiber Hans pour faire la démonstration de ses facultés. Rebaptisé « Hans le malin », le cheval réunissait des foules toujours plus importantes lors de représentations gratuites. En plus de ses dons de calculateur, il était capable de lire et d’épeler des mots en tapant par exemple un coup pour A, deux coups pour B et ainsi de suite. Ce talent lui permettait de répondre à des questions simples, de donner le jour de la semaine, ou encore d’épeler le nom de personnes qu’il connaissait. Même s’il lui arrivait de se tromper, Hans donnait des réponses exactes la grande majorité du temps, et on estimait alors que ses capacités étaient comparables à celles d’un adolescent de 14 ans. Le phénomène est devenu si populaire que même le New York Times en a fait sa une. À ce stade, un comité de 13 scientifiques nommé « Commission Hans » a été constitué afin d’exposer une éventuelle supercherie. Le groupe, qui réunissait divers spécialistes, a commencé une longue série d’expérimentations. Contre toute attente, ils ont découvert que l’animal répondait correctement aux scientifiques même quand son maître n’était pas là, et ils ont fini par conclure que les facultés de Hans étaient authentiques. Le cas a été alors confié à un jeune psychologue, Oskar Pfungst, qui a décidé d’aborder le mystère sous un angle différent. Pour abriter ses expériences, Pfungst a érigé une grande tente, ce qui a supprimé les stimuli visuels extérieurs. Comme prévu, Hans a répondu correctement aux questions posées par von Osten, ainsi qu’à celles posées par d’autres interrogateurs. Mais Pfungst a fait deux découvertes capitales : lorsque les interrogateurs s’éloignaient du cheval pour poser leurs questions, ce dernier faisait davantage d’erreurs. Et quand ils ignoraient eux-mêmes la réponse à la question qu’ils posaient, Hans se trompait à chaque fois. Pfungst a compris alors que la clé ne venait pas du cheval, mais des humains : inconsciemment, ceux-ci modifiaient leur posture et l’expression de leur visage à mesure que les coups de Hans s’approchaient de la bonne réponse. Quand le résultat souhaité était atteint, la tension des expérimentateurs disparaissait et Hans le sentait à travers des signaux subtils que les hommes donnaient sans le vouloir. Cela expliquait pourquoi l’animal se trompait lorsque les questionneurs ignoraient la réponse aux questions : ils ne donnaient pas les indices nécessaires. Hans n’y connaissait donc rien en maths, mais il faisait preuve d’une sensibilité aiguë au langage corporel involontaire. Dans les années qui ont suivi, on a découvert que de nombreux animaux étaient capables de « lire » leurs maîtres de la même manière. Aujourd’hui, l’effet « Hans le malin » définit dans la psychologie les indices involontaires que l’on peut donner aux autres à travers notre corps. Avec un peu d’entraînement, certains hommes peuvent détecter ces signaux aussi bien qu’un animal, comme les mentalistes, qui exploitent ces messages inconscients pour donner l’illusion de pouvoirs psychiques. (www.axolot.info)


0 Quelle était la profession du maître de Hans ?   
10 Pourquoi Wilhelm von Osten a-t-il commencé à faire des expériences sur les animaux ? Pour prouver que    était supérieure à ce que   
11 De quelle manière Hans répondait-il aux questions de son maître ?   
12 Hans répondait aux questions simples de son maître. Qu’est-ce que il savait encore faire
devant le public ? Donnez trois exemples. 1.   
2.     de mathématiques 
3.   
13 À quelle fréquence Hans a-t-il donné de fausses réponses devant le public ?   
14 Pourquoi la « Commission Hans » a-t-elle été constituée ?   
15 Dans quelles circonstances Hans donnait-il plus souvent de mauvaises réponses ? Quand il ne voyait pas bien    et quand l’interrogateur    la bonne réponse 
16 Comment Pfungst expliquait-il les bons résultats de Hans ? Les interrogateurs émettaient    en attendant   
17 Est-ce que le cheval est le seul animal à avoir ce don exceptionnel ?   
18 Comment la psychologie moderne appelle-t-elle le phénomène découvert par Pfungst ?   
3. Lisez l’article ci-dessous. Ensuite, lisez les affirmations. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Cinq raisons de partir étudier en Irlande
 
     Chaque année, le pays d’Oscar Wilde accueille dans le cadre du programme Erasmus près de 1 300 étudiants français. Malgré la crise économique, l’Irlande reste l’un des pays les plus accueillants et les plus attirants de l’Union Européenne. Destination idéale pour suivre une formation de qualité en anglais, l’Irlande est également une terre accueillante où le coût de l’enseignement est bien moins élevé que chez son voisin britannique. 
 
     Les places en Angleterre, au Pays de Galles ou en Écosse sont chères, au propre comme au figuré, alors autant tenter sa chance en Irlande. Les études supérieures y sont découpées de la même façon en deux cycles, l’Undergraduate (de bac à bac+3/4) et le Post-graduate (à partir de bac+3/4). Les diplômes – le Bachelor (équivalent de notre licence), le master et le doctorat – sont identiques. 
 
      Vous pouvez vous rendre en Irlande pour progresser en anglais, mais sachez que les universités demandent un certificat avec un bon résultat aux tests de langue, entre 80 et 90 points sur 120 au TOEFL iBT (Test of English as a Foreign Language Internet-Based Testing), par exemple. 
 
      Le véritable atout de l’île reste la gratuité de la scolarité pour les étudiants européens en cycle Undergraduate, dans les établissements financés par l’État. Vous ne devrez régler que l’inscription administrative : 2 250 € (au maximum) pour les services et les examens. En revanche, le cycle Postgraduate est payant. 
 
      Tout cela ne vous concerne pas si vous étudiez dans le cadre d’un séjour Erasmus : vous payez alors le même tarif que pour une année universitaire en France. Selon le ministère de l’Éducation irlandais, il faut tout de même prévoir un budget annuel compris entre 7 500 et 12 000 € pour la vie quotidienne. 
 
      Peu d’heures de cours par semaine (une douzaine en moyenne), beaucoup de cas concrets, de travail personnel et de temps passé dans les bibliothèques (elles sont ouvertes jusqu’à 22h00 en semaine) : en Irlande, les méthodes pédagogiques diffèrent peu de celles des autres pays anglo-saxons mais sont bien différentes des méthodes françaises. 
 
      « Ici, la relation enseignant–étudiant est moins superficielle qu’en France. Il est plus facile de discuter, de prendre rendez-vous avec un professeur, de lui exposer les problèmes rencontrés », indique Kevin, étudiant français à Dublin City University. 
 
      En Irlande, il existe sept universités publiques et autonomes. L’une des plus célèbres est TCD (Trinity College Dublin), conçue sur les modèles d’Oxford et de Cambridge, et NUI (National University of Ireland). Sous forme d’unité fédérale, celle-ci regroupe les universités de Dublin, Cork, Galway et Maynooth, ainsi que des "colleges" spécialisés, tels le National College of Art and Design et le Royal College of Surgeons (médecine). 
 
      L’Irlande compte également cinq "colleges" d’éducation destinés aux futurs enseignants du primaire (pour le secondaire, il faut passer par l’université) et un certain nombre d’autres "colleges", privés, à visée professionnelle (art, commerce, tourisme...). 
 
      « A friendly, safe country. » C’est le premier argument invoqué par le ministère de l’Éducation irlandais pour attirer les étudiants étrangers. Environ 40 % de la population a moins de 25 ans. En fin de journée, surtout le vendredi, les pubs se remplissent. Il est rare d’y passer plus de cinq minutes sans entamer une conversation. « J’aime la simplicité des gens. Les Irlandais ont le cœur sur la main et n’hésitent pas à partager. Ils sont incroyablement gentils ! », ajoute Fanny, une étudiante de retour de Dublin. 
 
      (L’Étudiant)
19