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Kedves érettségire készülők! 
 
Az alábbi feladatsort gyakorlásra szánjuk. A feladatoknál helyes válaszként mindig a legoptimálisabbat adjuk meg, ettől függetlenül az érettségin elképzelhető más elfogadható megoldás is. A technikai korlátok miatt elképzelhető, hogy egyes esetekben a helyes válaszotokat nem fogadja el a rendszer. A szabad szavas válaszoknál a mondatok végére nem kell pontot tenni, a kis- és nagybetűket nem különbözteti meg a rendszer, az ékezeteket azonban igen. 
 
Ha bármelyik feladattal kapcsolatban kérdésetek lenne, keressétek bizalommal az feladatsor összeállítóját a franciatanar0911[kukac]gmail[pont]com címen!
1. Lisez le texte sur l’Orient-Express.  
ORIENT-EXPRESS : « TRAIN DES ROIS ET ROI DES TRAINS » 
 
     L’évocation de ce train de luxe qui a relié Paris à Constantinople (Istanbul), de 1883 à 1977, suffit à faire briller les yeux des voyageurs les plus blasés.
 
       L’aventure débute à Paris le 4 octobre 1883. Une foule compacte se presse sur les quais de la gare de Strasbourg, l’actuelle gare de l’Est. Journalistes, artistes, hommes politiques et quelques élégantes assistent au premier départ de l’Express d’Orient qui sera connu dans le monde entier, à partir de 1891, sous le nom d’« Orient-Express ». Les vingt-quatre voyageurs ne pouvaient être que des hommes. On les a priés de porter une arme de poing par mesure de sécurité car ils s’apprêtaient à traverser des contrées lointaines. Les cinq wagons de ce train inaugural roulent nuit et jour vers Bucarest. Hélas ! Le train doit interrompre sa course, faute d’avoir obtenu la permission de prendre le pont ferroviaire pour franchir le Danube. Mais tout a été prévu, et la traversée s’effectue sur un bateau. Elle aura lieu ainsi jusqu’en 1889. Les voyageurs sautent ensuite dans un train spécial en direction de la Bulgarie, puis embarquent sur les rives de la mer Noire, à Varna, à bord d’un navire à vapeur, l’Espero, qui les mène en une quinzaine d’heures jusqu’au Bosphore et à la capitale de l’Empire ottoman, Istanbul. 
 
     Ce train rend l’Orient accessible. Le périple de plus de trois mille kilomètres a duré moins de quatre jours, à une époque où la liaison maritime Marseille-Istanbul la plus rapide en nécessite quinze. 
 
     Mais, s’il traverse la vieille Europe des monarchies, le train mythique subit aussi les conséquences des bouleversements politiques. La Première Guerre Mondiale va avoir des répercussions immédiates sur sa circulation : elle est interrompue dès août 1914. Les années 1920 et 1930 marquent sa renaissance et son apogée. En 1919, après le percement du tunnel du Simplon dans les Alpes (1906), un nouveau parcours, plus court, est mis en place. Partis de Calais, les trains du Simplon-Orient-Express mettent à présent moins de deux jours et demi pour rejoindre Constantinople et Athènes. 
 
     La Seconde Guerre Mondiale, puis l’instauration du bloc de l’Est portent un coup fatal à l’expansion de l’Orient-Express qui assure cependant ses trajets jusqu’aux années 1970. Mais celui que l’on surnomme le « roi des trains et le train des rois » pourrait reprendre bientôt du service. Un projet auquel travaille la SNCF, propriétaire de plusieurs voitures classées monuments historiques.
1 L’Orient-Express est connu sous le même nom depuis 1883


Hamis
Igaz
1. Lisez le texte sur l’Orient-Express.  
ORIENT-EXPRESS : « TRAIN DES ROIS ET ROI DES TRAINS » 
 
     L’évocation de ce train de luxe qui a relié Paris à Constantinople (Istanbul), de 1883 à 1977, suffit à faire briller les yeux des voyageurs les plus blasés.
 
       L’aventure débute à Paris le 4 octobre 1883. Une foule compacte se presse sur les quais de la gare de Strasbourg, l’actuelle gare de l’Est. Journalistes, artistes, hommes politiques et quelques élégantes assistent au premier départ de l’Express d’Orient qui sera connu dans le monde entier, à partir de 1891, sous le nom d’« Orient-Express ». Les vingt-quatre voyageurs ne pouvaient être que des hommes. On les a priés de porter une arme de poing par mesure de sécurité car ils s’apprêtaient à traverser des contrées lointaines. Les cinq wagons de ce train inaugural roulent nuit et jour vers Bucarest. Hélas ! Le train doit interrompre sa course, faute d’avoir obtenu la permission de prendre le pont ferroviaire pour franchir le Danube. Mais tout a été prévu, et la traversée s’effectue sur un bateau. Elle aura lieu ainsi jusqu’en 1889. Les voyageurs sautent ensuite dans un train spécial en direction de la Bulgarie, puis embarquent sur les rives de la mer Noire, à Varna, à bord d’un navire à vapeur, l’Espero, qui les mène en une quinzaine d’heures jusqu’au Bosphore et à la capitale de l’Empire ottoman, Istanbul. 
 
     Ce train rend l’Orient accessible. Le périple de plus de trois mille kilomètres a duré moins de quatre jours, à une époque où la liaison maritime Marseille-Istanbul la plus rapide en nécessite quinze. 
 
     Mais, s’il traverse la vieille Europe des monarchies, le train mythique subit aussi les conséquences des bouleversements politiques. La Première Guerre Mondiale va avoir des répercussions immédiates sur sa circulation : elle est interrompue dès août 1914. Les années 1920 et 1930 marquent sa renaissance et son apogée. En 1919, après le percement du tunnel du Simplon dans les Alpes (1906), un nouveau parcours, plus court, est mis en place. Partis de Calais, les trains du Simplon-Orient-Express mettent à présent moins de deux jours et demi pour rejoindre Constantinople et Athènes. 
 
     La Seconde Guerre Mondiale, puis l’instauration du bloc de l’Est portent un coup fatal à l’expansion de l’Orient-Express qui assure cependant ses trajets jusqu’aux années 1970. Mais celui que l’on surnomme le « roi des trains et le train des rois » pourrait reprendre bientôt du service. Un projet auquel travaille la SNCF, propriétaire de plusieurs voitures classées monuments historiques.
2 Les premiers voyageurs n’ont dû satisfaire à aucune condition


Hamis
Igaz
1. Lisez le texte sur l’Orient-Express.  
ORIENT-EXPRESS : « TRAIN DES ROIS ET ROI DES TRAINS » 
 
     L’évocation de ce train de luxe qui a relié Paris à Constantinople (Istanbul), de 1883 à 1977, suffit à faire briller les yeux des voyageurs les plus blasés.
 
       L’aventure débute à Paris le 4 octobre 1883. Une foule compacte se presse sur les quais de la gare de Strasbourg, l’actuelle gare de l’Est. Journalistes, artistes, hommes politiques et quelques élégantes assistent au premier départ de l’Express d’Orient qui sera connu dans le monde entier, à partir de 1891, sous le nom d’« Orient-Express ». Les vingt-quatre voyageurs ne pouvaient être que des hommes. On les a priés de porter une arme de poing par mesure de sécurité car ils s’apprêtaient à traverser des contrées lointaines. Les cinq wagons de ce train inaugural roulent nuit et jour vers Bucarest. Hélas ! Le train doit interrompre sa course, faute d’avoir obtenu la permission de prendre le pont ferroviaire pour franchir le Danube. Mais tout a été prévu, et la traversée s’effectue sur un bateau. Elle aura lieu ainsi jusqu’en 1889. Les voyageurs sautent ensuite dans un train spécial en direction de la Bulgarie, puis embarquent sur les rives de la mer Noire, à Varna, à bord d’un navire à vapeur, l’Espero, qui les mène en une quinzaine d’heures jusqu’au Bosphore et à la capitale de l’Empire ottoman, Istanbul. 
 
     Ce train rend l’Orient accessible. Le périple de plus de trois mille kilomètres a duré moins de quatre jours, à une époque où la liaison maritime Marseille-Istanbul la plus rapide en nécessite quinze. 
 
     Mais, s’il traverse la vieille Europe des monarchies, le train mythique subit aussi les conséquences des bouleversements politiques. La Première Guerre Mondiale va avoir des répercussions immédiates sur sa circulation : elle est interrompue dès août 1914. Les années 1920 et 1930 marquent sa renaissance et son apogée. En 1919, après le percement du tunnel du Simplon dans les Alpes (1906), un nouveau parcours, plus court, est mis en place. Partis de Calais, les trains du Simplon-Orient-Express mettent à présent moins de deux jours et demi pour rejoindre Constantinople et Athènes. 
 
     La Seconde Guerre Mondiale, puis l’instauration du bloc de l’Est portent un coup fatal à l’expansion de l’Orient-Express qui assure cependant ses trajets jusqu’aux années 1970. Mais celui que l’on surnomme le « roi des trains et le train des rois » pourrait reprendre bientôt du service. Un projet auquel travaille la SNCF, propriétaire de plusieurs voitures classées monuments historiques.
3 Le voyage était considéré comme dangereux


Igaz
Hamis
1. Lisez le texte sur l’Orient-Express.  
ORIENT-EXPRESS : « TRAIN DES ROIS ET ROI DES TRAINS » 
 
     L’évocation de ce train de luxe qui a relié Paris à Constantinople (Istanbul), de 1883 à 1977, suffit à faire briller les yeux des voyageurs les plus blasés.
 
       L’aventure débute à Paris le 4 octobre 1883. Une foule compacte se presse sur les quais de la gare de Strasbourg, l’actuelle gare de l’Est. Journalistes, artistes, hommes politiques et quelques élégantes assistent au premier départ de l’Express d’Orient qui sera connu dans le monde entier, à partir de 1891, sous le nom d’« Orient-Express ». Les vingt-quatre voyageurs ne pouvaient être que des hommes. On les a priés de porter une arme de poing par mesure de sécurité car ils s’apprêtaient à traverser des contrées lointaines. Les cinq wagons de ce train inaugural roulent nuit et jour vers Bucarest. Hélas ! Le train doit interrompre sa course, faute d’avoir obtenu la permission de prendre le pont ferroviaire pour franchir le Danube. Mais tout a été prévu, et la traversée s’effectue sur un bateau. Elle aura lieu ainsi jusqu’en 1889. Les voyageurs sautent ensuite dans un train spécial en direction de la Bulgarie, puis embarquent sur les rives de la mer Noire, à Varna, à bord d’un navire à vapeur, l’Espero, qui les mène en une quinzaine d’heures jusqu’au Bosphore et à la capitale de l’Empire ottoman, Istanbul. 
 
     Ce train rend l’Orient accessible. Le périple de plus de trois mille kilomètres a duré moins de quatre jours, à une époque où la liaison maritime Marseille-Istanbul la plus rapide en nécessite quinze. 
 
     Mais, s’il traverse la vieille Europe des monarchies, le train mythique subit aussi les conséquences des bouleversements politiques. La Première Guerre Mondiale va avoir des répercussions immédiates sur sa circulation : elle est interrompue dès août 1914. Les années 1920 et 1930 marquent sa renaissance et son apogée. En 1919, après le percement du tunnel du Simplon dans les Alpes (1906), un nouveau parcours, plus court, est mis en place. Partis de Calais, les trains du Simplon-Orient-Express mettent à présent moins de deux jours et demi pour rejoindre Constantinople et Athènes. 
 
     La Seconde Guerre Mondiale, puis l’instauration du bloc de l’Est portent un coup fatal à l’expansion de l’Orient-Express qui assure cependant ses trajets jusqu’aux années 1970. Mais celui que l’on surnomme le « roi des trains et le train des rois » pourrait reprendre bientôt du service. Un projet auquel travaille la SNCF, propriétaire de plusieurs voitures classées monuments historiques.
4 Au début, pour traverser le Danube les voyageurs devaient prendre un bateau car il n’y avait pas de pont ferroviaire jusqu’en 1889


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Igaz
1. Lisez le texte sur l’Orient-Express.  
ORIENT-EXPRESS : « TRAIN DES ROIS ET ROI DES TRAINS » 
 
     L’évocation de ce train de luxe qui a relié Paris à Constantinople (Istanbul), de 1883 à 1977, suffit à faire briller les yeux des voyageurs les plus blasés.
 
       L’aventure débute à Paris le 4 octobre 1883. Une foule compacte se presse sur les quais de la gare de Strasbourg, l’actuelle gare de l’Est. Journalistes, artistes, hommes politiques et quelques élégantes assistent au premier départ de l’Express d’Orient qui sera connu dans le monde entier, à partir de 1891, sous le nom d’« Orient-Express ». Les vingt-quatre voyageurs ne pouvaient être que des hommes. On les a priés de porter une arme de poing par mesure de sécurité car ils s’apprêtaient à traverser des contrées lointaines. Les cinq wagons de ce train inaugural roulent nuit et jour vers Bucarest. Hélas ! Le train doit interrompre sa course, faute d’avoir obtenu la permission de prendre le pont ferroviaire pour franchir le Danube. Mais tout a été prévu, et la traversée s’effectue sur un bateau. Elle aura lieu ainsi jusqu’en 1889. Les voyageurs sautent ensuite dans un train spécial en direction de la Bulgarie, puis embarquent sur les rives de la mer Noire, à Varna, à bord d’un navire à vapeur, l’Espero, qui les mène en une quinzaine d’heures jusqu’au Bosphore et à la capitale de l’Empire ottoman, Istanbul. 
 
     Ce train rend l’Orient accessible. Le périple de plus de trois mille kilomètres a duré moins de quatre jours, à une époque où la liaison maritime Marseille-Istanbul la plus rapide en nécessite quinze. 
 
     Mais, s’il traverse la vieille Europe des monarchies, le train mythique subit aussi les conséquences des bouleversements politiques. La Première Guerre Mondiale va avoir des répercussions immédiates sur sa circulation : elle est interrompue dès août 1914. Les années 1920 et 1930 marquent sa renaissance et son apogée. En 1919, après le percement du tunnel du Simplon dans les Alpes (1906), un nouveau parcours, plus court, est mis en place. Partis de Calais, les trains du Simplon-Orient-Express mettent à présent moins de deux jours et demi pour rejoindre Constantinople et Athènes. 
 
     La Seconde Guerre Mondiale, puis l’instauration du bloc de l’Est portent un coup fatal à l’expansion de l’Orient-Express qui assure cependant ses trajets jusqu’aux années 1970. Mais celui que l’on surnomme le « roi des trains et le train des rois » pourrait reprendre bientôt du service. Un projet auquel travaille la SNCF, propriétaire de plusieurs voitures classées monuments historiques.
5 Les voyageurs arrivaient à Istanbul en train


Hamis
Igaz
1. Lisez le texte sur l’Orient-Express.  
ORIENT-EXPRESS : « TRAIN DES ROIS ET ROI DES TRAINS » 
 
     L’évocation de ce train de luxe qui a relié Paris à Constantinople (Istanbul), de 1883 à 1977, suffit à faire briller les yeux des voyageurs les plus blasés.
 
       L’aventure débute à Paris le 4 octobre 1883. Une foule compacte se presse sur les quais de la gare de Strasbourg, l’actuelle gare de l’Est. Journalistes, artistes, hommes politiques et quelques élégantes assistent au premier départ de l’Express d’Orient qui sera connu dans le monde entier, à partir de 1891, sous le nom d’« Orient-Express ». Les vingt-quatre voyageurs ne pouvaient être que des hommes. On les a priés de porter une arme de poing par mesure de sécurité car ils s’apprêtaient à traverser des contrées lointaines. Les cinq wagons de ce train inaugural roulent nuit et jour vers Bucarest. Hélas ! Le train doit interrompre sa course, faute d’avoir obtenu la permission de prendre le pont ferroviaire pour franchir le Danube. Mais tout a été prévu, et la traversée s’effectue sur un bateau. Elle aura lieu ainsi jusqu’en 1889. Les voyageurs sautent ensuite dans un train spécial en direction de la Bulgarie, puis embarquent sur les rives de la mer Noire, à Varna, à bord d’un navire à vapeur, l’Espero, qui les mène en une quinzaine d’heures jusqu’au Bosphore et à la capitale de l’Empire ottoman, Istanbul. 
 
     Ce train rend l’Orient accessible. Le périple de plus de trois mille kilomètres a duré moins de quatre jours, à une époque où la liaison maritime Marseille-Istanbul la plus rapide en nécessite quinze. 
 
     Mais, s’il traverse la vieille Europe des monarchies, le train mythique subit aussi les conséquences des bouleversements politiques. La Première Guerre Mondiale va avoir des répercussions immédiates sur sa circulation : elle est interrompue dès août 1914. Les années 1920 et 1930 marquent sa renaissance et son apogée. En 1919, après le percement du tunnel du Simplon dans les Alpes (1906), un nouveau parcours, plus court, est mis en place. Partis de Calais, les trains du Simplon-Orient-Express mettent à présent moins de deux jours et demi pour rejoindre Constantinople et Athènes. 
 
     La Seconde Guerre Mondiale, puis l’instauration du bloc de l’Est portent un coup fatal à l’expansion de l’Orient-Express qui assure cependant ses trajets jusqu’aux années 1970. Mais celui que l’on surnomme le « roi des trains et le train des rois » pourrait reprendre bientôt du service. Un projet auquel travaille la SNCF, propriétaire de plusieurs voitures classées monuments historiques.
6 Après la mise en circulation de l’Orient-Express, pour aller de France à Istanbul le moyen le plus rapide était de prendre le bateau


Hamis
Igaz
1. Lisez le texte sur l’Orient-Express.  
ORIENT-EXPRESS : « TRAIN DES ROIS ET ROI DES TRAINS » 
 
     L’évocation de ce train de luxe qui a relié Paris à Constantinople (Istanbul), de 1883 à 1977, suffit à faire briller les yeux des voyageurs les plus blasés.
 
       L’aventure débute à Paris le 4 octobre 1883. Une foule compacte se presse sur les quais de la gare de Strasbourg, l’actuelle gare de l’Est. Journalistes, artistes, hommes politiques et quelques élégantes assistent au premier départ de l’Express d’Orient qui sera connu dans le monde entier, à partir de 1891, sous le nom d’« Orient-Express ». Les vingt-quatre voyageurs ne pouvaient être que des hommes. On les a priés de porter une arme de poing par mesure de sécurité car ils s’apprêtaient à traverser des contrées lointaines. Les cinq wagons de ce train inaugural roulent nuit et jour vers Bucarest. Hélas ! Le train doit interrompre sa course, faute d’avoir obtenu la permission de prendre le pont ferroviaire pour franchir le Danube. Mais tout a été prévu, et la traversée s’effectue sur un bateau. Elle aura lieu ainsi jusqu’en 1889. Les voyageurs sautent ensuite dans un train spécial en direction de la Bulgarie, puis embarquent sur les rives de la mer Noire, à Varna, à bord d’un navire à vapeur, l’Espero, qui les mène en une quinzaine d’heures jusqu’au Bosphore et à la capitale de l’Empire ottoman, Istanbul. 
 
     Ce train rend l’Orient accessible. Le périple de plus de trois mille kilomètres a duré moins de quatre jours, à une époque où la liaison maritime Marseille-Istanbul la plus rapide en nécessite quinze. 
 
     Mais, s’il traverse la vieille Europe des monarchies, le train mythique subit aussi les conséquences des bouleversements politiques. La Première Guerre Mondiale va avoir des répercussions immédiates sur sa circulation : elle est interrompue dès août 1914. Les années 1920 et 1930 marquent sa renaissance et son apogée. En 1919, après le percement du tunnel du Simplon dans les Alpes (1906), un nouveau parcours, plus court, est mis en place. Partis de Calais, les trains du Simplon-Orient-Express mettent à présent moins de deux jours et demi pour rejoindre Constantinople et Athènes. 
 
     La Seconde Guerre Mondiale, puis l’instauration du bloc de l’Est portent un coup fatal à l’expansion de l’Orient-Express qui assure cependant ses trajets jusqu’aux années 1970. Mais celui que l’on surnomme le « roi des trains et le train des rois » pourrait reprendre bientôt du service. Un projet auquel travaille la SNCF, propriétaire de plusieurs voitures classées monuments historiques.
7 La circulation du train est suspendue pendant la Première Guerre Mondiale


Hamis
Igaz
1. Lisez le texte sur l’Orient-Express.  
ORIENT-EXPRESS : « TRAIN DES ROIS ET ROI DES TRAINS » 
 
     L’évocation de ce train de luxe qui a relié Paris à Constantinople (Istanbul), de 1883 à 1977, suffit à faire briller les yeux des voyageurs les plus blasés.
 
       L’aventure débute à Paris le 4 octobre 1883. Une foule compacte se presse sur les quais de la gare de Strasbourg, l’actuelle gare de l’Est. Journalistes, artistes, hommes politiques et quelques élégantes assistent au premier départ de l’Express d’Orient qui sera connu dans le monde entier, à partir de 1891, sous le nom d’« Orient-Express ». Les vingt-quatre voyageurs ne pouvaient être que des hommes. On les a priés de porter une arme de poing par mesure de sécurité car ils s’apprêtaient à traverser des contrées lointaines. Les cinq wagons de ce train inaugural roulent nuit et jour vers Bucarest. Hélas ! Le train doit interrompre sa course, faute d’avoir obtenu la permission de prendre le pont ferroviaire pour franchir le Danube. Mais tout a été prévu, et la traversée s’effectue sur un bateau. Elle aura lieu ainsi jusqu’en 1889. Les voyageurs sautent ensuite dans un train spécial en direction de la Bulgarie, puis embarquent sur les rives de la mer Noire, à Varna, à bord d’un navire à vapeur, l’Espero, qui les mène en une quinzaine d’heures jusqu’au Bosphore et à la capitale de l’Empire ottoman, Istanbul. 
 
     Ce train rend l’Orient accessible. Le périple de plus de trois mille kilomètres a duré moins de quatre jours, à une époque où la liaison maritime Marseille-Istanbul la plus rapide en nécessite quinze. 
 
     Mais, s’il traverse la vieille Europe des monarchies, le train mythique subit aussi les conséquences des bouleversements politiques. La Première Guerre Mondiale va avoir des répercussions immédiates sur sa circulation : elle est interrompue dès août 1914. Les années 1920 et 1930 marquent sa renaissance et son apogée. En 1919, après le percement du tunnel du Simplon dans les Alpes (1906), un nouveau parcours, plus court, est mis en place. Partis de Calais, les trains du Simplon-Orient-Express mettent à présent moins de deux jours et demi pour rejoindre Constantinople et Athènes. 
 
     La Seconde Guerre Mondiale, puis l’instauration du bloc de l’Est portent un coup fatal à l’expansion de l’Orient-Express qui assure cependant ses trajets jusqu’aux années 1970. Mais celui que l’on surnomme le « roi des trains et le train des rois » pourrait reprendre bientôt du service. Un projet auquel travaille la SNCF, propriétaire de plusieurs voitures classées monuments historiques.
8 La traversée souterraine des Alpes a permis de raccourcir le trajet


Hamis
Igaz
1. Lisez le texte sur l’Orient-Express.  
ORIENT-EXPRESS : « TRAIN DES ROIS ET ROI DES TRAINS » 
 
     L’évocation de ce train de luxe qui a relié Paris à Constantinople (Istanbul), de 1883 à 1977, suffit à faire briller les yeux des voyageurs les plus blasés.
 
       L’aventure débute à Paris le 4 octobre 1883. Une foule compacte se presse sur les quais de la gare de Strasbourg, l’actuelle gare de l’Est. Journalistes, artistes, hommes politiques et quelques élégantes assistent au premier départ de l’Express d’Orient qui sera connu dans le monde entier, à partir de 1891, sous le nom d’« Orient-Express ». Les vingt-quatre voyageurs ne pouvaient être que des hommes. On les a priés de porter une arme de poing par mesure de sécurité car ils s’apprêtaient à traverser des contrées lointaines. Les cinq wagons de ce train inaugural roulent nuit et jour vers Bucarest. Hélas ! Le train doit interrompre sa course, faute d’avoir obtenu la permission de prendre le pont ferroviaire pour franchir le Danube. Mais tout a été prévu, et la traversée s’effectue sur un bateau. Elle aura lieu ainsi jusqu’en 1889. Les voyageurs sautent ensuite dans un train spécial en direction de la Bulgarie, puis embarquent sur les rives de la mer Noire, à Varna, à bord d’un navire à vapeur, l’Espero, qui les mène en une quinzaine d’heures jusqu’au Bosphore et à la capitale de l’Empire ottoman, Istanbul. 
 
     Ce train rend l’Orient accessible. Le périple de plus de trois mille kilomètres a duré moins de quatre jours, à une époque où la liaison maritime Marseille-Istanbul la plus rapide en nécessite quinze. 
 
     Mais, s’il traverse la vieille Europe des monarchies, le train mythique subit aussi les conséquences des bouleversements politiques. La Première Guerre Mondiale va avoir des répercussions immédiates sur sa circulation : elle est interrompue dès août 1914. Les années 1920 et 1930 marquent sa renaissance et son apogée. En 1919, après le percement du tunnel du Simplon dans les Alpes (1906), un nouveau parcours, plus court, est mis en place. Partis de Calais, les trains du Simplon-Orient-Express mettent à présent moins de deux jours et demi pour rejoindre Constantinople et Athènes. 
 
     La Seconde Guerre Mondiale, puis l’instauration du bloc de l’Est portent un coup fatal à l’expansion de l’Orient-Express qui assure cependant ses trajets jusqu’aux années 1970. Mais celui que l’on surnomme le « roi des trains et le train des rois » pourrait reprendre bientôt du service. Un projet auquel travaille la SNCF, propriétaire de plusieurs voitures classées monuments historiques.
9 La SNCF voudrait remettre le train en service.


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1. Lisez le texte sur l’Orient-Express.  
ORIENT-EXPRESS : « TRAIN DES ROIS ET ROI DES TRAINS » 
 
     L’évocation de ce train de luxe qui a relié Paris à Constantinople (Istanbul), de 1883 à 1977, suffit à faire briller les yeux des voyageurs les plus blasés.
 
       L’aventure débute à Paris le 4 octobre 1883. Une foule compacte se presse sur les quais de la gare de Strasbourg, l’actuelle gare de l’Est. Journalistes, artistes, hommes politiques et quelques élégantes assistent au premier départ de l’Express d’Orient qui sera connu dans le monde entier, à partir de 1891, sous le nom d’« Orient-Express ». Les vingt-quatre voyageurs ne pouvaient être que des hommes. On les a priés de porter une arme de poing par mesure de sécurité car ils s’apprêtaient à traverser des contrées lointaines. Les cinq wagons de ce train inaugural roulent nuit et jour vers Bucarest. Hélas ! Le train doit interrompre sa course, faute d’avoir obtenu la permission de prendre le pont ferroviaire pour franchir le Danube. Mais tout a été prévu, et la traversée s’effectue sur un bateau. Elle aura lieu ainsi jusqu’en 1889. Les voyageurs sautent ensuite dans un train spécial en direction de la Bulgarie, puis embarquent sur les rives de la mer Noire, à Varna, à bord d’un navire à vapeur, l’Espero, qui les mène en une quinzaine d’heures jusqu’au Bosphore et à la capitale de l’Empire ottoman, Istanbul. 
 
     Ce train rend l’Orient accessible. Le périple de plus de trois mille kilomètres a duré moins de quatre jours, à une époque où la liaison maritime Marseille-Istanbul la plus rapide en nécessite quinze. 
 
     Mais, s’il traverse la vieille Europe des monarchies, le train mythique subit aussi les conséquences des bouleversements politiques. La Première Guerre Mondiale va avoir des répercussions immédiates sur sa circulation : elle est interrompue dès août 1914. Les années 1920 et 1930 marquent sa renaissance et son apogée. En 1919, après le percement du tunnel du Simplon dans les Alpes (1906), un nouveau parcours, plus court, est mis en place. Partis de Calais, les trains du Simplon-Orient-Express mettent à présent moins de deux jours et demi pour rejoindre Constantinople et Athènes. 
 
     La Seconde Guerre Mondiale, puis l’instauration du bloc de l’Est portent un coup fatal à l’expansion de l’Orient-Express qui assure cependant ses trajets jusqu’aux années 1970. Mais celui que l’on surnomme le « roi des trains et le train des rois » pourrait reprendre bientôt du service. Un projet auquel travaille la SNCF, propriétaire de plusieurs voitures classées monuments historiques.
0 L’Orient-Express était un train de luxe permettant de voyager de Paris à Istanbul


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2. Lisez le texte sur l’histoire de la crème solaire. Répondez aux questions.
LA FABULEUSE HISTOIRE DE LA CRÈME SOLAIRE 
 
     Produit fétiche de l’époque des premiers congés payés, la crème solaire n’a cessé de se développer. 
 
     La première huile solaire voit le jour en 1935. Eugène Schueller, chimiste et fondateur du groupe L’Oréal, est un mordu de voile qu’il pratique au large des côtes bretonnes, mais attrape régulièrement des coups de soleil. Il décide de tester des huiles à base d’olive, arachide, coco, vaseline pour se protéger contre les brûlures des rayons du soleil. 
 
     Ce sont les laboratoires de L’Oréal qui inventent la première huile avec un filtre protecteur. Son nom entrera dans l’inconscient collectif : « Ambre solaire ». Son nom évocateur de soleil, son parfum et sa couleur ambrée contribuent au succès du produit, de même que la forme de sa bouteille, crantée pour éviter qu’elle ne glisse entre les mains. Ce produit est commercialisé sur la Côte d’Azur en juin 1935, avant de se démocratiser dans toute la France en 1936, à l’époque des premiers congés payés.
 
      La presse féminine jouera un rôle clé dans l’expansion de la mode du bronzage. En 1937, le magazine Marie-Claire titre : « Brunir vite ». De la même façon, en 1945, Elle met en avant les produits solaires et les recettes pour prolonger le bronzage : « Votre teint de vacances s’en va… Retenez-le. » 
 
     À partir du début des années 50, un souci de santé fait son entrée dans la médecine moderne : les UVA et les UVB. Si le fait de brunir était devenu le « New cool » des sociétés blanches, l’industrie des crèmes de protection essaie de s’adapter à cette nouvelle découverte. Résultat : le premier écran haute protection est conçu en 1957, et le premier indice de protection est créé en 1962. 
 
     À partir des années 80, de nouvelles découvertes scientifiques ébranlent l’« industrie du bronzage ». Le constat est alarmant et concerne un lien entre l’exposition au soleil et le cancer de la peau, avec en prime le vieillissement prématuré de l’épiderme. Même l’Organisation mondiale de la santé préconise plusieurs consignes pour bronzer tôt en évitant les effets secondaires des rayons de soleil. En conséquence, les laits solaires deviennent composites avec des ingrédients plus farfelus. 
 
    Enfin, à l’heure des innovations biochimiques plus sophistiquées, des chercheurs britanniques travaillent sur la conception de pilules capables de protéger la peau pendant plusieurs semaines. La crème solaire risque de devenir l’ombre d’elle-même.


0 Qui était Eugène Schueller ? Il était    et    
10 Quel sport pratiquait Eugène Schueller ?   
11 Pourquoi voulait-il développer un produit contre le soleil ? Parce qu’il     
12 Pourquoi la première bouteille commercialisée avait-elle une forme spéciale ? Pour    
13 Pourquoi l’année 1936 était-elle importante pour les travailleurs en France ? C’était    
14 Quel a été le rôle de la presse féminine dans la commercialisation des crèmes solaires ?   
15 Qu’est-ce qui a poussé les laboratoires à inventer les premières crèmes solaires de haute
protection ?   
16 Qu’a-t-on découvert dans les années 80 ?   
17 Les crèmes solaires ont-elles un bel avenir devant elles ?   
18 Pourquoi ?   
3. Lisez le texte sur les grandes marques de chaussures de sport. Dites quelle affirmation correspond à quelle marque. 
 Adidas et Puma, deux frères… 
 
     C’est dans l’atelier familial que l’Allemand Adolf Dassler confectionne sa première chaussure de sport en 1920. Suite à une dispute entre lui et son frère Rudolf, l’entreprise est séparée en deux parts égales et deux sociétés nouvelles et indépendantes sont créées. Adolf rebaptise son entreprise Adidas, contraction de son surnom Adi et du début de son nom de famille. Adidas, « la marque aux trois bandes » reste l’une des dix marques les plus connues au monde ! 
 
      Son frère Rudolf, quant à lui, restera un important concurrent d’Adolf, en fondant de son côté la marque Puma... Il a choisi ce nom pour les capacités physiques auxquelles renvoie l’animal en question. Le logo est bien sûr cet animal. 
 
 Asics 
 
     a été créée en 1949 au Japon par Kihachiro Onitsuka. Il a d’abord eu l’idée de fabriquer des chaussures pour les équipes de basket. La marque provient des initiales de l’expression latine : « Anima Sana In Corpore Sano », qui peut se traduire par : « un esprit sain dans un corps sain ». Le credo de l’entreprise : « surmonter tous les obstacles et offrir aux sportifs du monde entier la possibilité de donner le meilleur d’eux-mêmes ». 
 
 Kalenji 
 
      est certainement la marque la plus portée par les coureurs. Chaussures, chaussettes, manchons, cuissards, tee-shirts, coupe-vents, gants, ceintures… Elle doit son nom à une tribu des hauts plateaux du Kenya : les Kalenjins, tribu dont sont issus nombre de vainqueurs et recordmen du Marathon. 
 
 Mizuno 
 
     a été créée à Osaka en 1906 par Rihachi Mizuno. Son activité d’alors consistait à revendre du matériel de baseball et de golf importé des États-Unis. M. Mizuno a beaucoup œuvré pour soutenir et promouvoir la pratique du baseball au Japon. Par la suite, c’est son fils Ken qui développe une offre dans le running. La Mizuno Wave date de 85 et elle est toujours en rayon aujourd’hui. À partir des années 80, Mizuno adopte un logo original qui représente un drôle d’oiseau vivant aux États-Unis, bien meilleur à la course qu’au vol, et portant le nom de « RunBird » ou « Géocoucou ». C’est le fameux Bip Bip des dessins animés de la Warner Bros qui court « à fond à fond » aux côtés de Coyote, tout en dégageant un nuage de poussière. 
 
      En 1964, Bill Bowerman et Phil Knight créent la marque de sport Blue Ribbon Sport. Quelques années plus tard, en 1971, ils changent de nom : ils adoptent le nom de la déesse grecque de la victoire Niké pour protéger leur marque. Nike est née. C’est à cette occasion qu’ils apposent pour la première fois la fameuse virgule sur une paire de chaussures. Appelé « swoosh », le logo a été acheté 35 dollars à une étudiante et représente l’aile de la dite déesse. 
 
 Reebok
 
      créée en 1956, tire son nom d’une des 26 sous-espèces d’antilope parmi les plus rapides au monde : la « Rhebok » (vivant en Afrique du Sud).
 
 Salomon 
 
 a été créée en 1947 à Annecy. L’entreprise porte le nom de son fondateur : Georges Salomon. Salomon s’est développée principalement grâce à l’innovation dans les équipements de ski. Elle a été rachetée par Adidas en 1997, puis revendue au groupe finlandais Amer Sports en 2005. L’entreprise doit son salut à une politique réussie de diversification et d’innovation. 
 
 Saucony 
 
 a été portée sur les fonts baptismaux par quatre hommes d’affaires pennsylvaniens en 1898. Le siège historique et les ateliers ont été installés au bord de la Saucony river. Saucony signifie en fait « à l’embouchure d’un ruisseau ». Le logo est d’ailleurs censé évoquer les ondulations de l’eau parmi les rochers. L’entreprise produit alors des chaussures classiques pour toute la famille : hommes, femmes, enfants. À la faveur de son rachat en 1968, l’entreprise entre sur le marché de la chaussure de course.
Son nom vient du nom de son fondateur