Bevezető
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Francia emelt érettségi 2021. október Szövegértés 1.
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Francia emelt érettségi 2021. október Szövegértés 2.
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Francia emelt érettségi 2021. október Szövegértés 3.
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Kedves érettségire készülők! 
 
Az alábbi feladatsort gyakorlásra szánjuk. A feladatoknál helyes válaszként mindig a legoptimálisabbat adjuk meg, ettől függetlenül az érettségin elképzelhető más elfogadható megoldás is. A technikai korlátok miatt elképzelhető, hogy egyes esetekben a helyes válaszotokat nem fogadja el a rendszer. A szabad szavas válaszoknál a mondatok végére nem kell pontot tenni, a kis- és nagybetűket nem különbözteti meg a rendszer, az ékezeteket azonban igen. 
 
Ha bármelyik feladattal kapcsolatban kérdésetek lenne, keressétek bizalommal az feladatsor összeállítóját a franciatanar0911[kukac]gmail[pont]com címen!
1. Lisez le texte sur le piment. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pourquoi le piment brûle la langue ? 
 
     Dans la catégorie des aliments « qui piquent », le piment est le numéro un. Plus fort que le poivre ou que la moutarde, il enflamme la bouche de son consommateur. Quelle substance en est responsable ? Et quels sont les moyens de soulager une bouche en feu ? 
 
     La sensation que le piment provoque en bouche ne laisse pas indifférent. La responsable ? La capsaïcine. Cette substance est présente en grande quantité dans les graines du piment mais aussi dans tout le fruit. C’est sa concentration qui détermine le « piquant » du piment. 
 
     En effet, la capsaïcine est irritante pour les cellules qui recouvrent les muqueuses de la bouche des mammifères. Les sensations de brûlures et les douleurs associées résultent de l’interaction chimique de cette substance avec les neurones sensoriels. Le cerveau l’interprète comme une brûlure, mais en réalité, rien ne brûle : la bouche ne se recouvre pas de cloques ! 
 
     Si la brûlure est illusoire, la sensation, elle, ne l’est pas. D’ailleurs, il existe même une échelle, dite de Scotville, qui donne le degré de « chaleur » d’un piment. Elle va de 0, neutre, à 10, explosif. La capsaïcine possède des propriétés intéressantes pour la médecine, notamment dans la lutte contre la douleur. 
 
     Avoir la bouche en feu, ce n’est pas dangereux, mais c’est désagréable. Et inutile de se rincer avec de l’eau : la capsaïcine est insoluble dans ce liquide. En revanche, elle se dissout dans le gras. Seule remède : il faut consommer une substance à base de caséine, une phosphoprotéine. Le lait reste le produit le plus disponible, mais les crèmes glacées ou le fromage sont aussi efficaces. 
 
     La capsaïcine est aussi l’ingrédient actif dans les bombes lacrymogènes. Quand les gouttelettes entrent en contact avec les yeux, c’est très douloureux ! Donc si vous manipulez des piments « explosifs », ne vous frottez pas les yeux !
1 C’est à cause du piment que la moutarde ou le poivre piquent


Igaz
Hamis
1. Lisez le texte sur le piment. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pourquoi le piment brûle la langue ? 
 
     Dans la catégorie des aliments « qui piquent », le piment est le numéro un. Plus fort que le poivre ou que la moutarde, il enflamme la bouche de son consommateur. Quelle substance en est responsable ? Et quels sont les moyens de soulager une bouche en feu ? 
 
     La sensation que le piment provoque en bouche ne laisse pas indifférent. La responsable ? La capsaïcine. Cette substance est présente en grande quantité dans les graines du piment mais aussi dans tout le fruit. C’est sa concentration qui détermine le « piquant » du piment. 
 
     En effet, la capsaïcine est irritante pour les cellules qui recouvrent les muqueuses de la bouche des mammifères. Les sensations de brûlures et les douleurs associées résultent de l’interaction chimique de cette substance avec les neurones sensoriels. Le cerveau l’interprète comme une brûlure, mais en réalité, rien ne brûle : la bouche ne se recouvre pas de cloques ! 
 
     Si la brûlure est illusoire, la sensation, elle, ne l’est pas. D’ailleurs, il existe même une échelle, dite de Scotville, qui donne le degré de « chaleur » d’un piment. Elle va de 0, neutre, à 10, explosif. La capsaïcine possède des propriétés intéressantes pour la médecine, notamment dans la lutte contre la douleur. 
 
     Avoir la bouche en feu, ce n’est pas dangereux, mais c’est désagréable. Et inutile de se rincer avec de l’eau : la capsaïcine est insoluble dans ce liquide. En revanche, elle se dissout dans le gras. Seule remède : il faut consommer une substance à base de caséine, une phosphoprotéine. Le lait reste le produit le plus disponible, mais les crèmes glacées ou le fromage sont aussi efficaces. 
 
     La capsaïcine est aussi l’ingrédient actif dans les bombes lacrymogènes. Quand les gouttelettes entrent en contact avec les yeux, c’est très douloureux ! Donc si vous manipulez des piments « explosifs », ne vous frottez pas les yeux !
2 On trouve de la capsaïcine dans tous les fruits


Hamis
Igaz
1. Lisez le texte sur le piment. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pourquoi le piment brûle la langue ? 
 
     Dans la catégorie des aliments « qui piquent », le piment est le numéro un. Plus fort que le poivre ou que la moutarde, il enflamme la bouche de son consommateur. Quelle substance en est responsable ? Et quels sont les moyens de soulager une bouche en feu ? 
 
     La sensation que le piment provoque en bouche ne laisse pas indifférent. La responsable ? La capsaïcine. Cette substance est présente en grande quantité dans les graines du piment mais aussi dans tout le fruit. C’est sa concentration qui détermine le « piquant » du piment. 
 
     En effet, la capsaïcine est irritante pour les cellules qui recouvrent les muqueuses de la bouche des mammifères. Les sensations de brûlures et les douleurs associées résultent de l’interaction chimique de cette substance avec les neurones sensoriels. Le cerveau l’interprète comme une brûlure, mais en réalité, rien ne brûle : la bouche ne se recouvre pas de cloques ! 
 
     Si la brûlure est illusoire, la sensation, elle, ne l’est pas. D’ailleurs, il existe même une échelle, dite de Scotville, qui donne le degré de « chaleur » d’un piment. Elle va de 0, neutre, à 10, explosif. La capsaïcine possède des propriétés intéressantes pour la médecine, notamment dans la lutte contre la douleur. 
 
     Avoir la bouche en feu, ce n’est pas dangereux, mais c’est désagréable. Et inutile de se rincer avec de l’eau : la capsaïcine est insoluble dans ce liquide. En revanche, elle se dissout dans le gras. Seule remède : il faut consommer une substance à base de caséine, une phosphoprotéine. Le lait reste le produit le plus disponible, mais les crèmes glacées ou le fromage sont aussi efficaces. 
 
     La capsaïcine est aussi l’ingrédient actif dans les bombes lacrymogènes. Quand les gouttelettes entrent en contact avec les yeux, c’est très douloureux ! Donc si vous manipulez des piments « explosifs », ne vous frottez pas les yeux !
3 Plus il y a de la capsaïcine dans le piment, plus il pique


Hamis
Igaz
1. Lisez le texte sur le piment. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pourquoi le piment brûle la langue ? 
 
     Dans la catégorie des aliments « qui piquent », le piment est le numéro un. Plus fort que le poivre ou que la moutarde, il enflamme la bouche de son consommateur. Quelle substance en est responsable ? Et quels sont les moyens de soulager une bouche en feu ? 
 
     La sensation que le piment provoque en bouche ne laisse pas indifférent. La responsable ? La capsaïcine. Cette substance est présente en grande quantité dans les graines du piment mais aussi dans tout le fruit. C’est sa concentration qui détermine le « piquant » du piment. 
 
     En effet, la capsaïcine est irritante pour les cellules qui recouvrent les muqueuses de la bouche des mammifères. Les sensations de brûlures et les douleurs associées résultent de l’interaction chimique de cette substance avec les neurones sensoriels. Le cerveau l’interprète comme une brûlure, mais en réalité, rien ne brûle : la bouche ne se recouvre pas de cloques ! 
 
     Si la brûlure est illusoire, la sensation, elle, ne l’est pas. D’ailleurs, il existe même une échelle, dite de Scotville, qui donne le degré de « chaleur » d’un piment. Elle va de 0, neutre, à 10, explosif. La capsaïcine possède des propriétés intéressantes pour la médecine, notamment dans la lutte contre la douleur. 
 
     Avoir la bouche en feu, ce n’est pas dangereux, mais c’est désagréable. Et inutile de se rincer avec de l’eau : la capsaïcine est insoluble dans ce liquide. En revanche, elle se dissout dans le gras. Seule remède : il faut consommer une substance à base de caséine, une phosphoprotéine. Le lait reste le produit le plus disponible, mais les crèmes glacées ou le fromage sont aussi efficaces. 
 
     La capsaïcine est aussi l’ingrédient actif dans les bombes lacrymogènes. Quand les gouttelettes entrent en contact avec les yeux, c’est très douloureux ! Donc si vous manipulez des piments « explosifs », ne vous frottez pas les yeux !
4 La capsaïcine se trouve dans la bouche de tous les mammifères


Igaz
Hamis
1. Lisez le texte sur le piment. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pourquoi le piment brûle la langue ? 
 
     Dans la catégorie des aliments « qui piquent », le piment est le numéro un. Plus fort que le poivre ou que la moutarde, il enflamme la bouche de son consommateur. Quelle substance en est responsable ? Et quels sont les moyens de soulager une bouche en feu ? 
 
     La sensation que le piment provoque en bouche ne laisse pas indifférent. La responsable ? La capsaïcine. Cette substance est présente en grande quantité dans les graines du piment mais aussi dans tout le fruit. C’est sa concentration qui détermine le « piquant » du piment. 
 
     En effet, la capsaïcine est irritante pour les cellules qui recouvrent les muqueuses de la bouche des mammifères. Les sensations de brûlures et les douleurs associées résultent de l’interaction chimique de cette substance avec les neurones sensoriels. Le cerveau l’interprète comme une brûlure, mais en réalité, rien ne brûle : la bouche ne se recouvre pas de cloques ! 
 
     Si la brûlure est illusoire, la sensation, elle, ne l’est pas. D’ailleurs, il existe même une échelle, dite de Scotville, qui donne le degré de « chaleur » d’un piment. Elle va de 0, neutre, à 10, explosif. La capsaïcine possède des propriétés intéressantes pour la médecine, notamment dans la lutte contre la douleur. 
 
     Avoir la bouche en feu, ce n’est pas dangereux, mais c’est désagréable. Et inutile de se rincer avec de l’eau : la capsaïcine est insoluble dans ce liquide. En revanche, elle se dissout dans le gras. Seule remède : il faut consommer une substance à base de caséine, une phosphoprotéine. Le lait reste le produit le plus disponible, mais les crèmes glacées ou le fromage sont aussi efficaces. 
 
     La capsaïcine est aussi l’ingrédient actif dans les bombes lacrymogènes. Quand les gouttelettes entrent en contact avec les yeux, c’est très douloureux ! Donc si vous manipulez des piments « explosifs », ne vous frottez pas les yeux !
5 Derrière la sensation « ça pique », il y a un phénomène chimique


Hamis
Igaz
1. Lisez le texte sur le piment. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pourquoi le piment brûle la langue ? 
 
     Dans la catégorie des aliments « qui piquent », le piment est le numéro un. Plus fort que le poivre ou que la moutarde, il enflamme la bouche de son consommateur. Quelle substance en est responsable ? Et quels sont les moyens de soulager une bouche en feu ? 
 
     La sensation que le piment provoque en bouche ne laisse pas indifférent. La responsable ? La capsaïcine. Cette substance est présente en grande quantité dans les graines du piment mais aussi dans tout le fruit. C’est sa concentration qui détermine le « piquant » du piment. 
 
     En effet, la capsaïcine est irritante pour les cellules qui recouvrent les muqueuses de la bouche des mammifères. Les sensations de brûlures et les douleurs associées résultent de l’interaction chimique de cette substance avec les neurones sensoriels. Le cerveau l’interprète comme une brûlure, mais en réalité, rien ne brûle : la bouche ne se recouvre pas de cloques ! 
 
     Si la brûlure est illusoire, la sensation, elle, ne l’est pas. D’ailleurs, il existe même une échelle, dite de Scotville, qui donne le degré de « chaleur » d’un piment. Elle va de 0, neutre, à 10, explosif. La capsaïcine possède des propriétés intéressantes pour la médecine, notamment dans la lutte contre la douleur. 
 
     Avoir la bouche en feu, ce n’est pas dangereux, mais c’est désagréable. Et inutile de se rincer avec de l’eau : la capsaïcine est insoluble dans ce liquide. En revanche, elle se dissout dans le gras. Seule remède : il faut consommer une substance à base de caséine, une phosphoprotéine. Le lait reste le produit le plus disponible, mais les crèmes glacées ou le fromage sont aussi efficaces. 
 
     La capsaïcine est aussi l’ingrédient actif dans les bombes lacrymogènes. Quand les gouttelettes entrent en contact avec les yeux, c’est très douloureux ! Donc si vous manipulez des piments « explosifs », ne vous frottez pas les yeux !
6 Notre cerveau se trompe quand il croit qu’il y a une brûlure dans notre bouche


Hamis
Igaz
1. Lisez le texte sur le piment. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pourquoi le piment brûle la langue ? 
 
     Dans la catégorie des aliments « qui piquent », le piment est le numéro un. Plus fort que le poivre ou que la moutarde, il enflamme la bouche de son consommateur. Quelle substance en est responsable ? Et quels sont les moyens de soulager une bouche en feu ? 
 
     La sensation que le piment provoque en bouche ne laisse pas indifférent. La responsable ? La capsaïcine. Cette substance est présente en grande quantité dans les graines du piment mais aussi dans tout le fruit. C’est sa concentration qui détermine le « piquant » du piment. 
 
     En effet, la capsaïcine est irritante pour les cellules qui recouvrent les muqueuses de la bouche des mammifères. Les sensations de brûlures et les douleurs associées résultent de l’interaction chimique de cette substance avec les neurones sensoriels. Le cerveau l’interprète comme une brûlure, mais en réalité, rien ne brûle : la bouche ne se recouvre pas de cloques ! 
 
     Si la brûlure est illusoire, la sensation, elle, ne l’est pas. D’ailleurs, il existe même une échelle, dite de Scotville, qui donne le degré de « chaleur » d’un piment. Elle va de 0, neutre, à 10, explosif. La capsaïcine possède des propriétés intéressantes pour la médecine, notamment dans la lutte contre la douleur. 
 
     Avoir la bouche en feu, ce n’est pas dangereux, mais c’est désagréable. Et inutile de se rincer avec de l’eau : la capsaïcine est insoluble dans ce liquide. En revanche, elle se dissout dans le gras. Seule remède : il faut consommer une substance à base de caséine, une phosphoprotéine. Le lait reste le produit le plus disponible, mais les crèmes glacées ou le fromage sont aussi efficaces. 
 
     La capsaïcine est aussi l’ingrédient actif dans les bombes lacrymogènes. Quand les gouttelettes entrent en contact avec les yeux, c’est très douloureux ! Donc si vous manipulez des piments « explosifs », ne vous frottez pas les yeux !
7 La capsaïcine est utilisée dans les soins contre la douleur


Igaz
Hamis
1. Lisez le texte sur le piment. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pourquoi le piment brûle la langue ? 
 
     Dans la catégorie des aliments « qui piquent », le piment est le numéro un. Plus fort que le poivre ou que la moutarde, il enflamme la bouche de son consommateur. Quelle substance en est responsable ? Et quels sont les moyens de soulager une bouche en feu ? 
 
     La sensation que le piment provoque en bouche ne laisse pas indifférent. La responsable ? La capsaïcine. Cette substance est présente en grande quantité dans les graines du piment mais aussi dans tout le fruit. C’est sa concentration qui détermine le « piquant » du piment. 
 
     En effet, la capsaïcine est irritante pour les cellules qui recouvrent les muqueuses de la bouche des mammifères. Les sensations de brûlures et les douleurs associées résultent de l’interaction chimique de cette substance avec les neurones sensoriels. Le cerveau l’interprète comme une brûlure, mais en réalité, rien ne brûle : la bouche ne se recouvre pas de cloques ! 
 
     Si la brûlure est illusoire, la sensation, elle, ne l’est pas. D’ailleurs, il existe même une échelle, dite de Scotville, qui donne le degré de « chaleur » d’un piment. Elle va de 0, neutre, à 10, explosif. La capsaïcine possède des propriétés intéressantes pour la médecine, notamment dans la lutte contre la douleur. 
 
     Avoir la bouche en feu, ce n’est pas dangereux, mais c’est désagréable. Et inutile de se rincer avec de l’eau : la capsaïcine est insoluble dans ce liquide. En revanche, elle se dissout dans le gras. Seule remède : il faut consommer une substance à base de caséine, une phosphoprotéine. Le lait reste le produit le plus disponible, mais les crèmes glacées ou le fromage sont aussi efficaces. 
 
     La capsaïcine est aussi l’ingrédient actif dans les bombes lacrymogènes. Quand les gouttelettes entrent en contact avec les yeux, c’est très douloureux ! Donc si vous manipulez des piments « explosifs », ne vous frottez pas les yeux !
8 Le piquant peut causer des brûlures graves


Hamis
Igaz
1. Lisez le texte sur le piment. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pourquoi le piment brûle la langue ? 
 
     Dans la catégorie des aliments « qui piquent », le piment est le numéro un. Plus fort que le poivre ou que la moutarde, il enflamme la bouche de son consommateur. Quelle substance en est responsable ? Et quels sont les moyens de soulager une bouche en feu ? 
 
     La sensation que le piment provoque en bouche ne laisse pas indifférent. La responsable ? La capsaïcine. Cette substance est présente en grande quantité dans les graines du piment mais aussi dans tout le fruit. C’est sa concentration qui détermine le « piquant » du piment. 
 
     En effet, la capsaïcine est irritante pour les cellules qui recouvrent les muqueuses de la bouche des mammifères. Les sensations de brûlures et les douleurs associées résultent de l’interaction chimique de cette substance avec les neurones sensoriels. Le cerveau l’interprète comme une brûlure, mais en réalité, rien ne brûle : la bouche ne se recouvre pas de cloques ! 
 
     Si la brûlure est illusoire, la sensation, elle, ne l’est pas. D’ailleurs, il existe même une échelle, dite de Scotville, qui donne le degré de « chaleur » d’un piment. Elle va de 0, neutre, à 10, explosif. La capsaïcine possède des propriétés intéressantes pour la médecine, notamment dans la lutte contre la douleur. 
 
     Avoir la bouche en feu, ce n’est pas dangereux, mais c’est désagréable. Et inutile de se rincer avec de l’eau : la capsaïcine est insoluble dans ce liquide. En revanche, elle se dissout dans le gras. Seule remède : il faut consommer une substance à base de caséine, une phosphoprotéine. Le lait reste le produit le plus disponible, mais les crèmes glacées ou le fromage sont aussi efficaces. 
 
     La capsaïcine est aussi l’ingrédient actif dans les bombes lacrymogènes. Quand les gouttelettes entrent en contact avec les yeux, c’est très douloureux ! Donc si vous manipulez des piments « explosifs », ne vous frottez pas les yeux !
9 Il faut boire de l’eau pour apaiser la sensation de piquant


Igaz
Hamis
1. Lisez le texte sur le piment. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pourquoi le piment brûle la langue ? 
 
     Dans la catégorie des aliments « qui piquent », le piment est le numéro un. Plus fort que le poivre ou que la moutarde, il enflamme la bouche de son consommateur. Quelle substance en est responsable ? Et quels sont les moyens de soulager une bouche en feu ? 
 
     La sensation que le piment provoque en bouche ne laisse pas indifférent. La responsable ? La capsaïcine. Cette substance est présente en grande quantité dans les graines du piment mais aussi dans tout le fruit. C’est sa concentration qui détermine le « piquant » du piment. 
 
     En effet, la capsaïcine est irritante pour les cellules qui recouvrent les muqueuses de la bouche des mammifères. Les sensations de brûlures et les douleurs associées résultent de l’interaction chimique de cette substance avec les neurones sensoriels. Le cerveau l’interprète comme une brûlure, mais en réalité, rien ne brûle : la bouche ne se recouvre pas de cloques ! 
 
     Si la brûlure est illusoire, la sensation, elle, ne l’est pas. D’ailleurs, il existe même une échelle, dite de Scotville, qui donne le degré de « chaleur » d’un piment. Elle va de 0, neutre, à 10, explosif. La capsaïcine possède des propriétés intéressantes pour la médecine, notamment dans la lutte contre la douleur. 
 
     Avoir la bouche en feu, ce n’est pas dangereux, mais c’est désagréable. Et inutile de se rincer avec de l’eau : la capsaïcine est insoluble dans ce liquide. En revanche, elle se dissout dans le gras. Seule remède : il faut consommer une substance à base de caséine, une phosphoprotéine. Le lait reste le produit le plus disponible, mais les crèmes glacées ou le fromage sont aussi efficaces. 
 
     La capsaïcine est aussi l’ingrédient actif dans les bombes lacrymogènes. Quand les gouttelettes entrent en contact avec les yeux, c’est très douloureux ! Donc si vous manipulez des piments « explosifs », ne vous frottez pas les yeux !
10 Les bombes lacrymogènes contiennent le même composant que le piment


Igaz
Hamis
1. Lisez le texte sur le piment. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pourquoi le piment brûle la langue ? 
 
     Dans la catégorie des aliments « qui piquent », le piment est le numéro un. Plus fort que le poivre ou que la moutarde, il enflamme la bouche de son consommateur. Quelle substance en est responsable ? Et quels sont les moyens de soulager une bouche en feu ? 
 
     La sensation que le piment provoque en bouche ne laisse pas indifférent. La responsable ? La capsaïcine. Cette substance est présente en grande quantité dans les graines du piment mais aussi dans tout le fruit. C’est sa concentration qui détermine le « piquant » du piment. 
 
     En effet, la capsaïcine est irritante pour les cellules qui recouvrent les muqueuses de la bouche des mammifères. Les sensations de brûlures et les douleurs associées résultent de l’interaction chimique de cette substance avec les neurones sensoriels. Le cerveau l’interprète comme une brûlure, mais en réalité, rien ne brûle : la bouche ne se recouvre pas de cloques ! 
 
     Si la brûlure est illusoire, la sensation, elle, ne l’est pas. D’ailleurs, il existe même une échelle, dite de Scotville, qui donne le degré de « chaleur » d’un piment. Elle va de 0, neutre, à 10, explosif. La capsaïcine possède des propriétés intéressantes pour la médecine, notamment dans la lutte contre la douleur. 
 
     Avoir la bouche en feu, ce n’est pas dangereux, mais c’est désagréable. Et inutile de se rincer avec de l’eau : la capsaïcine est insoluble dans ce liquide. En revanche, elle se dissout dans le gras. Seule remède : il faut consommer une substance à base de caséine, une phosphoprotéine. Le lait reste le produit le plus disponible, mais les crèmes glacées ou le fromage sont aussi efficaces. 
 
     La capsaïcine est aussi l’ingrédient actif dans les bombes lacrymogènes. Quand les gouttelettes entrent en contact avec les yeux, c’est très douloureux ! Donc si vous manipulez des piments « explosifs », ne vous frottez pas les yeux !
0 Le piment est l’aliment qui pique le plus


Igaz
Hamis
2. Lisez le texte et répondez aux questions. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
D’où vient la peur du nombre 13 ?
 
      La peur du nombre 13 ? La triskaïdékaphobie. Le nombre 13 tient une place particulière dans la symbolique des nombres : dans une grande partie du monde occidental, il est associé à la malchance. Alors pourquoi la superstition veut-elle que le nombre 13 soit négatif en France ou en Angleterre, alors qu’en Italie, il est considéré comme un porte-chance ? De l’autre côté des Alpes, toujours en Italie, c’est en effet le nombre 17 qui est de mauvais augure. En cause ? En chiffres romains, 17 s’écrit XVII, l’anagramme du mot latin VIXI, c’est-à-dire « J’ai vécu »... et par conséquent « Je suis mort ». 
 
     Aussi improbable que cela puisse paraître, c’est tout simplement parce qu’il suit le nombre 12 que le nombre 13 porte malchance. Le 12 est en effet considéré comme un nombre parfait : les 12 divinités de l’Olympe, les 12 constellations du zodiaque ou encore les 12 mois de l’année, les 12 heures du jour et 12 heures de la nuit, etc. Autant d’apparitions de ce chiffre qui en font un marqueur important. Et puisque 13 suit 12 de 1 seulement, il est au-delà de la perfection : il est jugé peu fiable et opposé au divin, donc maléfique. 
 
      Être 13 à table signifierait que l’un d’entre eux va mourir dans l’année. Cette superstition visà-vis du nombre 13 trouve ses origines dans la religion chrétienne : elle est liée à la Cène, au dernier souper, lorsque les Apôtres se réunissent autour de Jésus. Judas, le traître, porte à treize le nombre des personnes à table. 
 
      Aux États-Unis où, selon un sondage, une personne sur quatre s’estime au moins « un peu superstitieuse », cette phobie a des conséquences bien réelles : pour accommoder les plus crédules, certaines compagnies d’aviation n’ont pas de rangée numéro 13 et dans certains ascenseurs, le treizième étage est renommé 12a ou M (la 13e lettre de l’alphabet) quand il n’a pas été tout simplement remplacé par le 14e étage. 
 
      Selon le contexte, le nombre 13 peut prendre un sens plus positif. Le nombre 13 avait une importance particulière chez les Mayas, c’était au centre de leur calendrier. Ils imaginaient 13 paradis, et 13 divinités. Le nombre 13 a également une signification particulière pour les Juifs : la Cabale le considère comme un nombre de chance, puisque sa valeur numérique, en hébreu, produit le mot Ahad, « Un », la plus importante qualité de Dieu. 
 
      D’un endroit à un autre, d’un contexte à un autre surtout, les superstitions varient. Ainsi, en Chine, c’est le chiffre 4 qui est associé au malheur et le 8 au bonheur. Ne reste plus qu’à piocher à droite et à gauche pour faire de n’importe quel numéro son chiffre fétiche.


0 Quelle est la signification du mot « triskaïdékaphobie » ?   
11 La France est-elle le seul pays où le nombre 13 est associé au malheur ?   
12 Quel est le nombre qui est associé à la malchance en Italie ?   
13 Expliquez pourquoi on pense que ce nombre signifie « Je suis mort ». 17    est    VIXI 
14 À quelle qualité associe-t-on le nombre 12 ?   
15 Quelle est l’explication de l’association du nombre 13 au malheur ?  13 e  , le traître qui était    
16 Quelle est l’explication de la superstition selon laquelle être 13 à table porte malheur ? Judas, le   , porte le nombre   , le dernier    
17 Quelles sont les manifestations de la triskaïdékaphobie aux États-Unis ? Donnez 2
exemples. Certaines    n’ont pas    numéro 13 dans certains ascenseurs, le treizième étage    
18 Dans quelles civilisations le nombre 13 est-il porteur de bonheur ?   
19 Quelles superstitions sont liées aux nombres en Chine ? Donnez 2 exemples. Le 4 est associé   , le 8    
3. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pour réduire l’usage de la voiture en ville : l’exemple la ville de Gand 
 
     Réduire l’usage de la voiture en ville (comprendre ville intra-muros) par un changement radical du plan de circulation de la ville, c’est un ambitieux projet mis en place en 2017 par la mairie de Gand. L’idée est simple, elle consiste à diviser la ville en plusieurs quartiers… et faire en sorte qu’il ne soit pas possible de passer d’un quartier à l’autre en voiture autrement qu’en empruntant une voie périphérique qui contourne la ville. Il est en revanche possible de se déplacer partout si l’on emprunte les transports en commun, ou si l’on se déplace en vélo, en EDPM (engin de déplacement personnel motorisé) ou à pied. Le système est simple et contraignant, mais il est aussi très efficace. La circulation n’est pas interdite et les restrictions ne concernent pas les services de livraison ou les services d’urgence, par exemple. 
 
      Un an après la mise en place de ce système, le bilan est intéressant : + 25 % de déplacements en vélo, + 8 % de fréquentation du bus et une réduction de 12 % d’automobilistes aux heures de pointe. Un succès rapide pour le modèle gantois en matière de réduction de la place de la voiture en ville. 
 
      Cette mesure forte qui vise à en finir avec le « tout-voiture » n’a évidemment pas été simple à mettre en œuvre. Dans certains quartiers de la ville, de nombreux embouteillages sont apparus lors des premières semaines de l’opération. Et l’opposition à ce projet était forte du côté d’une partie de la population gantoise, notamment chez les commerçants qui ont longtemps craint une baisse de la fréquentation de leurs magasins. Pourtant, deux ans plus tard, on a constaté que le nouveau plan de circulation avait été accepté par les Gantois et que des effets positifs en étaient ressortis. Une étude précise que la qualité de l’air s’y est améliorée, avec notamment une réduction de 18 % des émissions de CO2. Par ailleurs, le centre-ville a enregistré une hausse de 20 % de magasins et une diminution du nombre de faillites de 7 %. 
 
      Évidemment, ce plan de circulation ne s’est pas improvisé du jour au lendemain et il fait suite à un ensemble de mesures pour réduire l’usage de la voiture en ville. À Gand, la majorité des rues intra-muros sont par exemple passées en zone 30 dès 2015. Ce plan de circulation n’est cependant pas une innovation made in Gand. Pour en comprendre les fondements, il faut remonter dans les années 1970, dans la petite ville de Groningue : Max Van Den Berg, responsable de la politique des transports de la ville de Groningue, aux Pays-Bas, rêve d’une ville qui donnerait la priorité aux piétons et aux cyclistes afin d’aménager et améliorer la qualité des espaces urbains. Pour cela, il finit par imaginer et mettre en place un plan de circulation qui consiste à diviser le centre-ville en quatre sections distinctes. 40 ans plus tard, 60 % des déplacements qui s’effectuent à Groningue, sont des déplacements qui se font à vélo. 
 
      Des chiffres qui rappellent ceux de Pontevedra, cette ville espagnole où 70 % des déplacements se font à pied. Outre Gand, le « modèle Van Den Berg » a été répliqué dans une autre ville belge, à Louvain. Là-bas, en un an, la pratique du vélo a augmenté de 32 % et celle de la voiture a diminué de 8 %. Signe que cela fonctionne ? En fait, tout dépend de la taille de la ville. Toujours en Belgique, Bruxelles réfléchit actuellement à la mise en place d’un modèle similaire mais pointe du doigt des différences majeures en matière d’étalement urbain et de capacité de parking.
0 La ville de Gand a mis en place


A l’interdiction générale de l’usage des voitures
C un nouveau système de circulation
B de nouveaux moyens de transports en commun
3. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pour réduire l’usage de la voiture en ville : l’exemple la ville de Gand 
 
     Réduire l’usage de la voiture en ville (comprendre ville intra-muros) par un changement radical du plan de circulation de la ville, c’est un ambitieux projet mis en place en 2017 par la mairie de Gand. L’idée est simple, elle consiste à diviser la ville en plusieurs quartiers… et faire en sorte qu’il ne soit pas possible de passer d’un quartier à l’autre en voiture autrement qu’en empruntant une voie périphérique qui contourne la ville. Il est en revanche possible de se déplacer partout si l’on emprunte les transports en commun, ou si l’on se déplace en vélo, en EDPM (engin de déplacement personnel motorisé) ou à pied. Le système est simple et contraignant, mais il est aussi très efficace. La circulation n’est pas interdite et les restrictions ne concernent pas les services de livraison ou les services d’urgence, par exemple. 
 
      Un an après la mise en place de ce système, le bilan est intéressant : + 25 % de déplacements en vélo, + 8 % de fréquentation du bus et une réduction de 12 % d’automobilistes aux heures de pointe. Un succès rapide pour le modèle gantois en matière de réduction de la place de la voiture en ville. 
 
      Cette mesure forte qui vise à en finir avec le « tout-voiture » n’a évidemment pas été simple à mettre en œuvre. Dans certains quartiers de la ville, de nombreux embouteillages sont apparus lors des premières semaines de l’opération. Et l’opposition à ce projet était forte du côté d’une partie de la population gantoise, notamment chez les commerçants qui ont longtemps craint une baisse de la fréquentation de leurs magasins. Pourtant, deux ans plus tard, on a constaté que le nouveau plan de circulation avait été accepté par les Gantois et que des effets positifs en étaient ressortis. Une étude précise que la qualité de l’air s’y est améliorée, avec notamment une réduction de 18 % des émissions de CO2. Par ailleurs, le centre-ville a enregistré une hausse de 20 % de magasins et une diminution du nombre de faillites de 7 %. 
 
      Évidemment, ce plan de circulation ne s’est pas improvisé du jour au lendemain et il fait suite à un ensemble de mesures pour réduire l’usage de la voiture en ville. À Gand, la majorité des rues intra-muros sont par exemple passées en zone 30 dès 2015. Ce plan de circulation n’est cependant pas une innovation made in Gand. Pour en comprendre les fondements, il faut remonter dans les années 1970, dans la petite ville de Groningue : Max Van Den Berg, responsable de la politique des transports de la ville de Groningue, aux Pays-Bas, rêve d’une ville qui donnerait la priorité aux piétons et aux cyclistes afin d’aménager et améliorer la qualité des espaces urbains. Pour cela, il finit par imaginer et mettre en place un plan de circulation qui consiste à diviser le centre-ville en quatre sections distinctes. 40 ans plus tard, 60 % des déplacements qui s’effectuent à Groningue, sont des déplacements qui se font à vélo. 
 
      Des chiffres qui rappellent ceux de Pontevedra, cette ville espagnole où 70 % des déplacements se font à pied. Outre Gand, le « modèle Van Den Berg » a été répliqué dans une autre ville belge, à Louvain. Là-bas, en un an, la pratique du vélo a augmenté de 32 % et celle de la voiture a diminué de 8 %. Signe que cela fonctionne ? En fait, tout dépend de la taille de la ville. Toujours en Belgique, Bruxelles réfléchit actuellement à la mise en place d’un modèle similaire mais pointe du doigt des différences majeures en matière d’étalement urbain et de capacité de parking.
20 L’objectif du nouveau plan est


C de faciliter la circulation des voitures
A de créer de nouveaux quartiers
B de réduire l’utilisation de la voiture en ville
3. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pour réduire l’usage de la voiture en ville : l’exemple la ville de Gand 
 
     Réduire l’usage de la voiture en ville (comprendre ville intra-muros) par un changement radical du plan de circulation de la ville, c’est un ambitieux projet mis en place en 2017 par la mairie de Gand. L’idée est simple, elle consiste à diviser la ville en plusieurs quartiers… et faire en sorte qu’il ne soit pas possible de passer d’un quartier à l’autre en voiture autrement qu’en empruntant une voie périphérique qui contourne la ville. Il est en revanche possible de se déplacer partout si l’on emprunte les transports en commun, ou si l’on se déplace en vélo, en EDPM (engin de déplacement personnel motorisé) ou à pied. Le système est simple et contraignant, mais il est aussi très efficace. La circulation n’est pas interdite et les restrictions ne concernent pas les services de livraison ou les services d’urgence, par exemple. 
 
      Un an après la mise en place de ce système, le bilan est intéressant : + 25 % de déplacements en vélo, + 8 % de fréquentation du bus et une réduction de 12 % d’automobilistes aux heures de pointe. Un succès rapide pour le modèle gantois en matière de réduction de la place de la voiture en ville. 
 
      Cette mesure forte qui vise à en finir avec le « tout-voiture » n’a évidemment pas été simple à mettre en œuvre. Dans certains quartiers de la ville, de nombreux embouteillages sont apparus lors des premières semaines de l’opération. Et l’opposition à ce projet était forte du côté d’une partie de la population gantoise, notamment chez les commerçants qui ont longtemps craint une baisse de la fréquentation de leurs magasins. Pourtant, deux ans plus tard, on a constaté que le nouveau plan de circulation avait été accepté par les Gantois et que des effets positifs en étaient ressortis. Une étude précise que la qualité de l’air s’y est améliorée, avec notamment une réduction de 18 % des émissions de CO2. Par ailleurs, le centre-ville a enregistré une hausse de 20 % de magasins et une diminution du nombre de faillites de 7 %. 
 
      Évidemment, ce plan de circulation ne s’est pas improvisé du jour au lendemain et il fait suite à un ensemble de mesures pour réduire l’usage de la voiture en ville. À Gand, la majorité des rues intra-muros sont par exemple passées en zone 30 dès 2015. Ce plan de circulation n’est cependant pas une innovation made in Gand. Pour en comprendre les fondements, il faut remonter dans les années 1970, dans la petite ville de Groningue : Max Van Den Berg, responsable de la politique des transports de la ville de Groningue, aux Pays-Bas, rêve d’une ville qui donnerait la priorité aux piétons et aux cyclistes afin d’aménager et améliorer la qualité des espaces urbains. Pour cela, il finit par imaginer et mettre en place un plan de circulation qui consiste à diviser le centre-ville en quatre sections distinctes. 40 ans plus tard, 60 % des déplacements qui s’effectuent à Groningue, sont des déplacements qui se font à vélo. 
 
      Des chiffres qui rappellent ceux de Pontevedra, cette ville espagnole où 70 % des déplacements se font à pied. Outre Gand, le « modèle Van Den Berg » a été répliqué dans une autre ville belge, à Louvain. Là-bas, en un an, la pratique du vélo a augmenté de 32 % et celle de la voiture a diminué de 8 %. Signe que cela fonctionne ? En fait, tout dépend de la taille de la ville. Toujours en Belgique, Bruxelles réfléchit actuellement à la mise en place d’un modèle similaire mais pointe du doigt des différences majeures en matière d’étalement urbain et de capacité de parking.
21 Le nouveau plan de circulation


A facilite aux voitures le passage direct d’un quartier à l’autre
C limite la circulation des véhicules seulement dans le centre de Gand
B défend aux voitures le passage direct d’un quartier à l’autre
3. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pour réduire l’usage de la voiture en ville : l’exemple la ville de Gand 
 
     Réduire l’usage de la voiture en ville (comprendre ville intra-muros) par un changement radical du plan de circulation de la ville, c’est un ambitieux projet mis en place en 2017 par la mairie de Gand. L’idée est simple, elle consiste à diviser la ville en plusieurs quartiers… et faire en sorte qu’il ne soit pas possible de passer d’un quartier à l’autre en voiture autrement qu’en empruntant une voie périphérique qui contourne la ville. Il est en revanche possible de se déplacer partout si l’on emprunte les transports en commun, ou si l’on se déplace en vélo, en EDPM (engin de déplacement personnel motorisé) ou à pied. Le système est simple et contraignant, mais il est aussi très efficace. La circulation n’est pas interdite et les restrictions ne concernent pas les services de livraison ou les services d’urgence, par exemple. 
 
      Un an après la mise en place de ce système, le bilan est intéressant : + 25 % de déplacements en vélo, + 8 % de fréquentation du bus et une réduction de 12 % d’automobilistes aux heures de pointe. Un succès rapide pour le modèle gantois en matière de réduction de la place de la voiture en ville. 
 
      Cette mesure forte qui vise à en finir avec le « tout-voiture » n’a évidemment pas été simple à mettre en œuvre. Dans certains quartiers de la ville, de nombreux embouteillages sont apparus lors des premières semaines de l’opération. Et l’opposition à ce projet était forte du côté d’une partie de la population gantoise, notamment chez les commerçants qui ont longtemps craint une baisse de la fréquentation de leurs magasins. Pourtant, deux ans plus tard, on a constaté que le nouveau plan de circulation avait été accepté par les Gantois et que des effets positifs en étaient ressortis. Une étude précise que la qualité de l’air s’y est améliorée, avec notamment une réduction de 18 % des émissions de CO2. Par ailleurs, le centre-ville a enregistré une hausse de 20 % de magasins et une diminution du nombre de faillites de 7 %. 
 
      Évidemment, ce plan de circulation ne s’est pas improvisé du jour au lendemain et il fait suite à un ensemble de mesures pour réduire l’usage de la voiture en ville. À Gand, la majorité des rues intra-muros sont par exemple passées en zone 30 dès 2015. Ce plan de circulation n’est cependant pas une innovation made in Gand. Pour en comprendre les fondements, il faut remonter dans les années 1970, dans la petite ville de Groningue : Max Van Den Berg, responsable de la politique des transports de la ville de Groningue, aux Pays-Bas, rêve d’une ville qui donnerait la priorité aux piétons et aux cyclistes afin d’aménager et améliorer la qualité des espaces urbains. Pour cela, il finit par imaginer et mettre en place un plan de circulation qui consiste à diviser le centre-ville en quatre sections distinctes. 40 ans plus tard, 60 % des déplacements qui s’effectuent à Groningue, sont des déplacements qui se font à vélo. 
 
      Des chiffres qui rappellent ceux de Pontevedra, cette ville espagnole où 70 % des déplacements se font à pied. Outre Gand, le « modèle Van Den Berg » a été répliqué dans une autre ville belge, à Louvain. Là-bas, en un an, la pratique du vélo a augmenté de 32 % et celle de la voiture a diminué de 8 %. Signe que cela fonctionne ? En fait, tout dépend de la taille de la ville. Toujours en Belgique, Bruxelles réfléchit actuellement à la mise en place d’un modèle similaire mais pointe du doigt des différences majeures en matière d’étalement urbain et de capacité de parking.
22 En 12 mois il s’est avéré que/qu’


B il y avait moins de place pour les voitures
C les habitants utilisaient moins la voiture
A le nouveau système n’avait pas été efficace
3. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pour réduire l’usage de la voiture en ville : l’exemple la ville de Gand 
 
     Réduire l’usage de la voiture en ville (comprendre ville intra-muros) par un changement radical du plan de circulation de la ville, c’est un ambitieux projet mis en place en 2017 par la mairie de Gand. L’idée est simple, elle consiste à diviser la ville en plusieurs quartiers… et faire en sorte qu’il ne soit pas possible de passer d’un quartier à l’autre en voiture autrement qu’en empruntant une voie périphérique qui contourne la ville. Il est en revanche possible de se déplacer partout si l’on emprunte les transports en commun, ou si l’on se déplace en vélo, en EDPM (engin de déplacement personnel motorisé) ou à pied. Le système est simple et contraignant, mais il est aussi très efficace. La circulation n’est pas interdite et les restrictions ne concernent pas les services de livraison ou les services d’urgence, par exemple. 
 
      Un an après la mise en place de ce système, le bilan est intéressant : + 25 % de déplacements en vélo, + 8 % de fréquentation du bus et une réduction de 12 % d’automobilistes aux heures de pointe. Un succès rapide pour le modèle gantois en matière de réduction de la place de la voiture en ville. 
 
      Cette mesure forte qui vise à en finir avec le « tout-voiture » n’a évidemment pas été simple à mettre en œuvre. Dans certains quartiers de la ville, de nombreux embouteillages sont apparus lors des premières semaines de l’opération. Et l’opposition à ce projet était forte du côté d’une partie de la population gantoise, notamment chez les commerçants qui ont longtemps craint une baisse de la fréquentation de leurs magasins. Pourtant, deux ans plus tard, on a constaté que le nouveau plan de circulation avait été accepté par les Gantois et que des effets positifs en étaient ressortis. Une étude précise que la qualité de l’air s’y est améliorée, avec notamment une réduction de 18 % des émissions de CO2. Par ailleurs, le centre-ville a enregistré une hausse de 20 % de magasins et une diminution du nombre de faillites de 7 %. 
 
      Évidemment, ce plan de circulation ne s’est pas improvisé du jour au lendemain et il fait suite à un ensemble de mesures pour réduire l’usage de la voiture en ville. À Gand, la majorité des rues intra-muros sont par exemple passées en zone 30 dès 2015. Ce plan de circulation n’est cependant pas une innovation made in Gand. Pour en comprendre les fondements, il faut remonter dans les années 1970, dans la petite ville de Groningue : Max Van Den Berg, responsable de la politique des transports de la ville de Groningue, aux Pays-Bas, rêve d’une ville qui donnerait la priorité aux piétons et aux cyclistes afin d’aménager et améliorer la qualité des espaces urbains. Pour cela, il finit par imaginer et mettre en place un plan de circulation qui consiste à diviser le centre-ville en quatre sections distinctes. 40 ans plus tard, 60 % des déplacements qui s’effectuent à Groningue, sont des déplacements qui se font à vélo. 
 
      Des chiffres qui rappellent ceux de Pontevedra, cette ville espagnole où 70 % des déplacements se font à pied. Outre Gand, le « modèle Van Den Berg » a été répliqué dans une autre ville belge, à Louvain. Là-bas, en un an, la pratique du vélo a augmenté de 32 % et celle de la voiture a diminué de 8 %. Signe que cela fonctionne ? En fait, tout dépend de la taille de la ville. Toujours en Belgique, Bruxelles réfléchit actuellement à la mise en place d’un modèle similaire mais pointe du doigt des différences majeures en matière d’étalement urbain et de capacité de parking.
23 Dès le début, le nouveau plan de circulation


B a partagé l’opinion publique
A a été accueilli positivement par les habitants
C a causé la baisse de fréquentation des magasins.
3. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pour réduire l’usage de la voiture en ville : l’exemple la ville de Gand 
 
     Réduire l’usage de la voiture en ville (comprendre ville intra-muros) par un changement radical du plan de circulation de la ville, c’est un ambitieux projet mis en place en 2017 par la mairie de Gand. L’idée est simple, elle consiste à diviser la ville en plusieurs quartiers… et faire en sorte qu’il ne soit pas possible de passer d’un quartier à l’autre en voiture autrement qu’en empruntant une voie périphérique qui contourne la ville. Il est en revanche possible de se déplacer partout si l’on emprunte les transports en commun, ou si l’on se déplace en vélo, en EDPM (engin de déplacement personnel motorisé) ou à pied. Le système est simple et contraignant, mais il est aussi très efficace. La circulation n’est pas interdite et les restrictions ne concernent pas les services de livraison ou les services d’urgence, par exemple. 
 
      Un an après la mise en place de ce système, le bilan est intéressant : + 25 % de déplacements en vélo, + 8 % de fréquentation du bus et une réduction de 12 % d’automobilistes aux heures de pointe. Un succès rapide pour le modèle gantois en matière de réduction de la place de la voiture en ville. 
 
      Cette mesure forte qui vise à en finir avec le « tout-voiture » n’a évidemment pas été simple à mettre en œuvre. Dans certains quartiers de la ville, de nombreux embouteillages sont apparus lors des premières semaines de l’opération. Et l’opposition à ce projet était forte du côté d’une partie de la population gantoise, notamment chez les commerçants qui ont longtemps craint une baisse de la fréquentation de leurs magasins. Pourtant, deux ans plus tard, on a constaté que le nouveau plan de circulation avait été accepté par les Gantois et que des effets positifs en étaient ressortis. Une étude précise que la qualité de l’air s’y est améliorée, avec notamment une réduction de 18 % des émissions de CO2. Par ailleurs, le centre-ville a enregistré une hausse de 20 % de magasins et une diminution du nombre de faillites de 7 %. 
 
      Évidemment, ce plan de circulation ne s’est pas improvisé du jour au lendemain et il fait suite à un ensemble de mesures pour réduire l’usage de la voiture en ville. À Gand, la majorité des rues intra-muros sont par exemple passées en zone 30 dès 2015. Ce plan de circulation n’est cependant pas une innovation made in Gand. Pour en comprendre les fondements, il faut remonter dans les années 1970, dans la petite ville de Groningue : Max Van Den Berg, responsable de la politique des transports de la ville de Groningue, aux Pays-Bas, rêve d’une ville qui donnerait la priorité aux piétons et aux cyclistes afin d’aménager et améliorer la qualité des espaces urbains. Pour cela, il finit par imaginer et mettre en place un plan de circulation qui consiste à diviser le centre-ville en quatre sections distinctes. 40 ans plus tard, 60 % des déplacements qui s’effectuent à Groningue, sont des déplacements qui se font à vélo. 
 
      Des chiffres qui rappellent ceux de Pontevedra, cette ville espagnole où 70 % des déplacements se font à pied. Outre Gand, le « modèle Van Den Berg » a été répliqué dans une autre ville belge, à Louvain. Là-bas, en un an, la pratique du vélo a augmenté de 32 % et celle de la voiture a diminué de 8 %. Signe que cela fonctionne ? En fait, tout dépend de la taille de la ville. Toujours en Belgique, Bruxelles réfléchit actuellement à la mise en place d’un modèle similaire mais pointe du doigt des différences majeures en matière d’étalement urbain et de capacité de parking.
24 Deux ans après la mise en place du plan on constate que


B la qualité de l’air n’a pas encore changé
C la qualité de l’air et l’économie se sont améliorées
A la fréquentation des magasins a baissé
3. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pour réduire l’usage de la voiture en ville : l’exemple la ville de Gand 
 
     Réduire l’usage de la voiture en ville (comprendre ville intra-muros) par un changement radical du plan de circulation de la ville, c’est un ambitieux projet mis en place en 2017 par la mairie de Gand. L’idée est simple, elle consiste à diviser la ville en plusieurs quartiers… et faire en sorte qu’il ne soit pas possible de passer d’un quartier à l’autre en voiture autrement qu’en empruntant une voie périphérique qui contourne la ville. Il est en revanche possible de se déplacer partout si l’on emprunte les transports en commun, ou si l’on se déplace en vélo, en EDPM (engin de déplacement personnel motorisé) ou à pied. Le système est simple et contraignant, mais il est aussi très efficace. La circulation n’est pas interdite et les restrictions ne concernent pas les services de livraison ou les services d’urgence, par exemple. 
 
      Un an après la mise en place de ce système, le bilan est intéressant : + 25 % de déplacements en vélo, + 8 % de fréquentation du bus et une réduction de 12 % d’automobilistes aux heures de pointe. Un succès rapide pour le modèle gantois en matière de réduction de la place de la voiture en ville. 
 
      Cette mesure forte qui vise à en finir avec le « tout-voiture » n’a évidemment pas été simple à mettre en œuvre. Dans certains quartiers de la ville, de nombreux embouteillages sont apparus lors des premières semaines de l’opération. Et l’opposition à ce projet était forte du côté d’une partie de la population gantoise, notamment chez les commerçants qui ont longtemps craint une baisse de la fréquentation de leurs magasins. Pourtant, deux ans plus tard, on a constaté que le nouveau plan de circulation avait été accepté par les Gantois et que des effets positifs en étaient ressortis. Une étude précise que la qualité de l’air s’y est améliorée, avec notamment une réduction de 18 % des émissions de CO2. Par ailleurs, le centre-ville a enregistré une hausse de 20 % de magasins et une diminution du nombre de faillites de 7 %. 
 
      Évidemment, ce plan de circulation ne s’est pas improvisé du jour au lendemain et il fait suite à un ensemble de mesures pour réduire l’usage de la voiture en ville. À Gand, la majorité des rues intra-muros sont par exemple passées en zone 30 dès 2015. Ce plan de circulation n’est cependant pas une innovation made in Gand. Pour en comprendre les fondements, il faut remonter dans les années 1970, dans la petite ville de Groningue : Max Van Den Berg, responsable de la politique des transports de la ville de Groningue, aux Pays-Bas, rêve d’une ville qui donnerait la priorité aux piétons et aux cyclistes afin d’aménager et améliorer la qualité des espaces urbains. Pour cela, il finit par imaginer et mettre en place un plan de circulation qui consiste à diviser le centre-ville en quatre sections distinctes. 40 ans plus tard, 60 % des déplacements qui s’effectuent à Groningue, sont des déplacements qui se font à vélo. 
 
      Des chiffres qui rappellent ceux de Pontevedra, cette ville espagnole où 70 % des déplacements se font à pied. Outre Gand, le « modèle Van Den Berg » a été répliqué dans une autre ville belge, à Louvain. Là-bas, en un an, la pratique du vélo a augmenté de 32 % et celle de la voiture a diminué de 8 %. Signe que cela fonctionne ? En fait, tout dépend de la taille de la ville. Toujours en Belgique, Bruxelles réfléchit actuellement à la mise en place d’un modèle similaire mais pointe du doigt des différences majeures en matière d’étalement urbain et de capacité de parking.
26 Ce système de circulation


A fonctionne uniquement à Gand
B fonctionne dans plusieurs villes
C a déjà été introduit à Bruxelles
3. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Pour réduire l’usage de la voiture en ville : l’exemple la ville de Gand 
 
     Réduire l’usage de la voiture en ville (comprendre ville intra-muros) par un changement radical du plan de circulation de la ville, c’est un ambitieux projet mis en place en 2017 par la mairie de Gand. L’idée est simple, elle consiste à diviser la ville en plusieurs quartiers… et faire en sorte qu’il ne soit pas possible de passer d’un quartier à l’autre en voiture autrement qu’en empruntant une voie périphérique qui contourne la ville. Il est en revanche possible de se déplacer partout si l’on emprunte les transports en commun, ou si l’on se déplace en vélo, en EDPM (engin de déplacement personnel motorisé) ou à pied. Le système est simple et contraignant, mais il est aussi très efficace. La circulation n’est pas interdite et les restrictions ne concernent pas les services de livraison ou les services d’urgence, par exemple. 
 
      Un an après la mise en place de ce système, le bilan est intéressant : + 25 % de déplacements en vélo, + 8 % de fréquentation du bus et une réduction de 12 % d’automobilistes aux heures de pointe. Un succès rapide pour le modèle gantois en matière de réduction de la place de la voiture en ville. 
 
      Cette mesure forte qui vise à en finir avec le « tout-voiture » n’a évidemment pas été simple à mettre en œuvre. Dans certains quartiers de la ville, de nombreux embouteillages sont apparus lors des premières semaines de l’opération. Et l’opposition à ce projet était forte du côté d’une partie de la population gantoise, notamment chez les commerçants qui ont longtemps craint une baisse de la fréquentation de leurs magasins. Pourtant, deux ans plus tard, on a constaté que le nouveau plan de circulation avait été accepté par les Gantois et que des effets positifs en étaient ressortis. Une étude précise que la qualité de l’air s’y est améliorée, avec notamment une réduction de 18 % des émissions de CO2. Par ailleurs, le centre-ville a enregistré une hausse de 20 % de magasins et une diminution du nombre de faillites de 7 %. 
 
      Évidemment, ce plan de circulation ne s’est pas improvisé du jour au lendemain et il fait suite à un ensemble de mesures pour réduire l’usage de la voiture en ville. À Gand, la majorité des rues intra-muros sont par exemple passées en zone 30 dès 2015. Ce plan de circulation n’est cependant pas une innovation made in Gand. Pour en comprendre les fondements, il faut remonter dans les années 1970, dans la petite ville de Groningue : Max Van Den Berg, responsable de la politique des transports de la ville de Groningue, aux Pays-Bas, rêve d’une ville qui donnerait la priorité aux piétons et aux cyclistes afin d’aménager et améliorer la qualité des espaces urbains. Pour cela, il finit par imaginer et mettre en place un plan de circulation qui consiste à diviser le centre-ville en quatre sections distinctes. 40 ans plus tard, 60 % des déplacements qui s’effectuent à Groningue, sont des déplacements qui se font à vélo. 
 
      Des chiffres qui rappellent ceux de Pontevedra, cette ville espagnole où 70 % des déplacements se font à pied. Outre Gand, le « modèle Van Den Berg » a été répliqué dans une autre ville belge, à Louvain. Là-bas, en un an, la pratique du vélo a augmenté de 32 % et celle de la voiture a diminué de 8 %. Signe que cela fonctionne ? En fait, tout dépend de la taille de la ville. Toujours en Belgique, Bruxelles réfléchit actuellement à la mise en place d’un modèle similaire mais pointe du doigt des différences majeures en matière d’étalement urbain et de capacité de parking.
25 Ce système de circulation a été inventé par


B un politicien espagnol
C le maire de Gand
A un expert hollandais
1. Lisez le texte sur Damaris, 15 ans qui a grandi avec le zoo de Beauval. Complétez le texte par le pronom qui convient. La réponse 0 vous servira d’exemple.


     À 3 ans, Damaris s’était déjà tellement baladée dans le parc zoologique de Beauval qu’elle le
connaissait par cœur. « Je/J’   vais à toutes les vacances, raconte la jeune Parisienne. Ça a
développé en moi un vrai amour pour les animaux. » Comment est-ce possible ? Françoise
Delord, la grand-mère de Damaris a créé ce zoo    est l’un des plus grands d’Europe.
Damaris connaît sur le bout des doigts l’histoire de ce parc dans    elle a grandi : « Dans
les années 1970, ma grand-mère    vivait à Paris a gagné deux petits oiseaux grâce à un
journal pour enfants, raconte l’adolescente. Elle    a trouvés tellement jolis qu’elle    a acheté deux autres, puis deux autres… Si bien qu’un jour, près de 300 oiseaux occupaient son
appartement ! » Françoise Delord a alors abandonné sa carrière de comédienne et est partie avec
sa famille s’installer à la campagne, à Beauval. Elle a commencé par ouvrir un parc
ornithologique qui est devenu, quelques années plus tard, un parc zoologique. 
 
      « Quand j’étais petite, je préparais la nourriture pour les oiseaux », se souvient Damaris. Plus
tard, elle a pu faire différents stages. Elle a aimé le plus    qu’elle avait passé aux côtés des
soigneurs de gorilles : « Ce sont des animaux très intelligents, il y a un vrai lien avec les
humains qui s’en occupent. » 
 
      Ce n’est pas parce qu’on est la petite-fille de la créatrice d’un zoo qu’on a le droit de câliner
des animaux. Pour    , le plus incroyable se trouve souvent de l’autre côté de la barrière :
« Quand je vois le regard des gens s’émerveiller devant les animaux, je/j’    rappelle à quel
point j’ai de la chance d’avoir grandi ici », souligne Damaris.
2. Mettez les verbes à la forme qui convient. La réponse 0 vous servira d’exemple.


     Si l’épidémie de grippe de 2008 (être)   une tragédie
aux États-Unis, Doris C., une retraitée de 73 ans, peut bien être
l’une des rares personnes ravies de/d’ (avoir)    la
maladie. 
 
     Très malade et très affectée par la grippe, Doris C. (passer)    30 jours à l’hôpital. Puis, la retraitée (revenir)    chez elle. Mais encore affaiblie, elle (tomber)     et (se casser)    le bras. Retour à l’hôpital.
À l’occasion de cette nouvelle hospitalisation, une infirmière,
Bev B.  (travailler)     dans cet hôpital depuis 22 ans
tombe sur son nom de famille.
« 
 
      J’ai vu son nom sur la liste des enregistrements.
Je/J’ (ne pas arriver)    à y croire. Je me suis dit que
c’était ma sœur », a expliqué l’infirmière de 53 ans, aux médias
locaux. Car son nom était le seul élément dont elle disposait,
l’ayant recherchée pendant des années. Sachant que Doris C.
était quasiment sourde, Bev B. a alors écrit le nom de son père
sur un tableau blanc et l’a montré à la patiente. C’est alors
qu’elles (se rendre)    compte qu’elles étaient bien de
la même fratrie. 
 
     Elle a dit « Je suis ta sœur, Bev ». Alors, je/j’ (se
lever)    de ma chaise et je/j’ (fondre)    en larmes. C’était
un sentiment de bonheur si puissant », a raconté Doris C.
En 1967, l’abandon de leur père avait causé la séparation de
certains des six enfants. « Cela faisait 53 ans que je (ne pas la voir)   et elle était encore un bébé », a réagi Doris C.,
tout (ajouter)     : « C’est magnifique. Je ne pensais pas
la revoir un jour. »
3. Retrouvez les mots appartenant à la même famille que les mots donnés entre parenthèses. La réponse 0 vous servira d’exemple.


     L’insomnie est un problème qui touche plus de 10 % de la
population adulte. Elle se traduit par une (diminuer)    de la quantité et de la qualité du sommeil :
difficultés d’ (s’endormir)   , (se
réveiller)     précoce le matin. 
 
      Des problèmes d’hygiène de vie peuvent être à l’origine de ces
difficultés à s’endormir. Ainsi, la (consommer)     abusive d’excitants ou le fait de manger trop ou pas assez le
soir peuvent être responsables des difficultés à trouver le
sommeil. Le (manquer)    d’activité physique ou
au contraire une activité physique trop intense peuvent
également être en cause. 
 
      L’insomnie peut aussi être associée à certaines maladies
organiques ou à la (prendre)    de médicaments
excitants. 
 
      Elle est souvent liée à un épisode traumatisant : opération
chirurgicale, (accoucher)   qui, bien que passé, a
laissé une (s’angoisser)    de la nuit blanche. 
4. Complétez le texte par la préposition qui convient. La réponse 0 vous servira d’exemple. 


Manger magique 
 
     Le pain était chez les peuples antiques le symbole de la transformation, permettant   atteindre des mondes supérieurs. Le sel, associé    la fraternité au Japon comme en
Espagne, signifie toujours la parole donnée. 
 
      Il y a des aliments qui sont plus que de la nourriture. Ils sont liés   récits et mythes de
l’humanité. Ces aliments doivent leur destin à leur place centrale dans l’alimentation. Mais ils
signent aussi le passage de nos ancêtres à la civilisation, ce moment où ils ne se contentent plus   manger les produits de la chasse mais commencent à les transformer, les élaborer. 
 
      Manger n’est pas seulement une fonction biologique, explique le sociologue Claude Fischler.
Il s’agit   contact le plus intime qui puisse exister : l’aliment vous transmet ses vertus
et son pouvoir. « Tu as mangé du lion aujourd’hui ? » Voilà ce qu’on dit   quelqu’un
qui se montre particulièrement énergique. 
 
      Le mangeur contemporain, quoi qu’il en pense, n’échappe pas   l’irrationnel. Il croit
que ce sont les résultats de la science et de la nutrition qui le guident, mais voilà, il est aussi
influencé par la pensée magique et rêve peut-être    transformer son corps grâce à des
aliments miraculeux.
1. Vous allez entendre un texte sur le projet Grand Paris des Transports. Lisez le résumé. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Complétez le résumé. Écrivez un seul mot à chaque fois. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2021osz_emelt/e_francia_21okt_fl.mp3
 2:50


En Île-de-France, si on veut aller d’une   à l’autre la plupart des gens prennent
la    parce que le réseau du transport en commun n’est pas   . En prenant le transport public, on est obligé de passer par     pour aller d’une banlieue à une autre. Le projet Grand Paris des
Transports a pour objectif de/d’   le RER et d’élargir le réseau de
métro. Le Grand Paris Express, c’est quatre nouvelles lignes   , un
projet qui devra être terminé d’ici   . Les travaux sont surveillés à
l’aide de/d’  , et ça rend ce projet    en
Europe. On va également construire 68    pour accueillir les
voyageurs.
2. Vous allez entendre un reportage sur le stylo BIC, une marque de stylo à bille. Avant les écoutes, lisez les questions. Ensuite, vous entendrez le reportage deux fois. Répondez aux questions. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2021osz_emelt/e_francia_21okt_fl.mp3
 11:25


10 Depuis quand peut-on utiliser le stylo à bille à l’école ?   
0 De quand date la naissance du stylo BIC ?   
11 Qui était Marcel Bich ?   
12 Pourquoi la forme hexagonale du corps du stylo est-elle pratique ?   
13 Le stylo BIC était-il cher au départ ?   
14 Le stylo à bille existait-il avant le stylo BIC ?   
15 Qu’est-ce qui prouve le succès économique du stylo BIC dans le monde ?   
16 Quelle est la qualité la plus importante de la bille ?   
17 Quelle est l’innovation de la marque adaptée à la technologie numérique   
3. Vous allez entendre une interview avec Chloé qui a fait un voyage à Cuba. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies ou un F pour les affirmations fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2021osz_emelt/e_francia_21okt_fl.mp3
 20:30
0 Sur le site Mister Fly, on a la possibilité de payer notre billet d’avion en plusieurs mensualités


Igaz
Hamis
3. Vous allez entendre une interview avec Chloé qui a fait un voyage à Cuba. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies ou un F pour les affirmations fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2021osz_emelt/e_francia_21okt_fl.mp3
 20:30
18 L’hébergement coûte cher à Cuba


Hamis
Igaz
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 20:30
19 Sans carte de touriste, on ne vous laisse pas entrer à Cuba


Igaz
Hamis
3. Vous allez entendre une interview avec Chloé qui a fait un voyage à Cuba. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies ou un F pour les affirmations fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
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 20:30
20 Les Cubains ont deux sortes de monnaie


Igaz
Hamis
3. Vous allez entendre une interview avec Chloé qui a fait un voyage à Cuba. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies ou un F pour les affirmations fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
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 20:30
21 Pendant le séjour de Chloé il a plu tout le temps


Hamis
Igaz
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 20:30
22 Chloé avait peur de sortir le soir


Igaz
Hamis
3. Vous allez entendre une interview avec Chloé qui a fait un voyage à Cuba. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies ou un F pour les affirmations fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
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 20:30
23 À Cuba, on a facilement accès à Internet


Hamis
Igaz
3. Vous allez entendre une interview avec Chloé qui a fait un voyage à Cuba. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies ou un F pour les affirmations fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
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 20:30
24 Selon Chloé, à Cuba, on peut bien manger si on a gros budget


Hamis
Igaz
3. Vous allez entendre une interview avec Chloé qui a fait un voyage à Cuba. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies ou un F pour les affirmations fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
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 20:30
25 Chloé a bien apprécié l’hospitalité cubaine.


Hamis
Igaz
A foglalkozás befejeződött.

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