Bevezető
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2014 május Szövegértés 1.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2014 május Szövegértés 2.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2014 május Szövegértés 3.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2014 május Nyelvhelyesség 1.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2014 május Nyelvhelyesség 2.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2014 május Nyelvhelyesség 3.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2014 május Nyelvhelyesség 4.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2014 május Hallott szöveg értése 1.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2014 május Hallott szöveg értése 2.
0/0 Pont
Francia emelt érettségi 2014 május Hallott szöveg értése 3.
0/0 Pont
Bevezető

Kedves érettségire készülők! Az alábbi feladatsort gyakorlásra szánjuk. A feladatoknál helyes válaszként mindig a legoptimálisabbat adjuk meg, ettől függetlenül az érettségin elképzelhető más elfogadható megoldás is. A technikai korlátok miatt elképzelhető, hogy egyes esetekben a helyes válaszotokat nem fogadja el a rendszer. A szabad szavas válaszoknál a mondatok végére nem kell pontot tenni, a kis- és nagybetűket nem különbözteti meg a rendszer, az ékezeteket azonban igen. Ha bármelyik feladattal kapcsolatban kérdésetek lenne, keressétek bizalommal az feladatsor összeállítóját a franciatanar0911[kukac]gmail[pont]com címen!
1. Lisez le texte. Ensuite, répondez aux questions. 
La réponse 0 vous servira d’exemple. 
    Toute la France, à l’exception d’une petite zone méditerranéenne et des régions de haute altitude, est touchée. La maladie de Lyme, transmise par les tiques porteuses d’une bactérie, Borrelia burgdorferi, progresse. La situation en Alsace et dans le Centre est particulièrement critique, sans doute parce que les tiques affectionnent les endroits boisés et humides. Selon l’Institut Pasteur, entre 12 000 et 15 000 cas sont détectés chaque année dans l’Hexagone. Mais pour les associations de malades, un nombre beaucoup plus important de personnes pourraient être infectées sans le savoir. 
    « Lyme sans frontière », une association basée à Strasbourg, dénonce le déni d’une maladie méconnue par les médecins et les malades. L’association estime que la maladie est insuffisamment prise en charge par les pouvoirs publics. Une pétition a été adressée en 2012 au ministère de la santé pour demander une meilleure prévention, une réelle formation des professionnels de santé, une plus grande transparence sur l’évolution de l’épidémie et, surtout, l’amélioration des tests. Ces derniers ne seraient pas fiables à 100 %. 
    Or, si la maladie n’est pas détectée dans les jours suivant la piqûre et traitée au stade primaire par des antibiotiques, elle peut entraîner des conséquences très graves : manifestations neurologiques (paralysie faciale, méningite, troubles de la mémoire), manifestations rhumatologiques avec des arthrites inflammatoires, manifestations cardiaques. Des malades témoignent avoir souffert plusieurs années, baladés d’un médecin à un autre, avant d’être enfin diagnostiqués. 
    Le réchauffement climatique et la déforestation sont principalement responsables de la progression de la maladie.
    La période maximale de l’infection se situe entre le début du printemps et la fin de l’automne. Pour se protéger, les promeneurs doivent impérativement porter chapeau, manches longues, chaussures montantes. 
    La maladie de Lyme est devenue la maladie vectorielle la plus fréquente sur l’ensemble de son aire de répartition qui s’étend du Japon à l’Amérique du Nord et de la Scandinavie à l’Afrique du Nord.
   (www.lemonde.fr)

Ils n’ont pas été diagnostiqués à temps 
Elles pensent que l’Institut Pasteur sous-estime le nombre des malades
Une meilleure prévention une réelle formation des professionnels une plus grande transparence l’amélioration des tests 
Parce que ce sont des régions boisées et humides 
Une zone méditerranéenne et des régions de hautes altitudes 
Ils ne sont pas fiables
Des manifestations neurologiques, rhumatologiques et cardiaques 
À cause du réchauffement climatique et de la déforestation 
Pour se protéger 
Qu’ils ne prennent pas la maladie au sérieux 
C’est entre le printemps et l’automne
Parce que les conséquences peuvent être graves 

1. Dans quelles zones de la France y a-t-il le moins de risques d’attraper la maladie ? 
-
 
 
2. Pourquoi l’Alsace et le Centre sont-ils plus touchés que d’autres régions ? 
-
 
 
3. Que pensent les associations concernées de l’estimation de l’Institut Pasteur sur le nombre de malades ? 
-
 
 
4. Que reproche l’association « Lyme sans frontière » aux pouvoirs publics ? 
-
 
 
5. Que réclame l’association « Lyme sans frontière » ? 
-
  
6. Quel est le problème avec les tests ? 
-
  
 
7. Pourquoi est-il important de soigner la maladie tout de suite après son apparition ? 
-
 
 
0 Quels sont les symptômes de la maladie de Lyme ? 
-
 
 
8. Pourquoi certains malades en souffrent-ils plus longtemps que d’autres ? 
-
 
 
9. Pourquoi la maladie se propage-t-elle de plus en plus ? 
-
 
 
10. À quelle période de l’année risque-t-on le plus d’être piqué ? 
-
  

11. Pourquoi conseille-t-on aux promeneurs de se couvrir ? 
-
 

2. Remettez dans le texte les parties découpées. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 Ton activité ici: Écris les lettres dans les cases vides.
A c’est qu’à l’origine ce talent d’imitation n’était pas fait pour attirer les consommateurs
B et c’est comme ça que tout est parti
C ce sont des reproductions parfaites en plastique
D mais les amateurs de cuisine en raffolent de plus en plus
E dont les Japonais sont fous et qu’ils accrochent à leurs sacs ou téléphones portables
F tout est tentant mais faux
G avant même de franchir la porte
H qui peignent à la main ces aliments en plastique
I d’où l’idée de mettre les spécialités en vitrine


Reproductions de plats en plastique
 
   Alberto Pellegrini est un touriste italien qui ne parle pas japonais. Inutile de dire qu’il le lit encore moins, alors commander dans un restaurant au Japon peut s’avérer très difficile.
   Heureusement, les plats sont souvent en vitrine:   . Ce katsudon, des tranches de porc frites et panées, ont l’air de sortir de la poêle luisant de graisse, quant à ces sushis de thon rouge et de saumon, ils brillent comme du poisson fraîchement pêché. Les fruits, la viande crue persillée, les poissons, le pain pour les restaurants qui en proposent :   ! 
   Planté devant la vitrine du restaurant, Alberto fait son menu, il montre du doigt et il dit juste : je veux ça et ça. Ce qu’il ne sait pas,   . « Tout a commencé avec un artisan qui travaillait pour des médecins et fabriquait des reproductions pour des études pathologiques. Il leur confectionnait des organes plus vrais que nature et par la suite, un restaurateur a eu l’idée de lui demander de faire des reproductions de plats,   », raconte Yasunobu Nose, un journaliste du quotidien Nikkei qui a écrit un livre sur ces faux plats. 
   On est au début des années 20, et le Japon commence à « sortir pour manger ». Les provinciaux qui débarquent à Tokyo ne savaient pas vraiment ce qu’offraient les restaurants de la capitale :   . Près d’un siècle plus tard, de nombreux établissements s’y sont mis. « Les Japonais ont développé un menu en trois dimensions », résume Yasunobu Nose. 
   « Comme ça,   , vous savez tout! Ce qu’il y a comme plats dans ce restaurant, la taille des portions, les boissons, le prix, etc. » 
   Ces illusions gastronomiques ont même leur rue à Tokyo. Des dizaines de magasins spécialisés regorgent de milliers de ces faux plats qui doivent donner l’illusion virtuelle parfaite du frais, du croustillant, du moelleux... 
   Iwasaki, une des principales sociétés spécialisées, a une armée d’artisans   . Certaines reproductions élaborées peuvent se vendre jusqu’à 100 dollars. Des restaurateurs peu fortunés peuvent toutefois louer par exemple un faux hamburger pour 6 dollars par mois ! « Nos principaux clients sont évidemment les restaurants, les professionnels,   », explique Takashi Nakai, un porte-parole de la société. Pour preuve, l’entreprise, fondée en 1932, a ouvert récemment deux magasins à Tokyo où elle vend des amulettes   : celles-là sont en forme de mini-sushis. Elle propose également des porte-clés avec une fausse tranche de bacon. Non comestible, précise bien une petite étiquette. 
   Alberto Pellegrini, lui, trouve ça génial, même si parfois il a tout de même un petit doute sur ce qu’on va lui amener. « Je pense que ça doit être du poisson », dit-il en pointant du doigt un plat en vitrine. « Et ça, ça ressemble à une omelette, mais va savoir. » C’était un gâteau de poisson !
    (www.linternaute.com)
3. Lisez le texte et choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
La télé a ruiné notre maison !
 
    C’est Linda qui a eu l’idée : à force de regarder d’heureux anonymes se faire refaire leur maison aux frais d’émissions de décoration en tout genre, on s’est dit : pourquoi pas nous ? À l’époque, on avait emménagé dans notre pavillon depuis à peine un an pour que chacun de nos enfants puisse avoir sa chambre. Mais quand on a appris qu’on attendait le quatrième, on a décidé d’envoyer notre dossier de candidature. On n’avait pas de quoi déménager pour trouver plus grand, et il était hors de question qu’on se remette à dormir dans le salon : il nous fallait de l’aide pour réorganiser l’étage. Or clairement, je n’étais pas assez doué de mes dix doigts pour prendre en charge un tel chantier.
 
   Quand on a été sélectionnés, ça a donc été un grand soulagement pour nous : Linda était déjà enceinte jusqu’aux dents et notre bébé allait pointer le bout de son nez d’ici à la fin du mois. On a donc déroulé le tapis rouge à l’équipe qui s’est direct attiré les foudres des voisins en garant toutes ses camionnettes devant leurs fenêtres. Sans parler des bruits des perceuses la nuit ! Il a ensuite fallu qu’on vide les chambres de nos enfants : leur but était bien sûr de remplacer par du mobilier contemporain nos meubles de famille un peu vieillots, comme l’armoire en bois de ma grand-mère ou mon fauteuil club. Je n’ai rien contre, le problème, c’est qu’on a dû s’en débarrasser très vite, sans avoir le temps de réfléchir, alors que, si ça se trouve, nous aurions pu en tirer un bon prix chez un brocanteur. Mais quand on a réclamé un peu de temps, on nous a dit qu’on n’en avait pas et qu’on devait déjà s’estimer heureux d’avoir été sélectionnés ! 
 
   Bref, ensuite le gros des travaux a commencé. L’idée : transformer la grande salle de bains en quatrième chambre et aménager un bout du long couloir en pièce d’eau. Sauf que quasiment tout ce qui a été fait pendant ces deux jours l’a été à la va-vite : mal isolées, les cloisons humides ont commencé à moisir au bout d’une semaine, le papier peint s’est décollé de partout, les murs étaient pleins de trous… Sans parler du sanibroyeur qu’ils nous ont installé dans la nouvelle salle de bains et qui montre déjà des signes de faiblesse. Je me suis renseigné : ça coûte 1500 € pour le changer. La galère ! 
   
   Pour couronner le tout, nos voisins sont jaloux que ce soit nous, les derniers arrivés du quartier qui aient « bénéficié » d’un tel cadeau. C’est vrai qu’à la télé, le résultat avait l’air top… Du coup, on se fait régulièrement taguer la façade et les gamins jettent des pierres sur nos fenêtres. C’est tellement l’horreur qu’on songe à déménager. 
 
 (Ça s’est passé comme ça !)
0 La famille de Linda a décidé de faire refaire sa maison par une émission de décoration