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Francia emelt érettségi 2016. május Szövegértés 1.
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Francia emelt érettségi 2016. május Szövegértés 2.
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Francia emelt érettségi 2016. május Szövegértés 3.
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Bevezető

Kedves érettségire készülők! 
 
Az alábbi feladatsort gyakorlásra szánjuk. A feladatoknál helyes válaszként mindig a legoptimálisabbat adjuk meg, ettől függetlenül az érettségin elképzelhető más elfogadható megoldás is. A technikai korlátok miatt elképzelhető, hogy egyes esetekben a helyes válaszotokat nem fogadja el a rendszer. A szabad szavas válaszoknál a mondatok végére nem kell pontot tenni, a kis- és nagybetűket nem különbözteti meg a rendszer, az ékezeteket azonban igen. Ha bármelyik feladattal kapcsolatban kérdésetek lenne, keressétek bizalommal az feladatsor összeállítóját a franciatanar0911[kukac]gmail[pont]com címen!
1. Lisez le texte et répondez aux questions. La réponse 0 vous servira d’exemple.
Dans les bagages du moustique tigre, l’inquiétant virus zika
 
    Le zika est un virus similaire à celui du chikungunya, une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques infectés. Il provoque pendant deux à cinq jours de la fièvre, des douleurs musculaires et des irritations de la peau, voire des complications neurologiques. 
 
     Il a été identifié en 1947 en Ouganda, mais n’a donné lieu à de grandes épidémies que bien plus tard : en 2007 en Micronésie, en 2013 en Polynésie française, puis en 2015 au Brésil. Comme ces épidémies sont récentes, le zika a jusque-là été assez peu étudié. On sait toutefois que 74% des personnes infectées ne présentent pas de symptômes. Pour l’heure, aucun décès n’a été recensé.
 
     La contamination passe par la piqûre d’un moustique de la famille des Aedes, dont le moustique tigre fait partie. Pas de chance, ce dernier a envahi la France cet été : 20 départements, principalement situés dans le sud, ont été placés en alerte rouge par le site indépendant de surveillance « Vigilance moustiques ».
 
      Le Haut Conseil de la santé publique redoute que des voyageurs partis en Guadeloupe, Martinique, Guyane, à la Réunion ou à Mayotte, où le risque de contamination est considéré comme réel, n’importent le virus en métropole. Ensuite, le moustique tigre n’aurait plus qu’à entrer en action.
 
      Il n’existe ni vaccin, ni traitement spécifique. Tout ce que les médecins peuvent faire, c’est tenter d’apaiser les symptômes. Pour protéger la population, les malades doivent être isolés sous moustiquaire ou dans une pièce aux fenêtres fermées pour éviter une nouvelle piqûre et donc, de répandre le virus.
 
      Le moustique tigre n’est pas facile à reconnaître, tant l’ennemi est discret. Le site « Vigilance moustiques » donne la définition suivante : « Il est plus petit qu’une pièce d’un centime (il ne mesure que quelques millimètres), il a un vol assez lent et est facile à écraser en vol. Vu de plus près, on distingue qu’il est noir avec des rayures blanches sur les pattes et sur l’abdomen, ce qui lui vaut son surnom de moustique tigre. »
 
     Que faire pour ne pas être piqué ? Il faut faire attention aux eaux stagnantes, où les femelles moustiques aiment pondre : marécages, trous d’eau, gouttières trop pleines. Il faut utiliser du spray répulsif sur la peau et les vêtements. (www.tempsreel.nouvelobs.com)


0 Qu’est-ce que le zika ? C’est un virus qui peut être    
1 Quels sont les symptômes des personnes infectées ? Donnez trois symptômes.          
2 Quand le virus zika a-t-il été découvert ?   
3 Pourquoi le zika n’a-t-il pas fait l’objet de recherches plus sérieuses ? Parce qu’il   
4 Est-ce qu’on remarque toujours qu’on est atteint de la maladie ?   
5 Comment attrape-t-on le zika ?   
6 Pourquoi les voyageurs en provenance d’Outre-mer représentent-ils un danger pour la
partie européenne de la France ?   
7 Comment peut-on guérir la maladie ?   
8 Quelles sont les caractéristiques du moustique tigre ? Donnez-en trois.  Il est   , il a un   , il est facile   
9 Que peut-on faire pour éviter d’être piqué ? Donnez deux exemples. Il faut faire    Il faut utiliser   
2. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple.
Je vis sans diplôme et j'ai réussi ma vie : dans la pub, je gagne 3600 euros par mois 
 
      Les élèves en terminale ont tous le mot à la bouche : « bac ». Arnaud a tenté à deux reprises d’avoir ce diplôme. Sans succès. Peut-on réussir professionnellement sans décrocher le fameux sésame ? Arnaud a fait le choix de s’en passer. Aujourd’hui, il est publicitaire. Il n’a aucun regret : les études, ce n’était pas son truc. Témoignage. 
 
     La première fois que j’ai tenté d’avoir le bac, c’était en 1986. J’ai passé les épreuves sans vraiment y croire. Il faut dire que j’ai toujours été un cancre à l’école : je préférais fumer des pétards et sécher les cours plutôt qu’apprendre.
 
     Pourtant, le bac, à cette époque, c’était vraiment LE diplôme à avoir. Impossible de faire des études supérieures et difficile de se lancer dans un métier sans ce petit bout de papier jugé indispensable. 
 
     Cette première tentative d’avoir le bac s’est soldée par un fiasco. Je ne me souviens plus très bien, mais je crois avoir eu une moyenne générale de 6 ou 7 sur 20. Pas de rattrapage possible. De toute façon, je n’y croyais pas vraiment et mes parents non plus. Je ne me suis même pas déplacé pour aller voir les résultats.
 
     Déçu mais peu surpris, j’ai décidé de retenter ma chance l’année suivante en tant que candidat libre. Je ne voulais en aucun cas revenir sur les bancs de l’école. Rien qu’à l’idée, j’en avais la boule au ventre. Pendant un an, j’ai donc travaillé dans l’entreprise de mon père. J’ai pu prendre mon indépendance et gagner mon premier salaire. 
 
      Aux épreuves, j’ai obtenu quelques notes correctes comme 13 en anglais ou la moyenne en philosophie, mais les mathématiques m’ont plombé : j’ai eu 2/20. Au final, j’ai tout de même réussi à aller aux oraux, mais là encore, j’ai joué de malchance. Résultat : j’ai raté mon bac à quelques centièmes près.
 
      J’étais dégoûté, mais il était hors de question de recommencer. Tant pis, j’allais faire sans. Pour moi, le bac n’avait pas vraiment d’importance. Je ne voulais pas faire d’études supérieures, mais rentrer dans la vie active au plus vite. Finalement, si j’ai retenté ma chance, c’était surtout parce que j’avais peur du regard des autres. 
 
      Sans bac, j’ai décidé de continuer à travailler chez mon père pendant trois ans. Le travail me plaisait. Puis, grâce à une connaissance, j’ai pu intégrer une agence publicitaire. J’y suis resté 10 ans et je continue de faire ce métier.
  
      Lors de mes deux premiers emplois, on ne m’a jamais parlé de mon bac. Quand j’ai eu la trentaine, j’ai changé de travail. Sur mon CV, j’ai décidé de mentir et de préciser que j’étais titulaire du baccalauréat. On ne m’a jamais ni posé de questions ni demandé de fournir une photocopie du diplôme. Si on m’avait interrogé en entretien d’embauche, j’aurais menti sans problème car j’estime que le bac ne veut rien dire. 
 
    Quoi qu’il advienne, à mon âge, on ne me posera jamais de questions sur mon baccalauréat. Un jour, j’ai dit à ma patronne que je ne l’avais pas. Elle a explosé de rire, mais pour elle, ça n’avait aucune importance.
 
   (www.leplus.nouvelobs.com)
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C Arnaud a essayé de passer deux fois son bac mais les deux fois il a échoué
B Comme il n’a pas réussi son bac du premier coup, il n’a pas eu le droit de repasser
D Arnaud a essayé de passer deux fois son bac, et finalement il a réussi
A Comme il n’a pas réussi son bac du premier coup, Arnaud a laissé tomber
2. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple.
Je vis sans diplôme et j'ai réussi ma vie : dans la pub, je gagne 3600 euros par mois 
 
      Les élèves en terminale ont tous le mot à la bouche : « bac ». Arnaud a tenté à deux reprises d’avoir ce diplôme. Sans succès. Peut-on réussir professionnellement sans décrocher le fameux sésame ? Arnaud a fait le choix de s’en passer. Aujourd’hui, il est publicitaire. Il n’a aucun regret : les études, ce n’était pas son truc. Témoignage. 
 
     La première fois que j’ai tenté d’avoir le bac, c’était en 1986. J’ai passé les épreuves sans vraiment y croire. Il faut dire que j’ai toujours été un cancre à l’école : je préférais fumer des pétards et sécher les cours plutôt qu’apprendre.
 
     Pourtant, le bac, à cette époque, c’était vraiment LE diplôme à avoir. Impossible de faire des études supérieures et difficile de se lancer dans un métier sans ce petit bout de papier jugé indispensable. 
 
     Cette première tentative d’avoir le bac s’est soldée par un fiasco. Je ne me souviens plus très bien, mais je crois avoir eu une moyenne générale de 6 ou 7 sur 20. Pas de rattrapage possible. De toute façon, je n’y croyais pas vraiment et mes parents non plus. Je ne me suis même pas déplacé pour aller voir les résultats.
 
     Déçu mais peu surpris, j’ai décidé de retenter ma chance l’année suivante en tant que candidat libre. Je ne voulais en aucun cas revenir sur les bancs de l’école. Rien qu’à l’idée, j’en avais la boule au ventre. Pendant un an, j’ai donc travaillé dans l’entreprise de mon père. J’ai pu prendre mon indépendance et gagner mon premier salaire. 
 
      Aux épreuves, j’ai obtenu quelques notes correctes comme 13 en anglais ou la moyenne en philosophie, mais les mathématiques m’ont plombé : j’ai eu 2/20. Au final, j’ai tout de même réussi à aller aux oraux, mais là encore, j’ai joué de malchance. Résultat : j’ai raté mon bac à quelques centièmes près.
 
      J’étais dégoûté, mais il était hors de question de recommencer. Tant pis, j’allais faire sans. Pour moi, le bac n’avait pas vraiment d’importance. Je ne voulais pas faire d’études supérieures, mais rentrer dans la vie active au plus vite. Finalement, si j’ai retenté ma chance, c’était surtout parce que j’avais peur du regard des autres. 
 
      Sans bac, j’ai décidé de continuer à travailler chez mon père pendant trois ans. Le travail me plaisait. Puis, grâce à une connaissance, j’ai pu intégrer une agence publicitaire. J’y suis resté 10 ans et je continue de faire ce métier.
  
      Lors de mes deux premiers emplois, on ne m’a jamais parlé de mon bac. Quand j’ai eu la trentaine, j’ai changé de travail. Sur mon CV, j’ai décidé de mentir et de préciser que j’étais titulaire du baccalauréat. On ne m’a jamais ni posé de questions ni demandé de fournir une photocopie du diplôme. Si on m’avait interrogé en entretien d’embauche, j’aurais menti sans problème car j’estime que le bac ne veut rien dire. 
 
    Quoi qu’il advienne, à mon âge, on ne me posera jamais de questions sur mon baccalauréat. Un jour, j’ai dit à ma patronne que je ne l’avais pas. Elle a explosé de rire, mais pour elle, ça n’avait aucune importance.
 
   (www.leplus.nouvelobs.com)
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A Arnaud a tout fait pour réussir ses épreuves en 1986
C Arnaud croyait vraiment réussir en 1986
B Comme il n’y croyait pas vraiment, il n’a pas tenté de passer les épreuves en 1986
D Arnaud n’a jamais été un élève modèle
2. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple.
Je vis sans diplôme et j'ai réussi ma vie : dans la pub, je gagne 3600 euros par mois 
 
      Les élèves en terminale ont tous le mot à la bouche : « bac ». Arnaud a tenté à deux reprises d’avoir ce diplôme. Sans succès. Peut-on réussir professionnellement sans décrocher le fameux sésame ? Arnaud a fait le choix de s’en passer. Aujourd’hui, il est publicitaire. Il n’a aucun regret : les études, ce n’était pas son truc. Témoignage. 
 
     La première fois que j’ai tenté d’avoir le bac, c’était en 1986. J’ai passé les épreuves sans vraiment y croire. Il faut dire que j’ai toujours été un cancre à l’école : je préférais fumer des pétards et sécher les cours plutôt qu’apprendre.
 
     Pourtant, le bac, à cette époque, c’était vraiment LE diplôme à avoir. Impossible de faire des études supérieures et difficile de se lancer dans un métier sans ce petit bout de papier jugé indispensable. 
 
     Cette première tentative d’avoir le bac s’est soldée par un fiasco. Je ne me souviens plus très bien, mais je crois avoir eu une moyenne générale de 6 ou 7 sur 20. Pas de rattrapage possible. De toute façon, je n’y croyais pas vraiment et mes parents non plus. Je ne me suis même pas déplacé pour aller voir les résultats.
 
     Déçu mais peu surpris, j’ai décidé de retenter ma chance l’année suivante en tant que candidat libre. Je ne voulais en aucun cas revenir sur les bancs de l’école. Rien qu’à l’idée, j’en avais la boule au ventre. Pendant un an, j’ai donc travaillé dans l’entreprise de mon père. J’ai pu prendre mon indépendance et gagner mon premier salaire. 
 
      Aux épreuves, j’ai obtenu quelques notes correctes comme 13 en anglais ou la moyenne en philosophie, mais les mathématiques m’ont plombé : j’ai eu 2/20. Au final, j’ai tout de même réussi à aller aux oraux, mais là encore, j’ai joué de malchance. Résultat : j’ai raté mon bac à quelques centièmes près.
 
      J’étais dégoûté, mais il était hors de question de recommencer. Tant pis, j’allais faire sans. Pour moi, le bac n’avait pas vraiment d’importance. Je ne voulais pas faire d’études supérieures, mais rentrer dans la vie active au plus vite. Finalement, si j’ai retenté ma chance, c’était surtout parce que j’avais peur du regard des autres. 
 
      Sans bac, j’ai décidé de continuer à travailler chez mon père pendant trois ans. Le travail me plaisait. Puis, grâce à une connaissance, j’ai pu intégrer une agence publicitaire. J’y suis resté 10 ans et je continue de faire ce métier.
  
      Lors de mes deux premiers emplois, on ne m’a jamais parlé de mon bac. Quand j’ai eu la trentaine, j’ai changé de travail. Sur mon CV, j’ai décidé de mentir et de préciser que j’étais titulaire du baccalauréat. On ne m’a jamais ni posé de questions ni demandé de fournir une photocopie du diplôme. Si on m’avait interrogé en entretien d’embauche, j’aurais menti sans problème car j’estime que le bac ne veut rien dire. 
 
    Quoi qu’il advienne, à mon âge, on ne me posera jamais de questions sur mon baccalauréat. Un jour, j’ai dit à ma patronne que je ne l’avais pas. Elle a explosé de rire, mais pour elle, ça n’avait aucune importance.
 
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C Arnaud préférait apprendre plutôt que sécher les cours
D À l’école, les cancres apprenaient plutôt bien
B Au lieu d’aller en cours, Arnaud faisait sauter des pétards
A Dans la vie d’Arnaud, l’école ne jouait pas un rôle important
2. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple.
Je vis sans diplôme et j'ai réussi ma vie : dans la pub, je gagne 3600 euros par mois 
 
      Les élèves en terminale ont tous le mot à la bouche : « bac ». Arnaud a tenté à deux reprises d’avoir ce diplôme. Sans succès. Peut-on réussir professionnellement sans décrocher le fameux sésame ? Arnaud a fait le choix de s’en passer. Aujourd’hui, il est publicitaire. Il n’a aucun regret : les études, ce n’était pas son truc. Témoignage. 
 
     La première fois que j’ai tenté d’avoir le bac, c’était en 1986. J’ai passé les épreuves sans vraiment y croire. Il faut dire que j’ai toujours été un cancre à l’école : je préférais fumer des pétards et sécher les cours plutôt qu’apprendre.
 
     Pourtant, le bac, à cette époque, c’était vraiment LE diplôme à avoir. Impossible de faire des études supérieures et difficile de se lancer dans un métier sans ce petit bout de papier jugé indispensable. 
 
     Cette première tentative d’avoir le bac s’est soldée par un fiasco. Je ne me souviens plus très bien, mais je crois avoir eu une moyenne générale de 6 ou 7 sur 20. Pas de rattrapage possible. De toute façon, je n’y croyais pas vraiment et mes parents non plus. Je ne me suis même pas déplacé pour aller voir les résultats.
 
     Déçu mais peu surpris, j’ai décidé de retenter ma chance l’année suivante en tant que candidat libre. Je ne voulais en aucun cas revenir sur les bancs de l’école. Rien qu’à l’idée, j’en avais la boule au ventre. Pendant un an, j’ai donc travaillé dans l’entreprise de mon père. J’ai pu prendre mon indépendance et gagner mon premier salaire. 
 
      Aux épreuves, j’ai obtenu quelques notes correctes comme 13 en anglais ou la moyenne en philosophie, mais les mathématiques m’ont plombé : j’ai eu 2/20. Au final, j’ai tout de même réussi à aller aux oraux, mais là encore, j’ai joué de malchance. Résultat : j’ai raté mon bac à quelques centièmes près.
 
      J’étais dégoûté, mais il était hors de question de recommencer. Tant pis, j’allais faire sans. Pour moi, le bac n’avait pas vraiment d’importance. Je ne voulais pas faire d’études supérieures, mais rentrer dans la vie active au plus vite. Finalement, si j’ai retenté ma chance, c’était surtout parce que j’avais peur du regard des autres. 
 
      Sans bac, j’ai décidé de continuer à travailler chez mon père pendant trois ans. Le travail me plaisait. Puis, grâce à une connaissance, j’ai pu intégrer une agence publicitaire. J’y suis resté 10 ans et je continue de faire ce métier.
  
      Lors de mes deux premiers emplois, on ne m’a jamais parlé de mon bac. Quand j’ai eu la trentaine, j’ai changé de travail. Sur mon CV, j’ai décidé de mentir et de préciser que j’étais titulaire du baccalauréat. On ne m’a jamais ni posé de questions ni demandé de fournir une photocopie du diplôme. Si on m’avait interrogé en entretien d’embauche, j’aurais menti sans problème car j’estime que le bac ne veut rien dire. 
 
    Quoi qu’il advienne, à mon âge, on ne me posera jamais de questions sur mon baccalauréat. Un jour, j’ai dit à ma patronne que je ne l’avais pas. Elle a explosé de rire, mais pour elle, ça n’avait aucune importance.
 
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12


B Dans sa jeunesse, avoir le bac était obligatoire
D Dans sa jeunesse, un métier était indispensable avant d’avoir le bac
A Dans sa jeunesse, avoir le bac était capital
C Dans sa jeunesse, le bac était considéré comme un petit papier sans importance
2. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple.
Je vis sans diplôme et j'ai réussi ma vie : dans la pub, je gagne 3600 euros par mois 
 
      Les élèves en terminale ont tous le mot à la bouche : « bac ». Arnaud a tenté à deux reprises d’avoir ce diplôme. Sans succès. Peut-on réussir professionnellement sans décrocher le fameux sésame ? Arnaud a fait le choix de s’en passer. Aujourd’hui, il est publicitaire. Il n’a aucun regret : les études, ce n’était pas son truc. Témoignage. 
 
     La première fois que j’ai tenté d’avoir le bac, c’était en 1986. J’ai passé les épreuves sans vraiment y croire. Il faut dire que j’ai toujours été un cancre à l’école : je préférais fumer des pétards et sécher les cours plutôt qu’apprendre.
 
     Pourtant, le bac, à cette époque, c’était vraiment LE diplôme à avoir. Impossible de faire des études supérieures et difficile de se lancer dans un métier sans ce petit bout de papier jugé indispensable. 
 
     Cette première tentative d’avoir le bac s’est soldée par un fiasco. Je ne me souviens plus très bien, mais je crois avoir eu une moyenne générale de 6 ou 7 sur 20. Pas de rattrapage possible. De toute façon, je n’y croyais pas vraiment et mes parents non plus. Je ne me suis même pas déplacé pour aller voir les résultats.
 
     Déçu mais peu surpris, j’ai décidé de retenter ma chance l’année suivante en tant que candidat libre. Je ne voulais en aucun cas revenir sur les bancs de l’école. Rien qu’à l’idée, j’en avais la boule au ventre. Pendant un an, j’ai donc travaillé dans l’entreprise de mon père. J’ai pu prendre mon indépendance et gagner mon premier salaire. 
 
      Aux épreuves, j’ai obtenu quelques notes correctes comme 13 en anglais ou la moyenne en philosophie, mais les mathématiques m’ont plombé : j’ai eu 2/20. Au final, j’ai tout de même réussi à aller aux oraux, mais là encore, j’ai joué de malchance. Résultat : j’ai raté mon bac à quelques centièmes près.
 
      J’étais dégoûté, mais il était hors de question de recommencer. Tant pis, j’allais faire sans. Pour moi, le bac n’avait pas vraiment d’importance. Je ne voulais pas faire d’études supérieures, mais rentrer dans la vie active au plus vite. Finalement, si j’ai retenté ma chance, c’était surtout parce que j’avais peur du regard des autres. 
 
      Sans bac, j’ai décidé de continuer à travailler chez mon père pendant trois ans. Le travail me plaisait. Puis, grâce à une connaissance, j’ai pu intégrer une agence publicitaire. J’y suis resté 10 ans et je continue de faire ce métier.
  
      Lors de mes deux premiers emplois, on ne m’a jamais parlé de mon bac. Quand j’ai eu la trentaine, j’ai changé de travail. Sur mon CV, j’ai décidé de mentir et de préciser que j’étais titulaire du baccalauréat. On ne m’a jamais ni posé de questions ni demandé de fournir une photocopie du diplôme. Si on m’avait interrogé en entretien d’embauche, j’aurais menti sans problème car j’estime que le bac ne veut rien dire. 
 
    Quoi qu’il advienne, à mon âge, on ne me posera jamais de questions sur mon baccalauréat. Un jour, j’ai dit à ma patronne que je ne l’avais pas. Elle a explosé de rire, mais pour elle, ça n’avait aucune importance.
 
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13


C S'il avait voulu, il aurait eu la possibilité de repasser son premier bac la même année
B S'il avait vu les résultats de son premier bac, il aurait pu repasser ses épreuves
A Après sa première tentative, il a essayé de s’acheter un diplôme soldé aux puces
D Même s’il avait voulu, il n’aurait pas pu repasser son premier bac la même année
2. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple.
Je vis sans diplôme et j'ai réussi ma vie : dans la pub, je gagne 3600 euros par mois 
 
      Les élèves en terminale ont tous le mot à la bouche : « bac ». Arnaud a tenté à deux reprises d’avoir ce diplôme. Sans succès. Peut-on réussir professionnellement sans décrocher le fameux sésame ? Arnaud a fait le choix de s’en passer. Aujourd’hui, il est publicitaire. Il n’a aucun regret : les études, ce n’était pas son truc. Témoignage. 
 
     La première fois que j’ai tenté d’avoir le bac, c’était en 1986. J’ai passé les épreuves sans vraiment y croire. Il faut dire que j’ai toujours été un cancre à l’école : je préférais fumer des pétards et sécher les cours plutôt qu’apprendre.
 
     Pourtant, le bac, à cette époque, c’était vraiment LE diplôme à avoir. Impossible de faire des études supérieures et difficile de se lancer dans un métier sans ce petit bout de papier jugé indispensable. 
 
     Cette première tentative d’avoir le bac s’est soldée par un fiasco. Je ne me souviens plus très bien, mais je crois avoir eu une moyenne générale de 6 ou 7 sur 20. Pas de rattrapage possible. De toute façon, je n’y croyais pas vraiment et mes parents non plus. Je ne me suis même pas déplacé pour aller voir les résultats.
 
     Déçu mais peu surpris, j’ai décidé de retenter ma chance l’année suivante en tant que candidat libre. Je ne voulais en aucun cas revenir sur les bancs de l’école. Rien qu’à l’idée, j’en avais la boule au ventre. Pendant un an, j’ai donc travaillé dans l’entreprise de mon père. J’ai pu prendre mon indépendance et gagner mon premier salaire. 
 
      Aux épreuves, j’ai obtenu quelques notes correctes comme 13 en anglais ou la moyenne en philosophie, mais les mathématiques m’ont plombé : j’ai eu 2/20. Au final, j’ai tout de même réussi à aller aux oraux, mais là encore, j’ai joué de malchance. Résultat : j’ai raté mon bac à quelques centièmes près.
 
      J’étais dégoûté, mais il était hors de question de recommencer. Tant pis, j’allais faire sans. Pour moi, le bac n’avait pas vraiment d’importance. Je ne voulais pas faire d’études supérieures, mais rentrer dans la vie active au plus vite. Finalement, si j’ai retenté ma chance, c’était surtout parce que j’avais peur du regard des autres. 
 
      Sans bac, j’ai décidé de continuer à travailler chez mon père pendant trois ans. Le travail me plaisait. Puis, grâce à une connaissance, j’ai pu intégrer une agence publicitaire. J’y suis resté 10 ans et je continue de faire ce métier.
  
      Lors de mes deux premiers emplois, on ne m’a jamais parlé de mon bac. Quand j’ai eu la trentaine, j’ai changé de travail. Sur mon CV, j’ai décidé de mentir et de préciser que j’étais titulaire du baccalauréat. On ne m’a jamais ni posé de questions ni demandé de fournir une photocopie du diplôme. Si on m’avait interrogé en entretien d’embauche, j’aurais menti sans problème car j’estime que le bac ne veut rien dire. 
 
    Quoi qu’il advienne, à mon âge, on ne me posera jamais de questions sur mon baccalauréat. Un jour, j’ai dit à ma patronne que je ne l’avais pas. Elle a explosé de rire, mais pour elle, ça n’avait aucune importance.
 
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14


D Il a réessayé de passer son bac sans avoir repassé une année à l’école
B Pour prouver sa liberté, Arnaud a décidé de prolonger sa scolarité
C Déçu par ses résultats, Arnaud a décidé de retourner sur les bancs de l’école
A Tous les jours, en sortant de ses cours, il allait travailler dans l’entreprise de son père
2. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple.
Je vis sans diplôme et j'ai réussi ma vie : dans la pub, je gagne 3600 euros par mois 
 
      Les élèves en terminale ont tous le mot à la bouche : « bac ». Arnaud a tenté à deux reprises d’avoir ce diplôme. Sans succès. Peut-on réussir professionnellement sans décrocher le fameux sésame ? Arnaud a fait le choix de s’en passer. Aujourd’hui, il est publicitaire. Il n’a aucun regret : les études, ce n’était pas son truc. Témoignage. 
 
     La première fois que j’ai tenté d’avoir le bac, c’était en 1986. J’ai passé les épreuves sans vraiment y croire. Il faut dire que j’ai toujours été un cancre à l’école : je préférais fumer des pétards et sécher les cours plutôt qu’apprendre.
 
     Pourtant, le bac, à cette époque, c’était vraiment LE diplôme à avoir. Impossible de faire des études supérieures et difficile de se lancer dans un métier sans ce petit bout de papier jugé indispensable. 
 
     Cette première tentative d’avoir le bac s’est soldée par un fiasco. Je ne me souviens plus très bien, mais je crois avoir eu une moyenne générale de 6 ou 7 sur 20. Pas de rattrapage possible. De toute façon, je n’y croyais pas vraiment et mes parents non plus. Je ne me suis même pas déplacé pour aller voir les résultats.
 
     Déçu mais peu surpris, j’ai décidé de retenter ma chance l’année suivante en tant que candidat libre. Je ne voulais en aucun cas revenir sur les bancs de l’école. Rien qu’à l’idée, j’en avais la boule au ventre. Pendant un an, j’ai donc travaillé dans l’entreprise de mon père. J’ai pu prendre mon indépendance et gagner mon premier salaire. 
 
      Aux épreuves, j’ai obtenu quelques notes correctes comme 13 en anglais ou la moyenne en philosophie, mais les mathématiques m’ont plombé : j’ai eu 2/20. Au final, j’ai tout de même réussi à aller aux oraux, mais là encore, j’ai joué de malchance. Résultat : j’ai raté mon bac à quelques centièmes près.
 
      J’étais dégoûté, mais il était hors de question de recommencer. Tant pis, j’allais faire sans. Pour moi, le bac n’avait pas vraiment d’importance. Je ne voulais pas faire d’études supérieures, mais rentrer dans la vie active au plus vite. Finalement, si j’ai retenté ma chance, c’était surtout parce que j’avais peur du regard des autres. 
 
      Sans bac, j’ai décidé de continuer à travailler chez mon père pendant trois ans. Le travail me plaisait. Puis, grâce à une connaissance, j’ai pu intégrer une agence publicitaire. J’y suis resté 10 ans et je continue de faire ce métier.
  
      Lors de mes deux premiers emplois, on ne m’a jamais parlé de mon bac. Quand j’ai eu la trentaine, j’ai changé de travail. Sur mon CV, j’ai décidé de mentir et de préciser que j’étais titulaire du baccalauréat. On ne m’a jamais ni posé de questions ni demandé de fournir une photocopie du diplôme. Si on m’avait interrogé en entretien d’embauche, j’aurais menti sans problème car j’estime que le bac ne veut rien dire. 
 
    Quoi qu’il advienne, à mon âge, on ne me posera jamais de questions sur mon baccalauréat. Un jour, j’ai dit à ma patronne que je ne l’avais pas. Elle a explosé de rire, mais pour elle, ça n’avait aucune importance.
 
   (www.leplus.nouvelobs.com)
15


B Pour la deuxième fois, il ne lui manquait que peu pour avoir son bac
A C’est à cause de ses résultats en anglais qu’il a raté son bac pour la deuxième fois
D Même si à l’écrit il a eu des problèmes, Arnaud a bien réussi les oraux
C Sa deuxième tentative pour passer son bac a été couronnée de succès
2. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple.
Je vis sans diplôme et j'ai réussi ma vie : dans la pub, je gagne 3600 euros par mois 
 
      Les élèves en terminale ont tous le mot à la bouche : « bac ». Arnaud a tenté à deux reprises d’avoir ce diplôme. Sans succès. Peut-on réussir professionnellement sans décrocher le fameux sésame ? Arnaud a fait le choix de s’en passer. Aujourd’hui, il est publicitaire. Il n’a aucun regret : les études, ce n’était pas son truc. Témoignage. 
 
     La première fois que j’ai tenté d’avoir le bac, c’était en 1986. J’ai passé les épreuves sans vraiment y croire. Il faut dire que j’ai toujours été un cancre à l’école : je préférais fumer des pétards et sécher les cours plutôt qu’apprendre.
 
     Pourtant, le bac, à cette époque, c’était vraiment LE diplôme à avoir. Impossible de faire des études supérieures et difficile de se lancer dans un métier sans ce petit bout de papier jugé indispensable. 
 
     Cette première tentative d’avoir le bac s’est soldée par un fiasco. Je ne me souviens plus très bien, mais je crois avoir eu une moyenne générale de 6 ou 7 sur 20. Pas de rattrapage possible. De toute façon, je n’y croyais pas vraiment et mes parents non plus. Je ne me suis même pas déplacé pour aller voir les résultats.
 
     Déçu mais peu surpris, j’ai décidé de retenter ma chance l’année suivante en tant que candidat libre. Je ne voulais en aucun cas revenir sur les bancs de l’école. Rien qu’à l’idée, j’en avais la boule au ventre. Pendant un an, j’ai donc travaillé dans l’entreprise de mon père. J’ai pu prendre mon indépendance et gagner mon premier salaire. 
 
      Aux épreuves, j’ai obtenu quelques notes correctes comme 13 en anglais ou la moyenne en philosophie, mais les mathématiques m’ont plombé : j’ai eu 2/20. Au final, j’ai tout de même réussi à aller aux oraux, mais là encore, j’ai joué de malchance. Résultat : j’ai raté mon bac à quelques centièmes près.
 
      J’étais dégoûté, mais il était hors de question de recommencer. Tant pis, j’allais faire sans. Pour moi, le bac n’avait pas vraiment d’importance. Je ne voulais pas faire d’études supérieures, mais rentrer dans la vie active au plus vite. Finalement, si j’ai retenté ma chance, c’était surtout parce que j’avais peur du regard des autres. 
 
      Sans bac, j’ai décidé de continuer à travailler chez mon père pendant trois ans. Le travail me plaisait. Puis, grâce à une connaissance, j’ai pu intégrer une agence publicitaire. J’y suis resté 10 ans et je continue de faire ce métier.
  
      Lors de mes deux premiers emplois, on ne m’a jamais parlé de mon bac. Quand j’ai eu la trentaine, j’ai changé de travail. Sur mon CV, j’ai décidé de mentir et de préciser que j’étais titulaire du baccalauréat. On ne m’a jamais ni posé de questions ni demandé de fournir une photocopie du diplôme. Si on m’avait interrogé en entretien d’embauche, j’aurais menti sans problème car j’estime que le bac ne veut rien dire. 
 
    Quoi qu’il advienne, à mon âge, on ne me posera jamais de questions sur mon baccalauréat. Un jour, j’ai dit à ma patronne que je ne l’avais pas. Elle a explosé de rire, mais pour elle, ça n’avait aucune importance.
 
   (www.leplus.nouvelobs.com)
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C Il craignait d’être jugé par son entourage, donc il a réessayé une deuxième fois
A Il ne pouvait pas travailler sans bac dans l’entreprise de son père, donc il a réessayé
B Réussir le bac était important pour lui pour le développement de sa personnalité
D Il aurait pu entrer dans la vie active plus vite avec son bac
2. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple.
Je vis sans diplôme et j'ai réussi ma vie : dans la pub, je gagne 3600 euros par mois 
 
      Les élèves en terminale ont tous le mot à la bouche : « bac ». Arnaud a tenté à deux reprises d’avoir ce diplôme. Sans succès. Peut-on réussir professionnellement sans décrocher le fameux sésame ? Arnaud a fait le choix de s’en passer. Aujourd’hui, il est publicitaire. Il n’a aucun regret : les études, ce n’était pas son truc. Témoignage. 
 
     La première fois que j’ai tenté d’avoir le bac, c’était en 1986. J’ai passé les épreuves sans vraiment y croire. Il faut dire que j’ai toujours été un cancre à l’école : je préférais fumer des pétards et sécher les cours plutôt qu’apprendre.
 
     Pourtant, le bac, à cette époque, c’était vraiment LE diplôme à avoir. Impossible de faire des études supérieures et difficile de se lancer dans un métier sans ce petit bout de papier jugé indispensable. 
 
     Cette première tentative d’avoir le bac s’est soldée par un fiasco. Je ne me souviens plus très bien, mais je crois avoir eu une moyenne générale de 6 ou 7 sur 20. Pas de rattrapage possible. De toute façon, je n’y croyais pas vraiment et mes parents non plus. Je ne me suis même pas déplacé pour aller voir les résultats.
 
     Déçu mais peu surpris, j’ai décidé de retenter ma chance l’année suivante en tant que candidat libre. Je ne voulais en aucun cas revenir sur les bancs de l’école. Rien qu’à l’idée, j’en avais la boule au ventre. Pendant un an, j’ai donc travaillé dans l’entreprise de mon père. J’ai pu prendre mon indépendance et gagner mon premier salaire. 
 
      Aux épreuves, j’ai obtenu quelques notes correctes comme 13 en anglais ou la moyenne en philosophie, mais les mathématiques m’ont plombé : j’ai eu 2/20. Au final, j’ai tout de même réussi à aller aux oraux, mais là encore, j’ai joué de malchance. Résultat : j’ai raté mon bac à quelques centièmes près.
 
      J’étais dégoûté, mais il était hors de question de recommencer. Tant pis, j’allais faire sans. Pour moi, le bac n’avait pas vraiment d’importance. Je ne voulais pas faire d’études supérieures, mais rentrer dans la vie active au plus vite. Finalement, si j’ai retenté ma chance, c’était surtout parce que j’avais peur du regard des autres. 
 
      Sans bac, j’ai décidé de continuer à travailler chez mon père pendant trois ans. Le travail me plaisait. Puis, grâce à une connaissance, j’ai pu intégrer une agence publicitaire. J’y suis resté 10 ans et je continue de faire ce métier.
  
      Lors de mes deux premiers emplois, on ne m’a jamais parlé de mon bac. Quand j’ai eu la trentaine, j’ai changé de travail. Sur mon CV, j’ai décidé de mentir et de préciser que j’étais titulaire du baccalauréat. On ne m’a jamais ni posé de questions ni demandé de fournir une photocopie du diplôme. Si on m’avait interrogé en entretien d’embauche, j’aurais menti sans problème car j’estime que le bac ne veut rien dire. 
 
    Quoi qu’il advienne, à mon âge, on ne me posera jamais de questions sur mon baccalauréat. Un jour, j’ai dit à ma patronne que je ne l’avais pas. Elle a explosé de rire, mais pour elle, ça n’avait aucune importance.
 
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17 


D À trente ans, lors d’un entretien d’embauche, il a menti au sujet de son bac
A À trente ans, il est enfin devenu titulaire du bac
B Dans son CV, il ne parle pas de son bac
C Son CV est faux, il y déclare avoir le bac
2. Lisez le texte. Choisissez la bonne affirmation. La réponse 0 vous servira d’exemple.
Je vis sans diplôme et j'ai réussi ma vie : dans la pub, je gagne 3600 euros par mois 
 
      Les élèves en terminale ont tous le mot à la bouche : « bac ». Arnaud a tenté à deux reprises d’avoir ce diplôme. Sans succès. Peut-on réussir professionnellement sans décrocher le fameux sésame ? Arnaud a fait le choix de s’en passer. Aujourd’hui, il est publicitaire. Il n’a aucun regret : les études, ce n’était pas son truc. Témoignage. 
 
     La première fois que j’ai tenté d’avoir le bac, c’était en 1986. J’ai passé les épreuves sans vraiment y croire. Il faut dire que j’ai toujours été un cancre à l’école : je préférais fumer des pétards et sécher les cours plutôt qu’apprendre.
 
     Pourtant, le bac, à cette époque, c’était vraiment LE diplôme à avoir. Impossible de faire des études supérieures et difficile de se lancer dans un métier sans ce petit bout de papier jugé indispensable. 
 
     Cette première tentative d’avoir le bac s’est soldée par un fiasco. Je ne me souviens plus très bien, mais je crois avoir eu une moyenne générale de 6 ou 7 sur 20. Pas de rattrapage possible. De toute façon, je n’y croyais pas vraiment et mes parents non plus. Je ne me suis même pas déplacé pour aller voir les résultats.
 
     Déçu mais peu surpris, j’ai décidé de retenter ma chance l’année suivante en tant que candidat libre. Je ne voulais en aucun cas revenir sur les bancs de l’école. Rien qu’à l’idée, j’en avais la boule au ventre. Pendant un an, j’ai donc travaillé dans l’entreprise de mon père. J’ai pu prendre mon indépendance et gagner mon premier salaire. 
 
      Aux épreuves, j’ai obtenu quelques notes correctes comme 13 en anglais ou la moyenne en philosophie, mais les mathématiques m’ont plombé : j’ai eu 2/20. Au final, j’ai tout de même réussi à aller aux oraux, mais là encore, j’ai joué de malchance. Résultat : j’ai raté mon bac à quelques centièmes près.
 
      J’étais dégoûté, mais il était hors de question de recommencer. Tant pis, j’allais faire sans. Pour moi, le bac n’avait pas vraiment d’importance. Je ne voulais pas faire d’études supérieures, mais rentrer dans la vie active au plus vite. Finalement, si j’ai retenté ma chance, c’était surtout parce que j’avais peur du regard des autres. 
 
      Sans bac, j’ai décidé de continuer à travailler chez mon père pendant trois ans. Le travail me plaisait. Puis, grâce à une connaissance, j’ai pu intégrer une agence publicitaire. J’y suis resté 10 ans et je continue de faire ce métier.
  
      Lors de mes deux premiers emplois, on ne m’a jamais parlé de mon bac. Quand j’ai eu la trentaine, j’ai changé de travail. Sur mon CV, j’ai décidé de mentir et de préciser que j’étais titulaire du baccalauréat. On ne m’a jamais ni posé de questions ni demandé de fournir une photocopie du diplôme. Si on m’avait interrogé en entretien d’embauche, j’aurais menti sans problème car j’estime que le bac ne veut rien dire. 
 
    Quoi qu’il advienne, à mon âge, on ne me posera jamais de questions sur mon baccalauréat. Un jour, j’ai dit à ma patronne que je ne l’avais pas. Elle a explosé de rire, mais pour elle, ça n’avait aucune importance.
 
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18


D Sa patronne s’est moquée de lui car il n’avait toujours pas son bac à son âge
C Sa patronne n’attribue aucune importance au fait qu’il n’a pas son bac
A Tout le monde se pose la question pourquoi il n’a pas son bac
B Sa patronne pense que le fait d’avoir son bac est important
3. Lisez le texte suivant, puis complétez le résumé du texte par les mots qui manquent. Écrivez à chaque fois un seul mot. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
Kazakhstan : le mystère du « village endormi » résolu 
 
      Des chercheurs ont enfin trouvé l’origine d’une mystérieuse épidémie de sommeil qui plonge depuis plusieurs années les habitants d’un petit village du Kazakhstan dans d’étranges phases léthargiques, avec des réveils très désagréables.
 
      Même les animaux succombent à cette mystérieuse épidémie de sommeil. Telles des Belles au bois dormant, voilà des années que les habitants de Kalachi, au nord du Kazakhstan, tentent de s’expliquer pourquoi, en pleine journée, ils s’endorment sans raison pour roupiller quelques heures, voire quelques jours. Les scientifiques se sont longtemps arraché les cheveux sur leur cas avant de trouver la solution à l’énigme.
 
      Depuis plus de cinq ans, les villageois de Kalachi se retrouvent régulièrement dans des situations incongrues à cause de leurs soudains endormissements alors qu’ils marchent, travaillent ou conduisent. À leur réveil, les Kazakhes ont le sentiment d’avoir la gueule de bois avec vertiges, maux de tête, perte de mémoire, voire hallucinations. Les scientifiques ont d’abord pensé à un abus de vodka, potentiellement frelatée, mais les enfants et les bêtes sont aussi touchés que les adultes. Les nappes phréatiques ont été testées et l’eau potable semble saine. Puis, les soupçons se sont portés sur la proximité de l’ancienne mine d’uranium, dans la ville fantôme de Krasnogorsk, vestige de l’ère soviétique.
 
      Les recherches liées à l’impact de cette ancienne mine s’étaient jusqu’alors avérées compliquées à cause des variations incessantes des taux de prélèvements toxiques. Mais début juillet, le Premier ministre kazakh a expliqué que des analyses récentes avaient confirmé le rôle de la mine de Krasnogorsk. « Elle a été fermée après l’effondrement de l’Union soviétique mais a encore des répercussions négatives sur l’atmosphère. Nous avons effectué un examen médical sur tous les habitants et nous avons reçu la confirmation par les laboratoires que la cause principale de la maladie de Kalachi est le monoxyde de carbone. Lorsque le monoxyde et les niveaux d’hydrocarbures augmentent, les niveaux d’oxygène chutent dans le village », a indiqué le chef du gouvernement. Cette privation ponctuelle d’oxygène explique les brusques pertes de conscience et leurs effets secondaires.
 
      Une fois cet impact confirmé, les autorités ont commencé l’évacuation du village. Selon le Siberian Times, presque 70 des 220 familles touchées avaient été relogées ailleurs, alors que d’autres villageois risquent de devoir attendre jusqu’à l’année prochaine. (www.leparisien.fr)


Le mystère du village de Kalachi vient d’être   : les chercheurs ont réussi à
trouver des des   à un phénomène extraordinaire.
Depuis des années, le/ la /l’ le/ la /l’   surprend les habitants de ce
petit village kazakh dans les moments les plus inattendus. De plus, leur réveil est accompagné
de de   qui ressemblent à ceux d’un alcoolique. Voilà
pourquoi les chercheurs ont supposé d’abord qu’il s’agirait d’un/d’une d’un/ d’une   d’alcool dans le village. Mais l’idée a été rejetée. Ensuite,
les chercheurs ont analysé la/ l’  que les habitants
consommaient et ils ont trouvé qu’elle n’était pas contaminée. L’intérêt des chercheurs s’est
alors tourné vers un/ une   hors service depuis une
vingtaine d’années. Et pour cause ! Les analyses ont   les
soupçons : quand le taux de monoxyde de carbone qui émane de cet endroit « fantôme »   , le niveau d’oxygène   .
Pour protéger les habitants, les autorités kazakhes ont pris des mesures : certaines familles ont
pu   le village.
1. Complétez le texte par la préposition qui convient. La réponse 0 vous servira d’exemple. 


Pourquoi vivent-ils la nuit ?
 
    Envoyer un ado au lit avant 22 h tient souvent    miracle. Car ce petit vampire
n’aime rien de plus que vivre la nuit… quitte à somnoler le jour. Mais avant de s’inquiéter
d’une Twilight-mania, il faut d’abord se rappeler qu’il n’y est    rien. Ce décalage
a une cause psychologique.
 
    L’ado est « programmé » pour s’endormir et se réveiller plus tard. Ses cycles de sommeil
sont perturbés par les poussées hormonales.    cela s’ajoute un facteur
comportemental. L’ado cherche    vivre la nuit car c’est le moment où il est le
seul maître à bord. Il communique    ses copains jusque tard dans la soirée.
Résultat : un ado    quatre dort moins de sept heures la veille d’un jour de classe.
Et une fois qu’ils sont endormis, rien n’est encore gagné. Selon une étude récente, 14% se
réveillent pour jouer sur Internet, 25% se connectent    des réseaux sociaux et
32% envoient des SMS, victimes d’un phénomène nouveau, le sleep texting. Habitués    recevoir en permanence des messages sur leur téléphone, certains ados ne
parviennent pas    séparer leur vie éveillée de leur sommeil. Il leur arrive ainsi    répondre machinalement aux messages qu’ils reçoivent en pleine nuit, sans
forcément s’en souvenir le lendemain…
 
  
(Ça m’intéresse, mai 2014)
2. Mettez les verbes entre parenthèses à la forme qui convient. Écrivez vos solutions sur les lignes. La réponse 0 vous servira d’exemple.


Sauvé par un SOS géant sur le sable
 
  
Ils (vouloir)    découvrir les fonds sous-marins, mais
c’est une tout autre aventure qu’ils (vivre)    : cinq
plongeurs (se retrouver)    coincés sur une petite île au
large de la côte Ouest de l’Australie.
 
     Alors qu’ils étaient sous l’eau, les plongeurs (ne pas
remarquer)    que leur bateau (s’éloigner)    peu à peu.
Détaché de l’ancre qui le maintenait, le bateau est parti à la dérive, (emporter)   eau potable, nourritures et téléphones
portables. Lorsque les cinq plongeurs ont émergé de l’eau, leur
bateau (déjà trop s’éloigner)   pour qu’ils (pouvoir)    le récupérer. 
 
    Heureusement, ils ont eu une idée aussi simple que géniale : tracer
un SOS géant sur le sable !
 
    Quelques heures après, le bateau à la dérive a été repéré. Au
moment où la police (comprendre)    qu’il n’y avait
personne à bord, de sérieuses recherches (lancer)    et
le petit groupe (retrouver)    par les sauveteurs à 17
heures. (souffrir)    de coups de soleil et un peu
déshydratés, ils ont affirmé n’avoir jamais eu peur.
 
  
(www.geoado.com)
3. Complétez le texte par les pronoms (personnel, réfléchi, relatif, démonstratifs, etc.) qui manquent. La réponse 0 vous servira d’exemple. 


Entendez-vous les grillons du métro parisien ?
 
    Le réseau sous-terrain du métro de Paris est un véritable zoo. S’il
n’est pas exclu de/d’   croiser quelques rats ou cafards,
on entend parfois un insecte plus insolite : le grillon !
 
   Originaire d’Afghanistan, le grillon domestique arrive en France au
Moyen Âge, probablement apporté par les transporteurs d’épices. À
Paris,    le climat est moins doux, les grillons trouvent
d’abord refuge chez les boulangers   le four à bois    apporte une chaleur suffisante.
 
   C’est probablement avec la disparition progressive des fours à bois
que les grillons finissent par coloniser un nouvel espace à bonne
température : les voies ferrées du métro sous    le ballast
(les pierres    recouvrent le sol) leur fournit un espace de
vie tout à fait satisfaisant ! Il faut dire qu’il    fait entre
27° en début de matinée et jusqu’à 34° aux heures de pointe ! Il y a
de quoi chanter de joie !
 
    De nos jours, les grillons du métro    font plus rares. La
disparition du ballast, remplacé par du béton sur la ligne 1 a achevé
leur disparition, tandis que l’interdiction de fumer    prive d’une source importante de nourriture, le mégot de cigarette.
La Ligue de Protection des Grillons du Métro Parisien (LPGMP)
exige la limitation de la durée des grèves    font
inévitablement chuter la température du sous-sol métropolitain.
 
 On peut tout de même encore entendre chanter les grillons dans
quelques stations de la ligne 3, notamment dans    de
Gallieni et de Pont de Levallois.
 
  
(www.anecdote-du-jour.com)
4. Voici quelques bonnes raisons pour lesquelles il vaut mieux ne pas faire de régime. Remettez à leur place les infinitifs enlevés du texte. Écrivez vos solutions dans les cases du tableau ci-dessous. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
 Ton activité ici: Écris les lettres dans les cases vides!
A se nourrir
B nuire
C Modifier
D sculpter
E reprendre
F perdre
G suivre
H exclure
I jouer
K apprécier
L priver
M se lancer


   Quand on veut perdre du poids, on a parfois tendance à    dans des régimes draconiens qui peuvent entraîner de fâcheuses
carences :    les féculents de son menu, par exemple est
loin d’être une bonne idée car, entre autres, cela va    votre corps de précieuses vitamines du groupe B et d’autres
oligoéléments.
 
   On ne le dira jamais assez : malgré les canons de beauté véhiculés
par les médias, pour la plupart des hommes, la femme idéale est
une femme avec des formes ! Sachez en plus que faire un régime
vous fera souvent    du poids là où vous ne voulez pas, et
non là où vous voulez : une raison de plus pour ne pas en    un ! 
 
   Plutôt que de manger moins, il est plus raisonnable de faire plus
d’activités physiques. Même de tout petits riens comme choisir les
escaliers plutôt que les escalators dans le métro peuvent    un rôle important. Le sport, surtout, est votre ami numéro 1 pour    votre silhouette : grâce à lui, vous aurez un corps
harmonieux.
 
    Attention ! Rien de plus mauvais que l’effet yoyo : vous allez
infliger un stress inutile à votre organisme et, de plus, vous allez
vite    ce que vous avez si difficilement perdu. La bonne
stratégie ?    vos habitudes alimentaires sur la longue durée
en mettant tous les jours au menu des aliments sains… et que vous
aimez ! Imaginez que vous êtes au restaurant : tout le monde a pris
une pizza… et puis il y a vous qui avez commandé une salade.
Vous ne trouvez pas que cela peut    un peu au côté
convivial de la chose ? Un repas, en effet, ce n’est pas seulement    : c’est aussi un moment de partage avec autrui… En
plus, vos copines qui n’ont pas envie de faire un régime risquent
de moyennement    que vous les culpabilisiez avec votre
menu tout light !
 
  
(www.confidentielles.com)
1. Vous allez entendre une émission de radio sur le Solar Impulse 2. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_emelt/e_francia_16maj_fl.mp3
 3:20
 
0 Le Solar Impulse 2 est un avion innovant. 


Igaz
Hamis
1. Vous allez entendre une émission de radio sur le Solar Impulse 2. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple.
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 3:20
 
1 Le Solar Impulse 2 a réussi à faire le tour du monde


Hamis
Igaz
1. Vous allez entendre une émission de radio sur le Solar Impulse 2. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_emelt/e_francia_16maj_fl.mp3
 3:20
 
2 Le Solar Impulse 2 est le premier avion fonctionnant au kérosène, mais en utilisant l’énergie solaire aussi


Hamis
Igaz
1. Vous allez entendre une émission de radio sur le Solar Impulse 2. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_emelt/e_francia_16maj_fl.mp3
 3:20
 
4 Le pilote du Solar Impulse 2 a volé sans copilote


Igaz
Hamis
1. Vous allez entendre une émission de radio sur le Solar Impulse 2. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple.
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 3:20
 
5 Le pilote pouvait se permettre de courtes périodes de repos durant le trajet


Igaz
Hamis
1. Vous allez entendre une émission de radio sur le Solar Impulse 2. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple.
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 3:20
 
6 La vitesse du Solar Impulse 2 est loin d’atteindre celle d’un Boeing 777


Hamis
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1. Vous allez entendre une émission de radio sur le Solar Impulse 2. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_emelt/e_francia_16maj_fl.mp3
 3:20
 
7 Le pilote du Solar Impulse 2 a battu le record de Steve Fosset


Igaz
Hamis
1. Vous allez entendre une émission de radio sur le Solar Impulse 2. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple.
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 3:20
 
8 Le Solar Impulse 2 est une innovation technologique développée en Suisse


Hamis
Igaz
1. Vous allez entendre une émission de radio sur le Solar Impulse 2. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_emelt/e_francia_16maj_fl.mp3
 3:20
 
9 L’initiateur du projet Solar Impulse ne croit pas que son innovation puisse être utilisée au quotidien.


Igaz
Hamis
1. Vous allez entendre une émission de radio sur le Solar Impulse 2. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_emelt/e_francia_16maj_fl.mp3
 3:20
 
3 Le Solar Impulse 2 changeait d’altitude en fonction de la présence du soleil


Igaz
Hamis
2. Vous allez entendre une émission de radio sur les canettes de soda. Avant les écoutes, lisez les questions. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Répondez aux questions. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_emelt/e_francia_16maj_fl.mp3
 13:25


0 Combien de canettes sont fabriquées chaque année dans le monde ?   
10 Quel est l’ancêtre de la canette ?   
11 Par qui la canette aurait-elle été inventée ?   
12 Quand a-t-on inventé la canette ?   
13 Quel est l’élément chimique qui rend la production d’aluminium particulièrement
nocive ?   
14 Qu’est-ce que les producteurs utilisent pour limiter la pollution ?   
15 À part le côté écologique, pourquoi c’est une bonne solution ?   
16 Que peut faire le consommateur pour limiter la pollution ?   
3. Vous allez entendre un texte sur le « tchip ». Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
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 20:55
 

3. Vous allez entendre un texte sur le « tchip ». Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
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 20:55
 
17 Le « tchip » se fait principalement avec


C la bouche
A les yeux
B les mains
3. Vous allez entendre un texte sur le « tchip ». Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
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0 Le « tchip » se pratique dans les communautés


C à culture « noire »
B caribéennes
A africaines
3. Vous allez entendre un texte sur le « tchip ». Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
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18 Le « tchip » est accompagné


A du mouvement du corps
B de la mimique du visage
C d’une expression ou d’un mot
3. Vous allez entendre un texte sur le « tchip ». Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
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19 Le « tchip » exprime surtout


A le mécontentement
B l’amour
C la satisfaction
3. Vous allez entendre un texte sur le « tchip ». Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
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20 Le « tchip » ne se pratique pas avec


C un membre de sa famille
A son supérieur
B son ami
3. Vous allez entendre un texte sur le « tchip ». Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
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21 Le « tchip » est pratiqué par


B des femmes
A des hommes
C des femmes et des hommes aussi
3. Vous allez entendre un texte sur le « tchip ». Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
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22 La longueur du « tchip »


C dépend de l’âge du « tchipeur »
A peut varier
B reste invariable
3. Vous allez entendre un texte sur le « tchip ». Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
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23 La pratique du « tchip »


A reste dans sa communauté originale
B se répand en France
C est enseignée en région parisienne
3. Vous allez entendre un texte sur le « tchip ». Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
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 20:55
 
24 Le « tchip » est


C un jeu de société
A une sorte de bise
B un mode d’expression
A foglalkozás befejeződött.

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