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Francia emelt érettségi 2018. október Szövegértés 1.
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Bevezető

Kedves érettségire készülők! 
 
Az alábbi feladatsort gyakorlásra szánjuk. A feladatoknál helyes válaszként mindig a legoptimálisabbat adjuk meg, ettől függetlenül az érettségin elképzelhető más elfogadható megoldás is. A technikai korlátok miatt elképzelhető, hogy egyes esetekben a helyes válaszotokat nem fogadja el a rendszer. A szabad szavas válaszoknál a mondatok végére nem kell pontot tenni, a kis- és nagybetűket nem különbözteti meg a rendszer, az ékezeteket azonban igen. 
 
Ha bármelyik feladattal kapcsolatban kérdésetek lenne, keressétek bizalommal az feladatsor összeállítóját a franciatanar0911[kukac]gmail[pont]com címen!
1. Remettez les éléments découpés dans le texte. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
 Ton activité ici: Écris les lettres dans les cases vides
A à celle à la drogue ou à l’alcool
B à des associations sportives 
C que l’on annule 
D à laquelle on arrive en retard
E au fil des entraînements 
F auquel on ne peut plus résister 
G dont souffrent les accros aux jeux d’argent 


C’est vrai que le sport rend accro ?
 
    
On devient accro petit à petit. Cela commence par un dîner   . Puis par une réunion    pour finir sa troisième séance de jogging hebdomadaire. Peu à peu, le sport devient
si important que famille, les amis, le travail passent au second plan. Courir le matin n’est plus
un plaisir, courir, c’est un besoin   . Au bout de 24 à 36 heures d’inactivité, on se sent
nerveux, anxieux, frustré. La nuit, on dort mal. Le jour, on a du mal à se concentrer : bref, on
est en manque ! Un manque bien réel puisque les scientifiques n’hésitent plus à classer le sport
parmi les sources d’addictions potentielles. Une addiction « sans substance », comparable à
l’addiction   . 
 
   Il est vrai que l’exercice physique a des effets bénéfiques sur la santé mentale et physique. C’est
pourquoi la dépendance au sport a longtemps été qualifiée « d’addiction positive », par
opposition   qui n’a que des effets négatifs. Pourtant, comme toutes les bonnes choses,
il ne faut pas en abuser. Au-delà de l’épuisement et du risque de blessure, c’est l’isolement et
même la dépression qui menacent les accros. Il n’existe pas de statistiques officielles, mais un
rapport de l’Inserm publié en 2008 estimait que 4 % de la population générale sportive est
concernée. En 2015, une autre étude menée en France sur 230 personnes appartenant   donne le chiffre de 18%.
 
    Les raisons biologiques de cette dépendance ne sont pas encore claires. La plupart des études
accusent les endorphines, ces hormones naturelles que le corps fabrique en réponse à un
exercice musculaire intense, et qui serait à l’origine de cet état euphorique appelé « l’ivresse du
coureur ». Le sportif doit augmenter sa « dose » pour ressentir les mêmes effets puisque,   , le corps s’y habitue. Autrement dit, il doit courir plus vite et plus longtemps. 
 
    Mais les endorphines n’expliquent pas tout. D’autres facteurs interviennent probablement, en
particulier des facteurs psychologiques. C’est surtout aux effets bénéfiques du sport que l’on
devient accro : en plus d’améliorer la silhouette, il permet de s’isoler d’un quotidien stressant,
de remplir un vide affectif, de se prouver qu’on est capable de se dépasser. 
 
 (Science et Vie)
2. Lisez le texte sur les sauveteurs en mer et répondez aux questions. La réponse 0 vous servira d’exemple.
À bord de la vedette des sauveteurs en mer ! 
 
     La Société nationale de sauvetage en mer existe depuis 50 ans. 1jour1actu est monté sur le bateau des sauveteurs de la station Saint-Cyprien, au bord de la mer Méditerranée. 
 
     Si tu es un habitué des plages, alors tu as sans doute déjà croisé les sauveteurs en mer. On les reconnaît immédiatement grâce à leur T-shirt orange et leurs jumelles. Au large, c’est leur bateau qu’on repère facilement, visible de très loin ! Leur mission ? Porter secours à toutes les personnes qui se retrouvent en difficulté en pleine mer parce qu’elles sont en panne sur un bateau ou parce qu’elles n’arrivent pas à regagner la plage, par exemple.
 
 Les sauveteurs en mer sont des bénévoles 
 
     La station Saint-Cyprien, dans le Sud de la France, compte une vingtaine de sauveteurs : tous sont bénévoles. Car sauveteur en mer, ce n’est pas un métier. Cela repose sur le volontariat et, surtout, sur la disponibilité. 
 
     Les sauveteurs de Saint-Cyprien partent en mission uniquement sur l’ordre du CROSS : ce centre organise les opérations de sauvetage et d’assistance. Lorsqu’une personne se retrouve en difficulté en mer, il existe un numéro national d’alerte, le 196, qu’elle doit appeler pour recevoir de l’aide. C’est le numéro du CROSS, qui décide alors quelle équipe de sauveteur doit intervenir selon l’endroit où se trouve la personne à secourir.
 
     Mais cet après-midi-là, l’équipe de Saint-Cyprien ne reçoit aucun appel du CROSS. « La mer Méditerranée est une mer imprévisible. Chaque jour est différent, on ne peut pas savoir à l’avance si on va partir en intervention ou pas », précise Jean-Luc, le patron de l’équipage de la station. 
 
      Alors, les jours calmes, c’est surtout l’occasion pour l’équipage de sortir sa vedette (son bateau de sauvetage) du port et de partir au large pour s’entraîner ! Une fois à bord, chaque sauveteur occupe une place bien particulière.
 
L’exercice de « l’homme à la mer » 
 
     Sur le pont du bateau, l’un des sauveteurs lance une énorme bouée à l’eau et s’écrie : « Un homme à la mer ! ». C’est le début de l’exercice. Toute l’équipe a alors pour mission de repêcher la bouée, comme si c’était une personne en train de se noyer. 
 
     Mais la mer est agitée, et l’exercice prend un peu de temps. Le sauvetage en pleine mer, c’est toujours très compliqué, c’est pour cela que ces hommes s’entraînent dès qu’ils le peuvent ! Alors, après plusieurs essais, la bouée est ramenée sur le bateau. « Un homme sur le bateau ! », hurle l’un des sauveteurs. L’exercice est terminé, il faut retourner à la station. 
 
     Arrivés à bon port, les sauveteurs garent leur vedette et la nettoient mais ils restent en alerte, prêts à repartir pour une intervention ! 
 
     (www.1jour1actu.com


0 Quand la Société nationale de sauvetage en mer a-t-elle été fondée ?    
7 Quels sont les signes distinctifs des sauveteurs ? Donnez 2 exemples. Leur     /    / leur bateau
8 Quelle est leur tâche principale ?   
9 Quels genres de difficultés peuvent rencontrer les gens en mer ? Donnez 2 exemples. Ils sont   , ils n’arrivent pas    
10 Peut-on s’enrichir en devenant sauveteur en mer ? Justifiez votre réponse. Non, parce que    
11 Qu’est-ce que le 196 ? Donnez une précision. Le numéro   
12 Quelle est la tâche du CROSS ? Il organise    
13 Pourquoi est-il difficile de planifier les horaires des sauveteurs ? Parce que    
14 Que font les sauveteurs quand il n’y a pas d’intervention ?   
15 Que symbolise la bouée dans la simulation de sauvetage ? Une personne qui    
3. Lisez l’article suivant sur une maladie rare, la prosopagnosie. Dites si les affirmations sont vraies ou fausses. Mettez V pour vrai et F pour faux. La réponse 0 vous servira d’exemple.

La maladie de ceux qui ne reconnaissent pas les visages 
 
     On est patient avec les dyslexiques, on s’amuse des personnes qui n’ont pas le sens de l’orientation. Mais les gens qui ne savent pas reconnaître ceux qu’ils ont déjà rencontrés ne font l’objet d’aucune compassion. Au contraire, on les trouve hautains, voire un peu snobs. Puisqu’on les reconnaît, ils devraient pouvoir nous reconnaître aussi, non ? Les prosopagnosiques – puisque leur handicap porte un nom – s’en rendent compte généralement sur le tard. Ils racontent s’être sentis vaguement coupables avant d’être diagnostiqués. 
 
     « À l’école, personne ne teste votre capacité à reconnaître les visages. Petite, je m’en voulais, comme si je n’avais pas d’intérêt pour les gens, alors que je suis quelqu’un qui s’intéresse aux autres… », jure une journaliste qui préfère taire son nom.
 
     Pour la majorité des gens, le cerveau a une exceptionnelle capacité à reconnaître un visage familier en moins d’une seconde. C’est d’ailleurs pour essayer de comprendre ce superpouvoir que les chercheurs s’intéressent à ceux chez qui cela ne fonctionne pas. Ils distinguent la prosopagnosie acquise à la suite d’une lésion cérébrale de la forme congénitale de la maladie. Le premier cas peut aller jusqu’à une incapacité totale : on ne reconnaît pas son conjoint ni ses propres enfants. Le second cas est caractérisé par des difficultés plutôt que par l’incapacité totale. À en croire une des rares études sur le sujet, 2,5 % de la population mondiale souffrirait de cette maladie. 
 
     Les effets de mode n’arrangent pas les prosopagnosiques. Notre journaliste anonyme trouve le monde rempli d’hommes bruns légèrement barbus, tous interchangeables. Au travail, elle a renoncé à observer minutieusement les gens (« ça ne sert à rien »). « Serveur de resto, videur de boîte de nuit, contrôleur de train… Tous ces métiers me sont interdits », lâche-t-elle, rêveuse. Elle compense sa prosopagnosie en des notes dans ses carnets de reporter : « Cheveux frisés », « Gros nez », « Pull bleu », « Sacoche », etc.
 
     Les prosopagnosiques vous diront souvent que certaines personnes sont plus faciles à reconnaître que d’autres. C’est une question de prototypie : de l’écart moyen entre les yeux à la taille de l’œil, les visages s’éloignent plus ou moins d’une moyenne. Ces personnes sont très attentives aux indices périphériques. Elles regardent les bijoux, la coiffure, les habits, les sacs à main… Certains reconnaissent les gens à leur chien ou à leur voiture. Incapables de reconnaître un visage, les prosopagnosiques peuvent cependant parfaitement identifier les voix.
 
     L’acteur Brad Pitt a, lui aussi, fait son «  coming out  » de non-reconnaissance des visages : « C’est pour ça que je préfère rester chez moi », déclarait-il. On ne sait pas comment il navigue dans les soirées hollywoodiennes. Mais au cinéma, quand on est prosopagnosique, avec tous ces gens qui se ressemblent et changent de vêtements en cours de film, mieux vaut être acteur que spectateur. 
 
 (www.lemonde.fr)
3. Lisez l’article suivant sur une maladie rare, la prosopagnosie. Dites si les affirmations sont vraies ou fausses. Mettez V pour vrai et F pour faux. La réponse 0 vous servira d’exemple.
La maladie de ceux qui ne reconnaissent pas les visages 
 
     On est patient avec les dyslexiques, on s’amuse des personnes qui n’ont pas le sens de l’orientation. Mais les gens qui ne savent pas reconnaître ceux qu’ils ont déjà rencontrés ne font l’objet d’aucune compassion. Au contraire, on les trouve hautains, voire un peu snobs. Puisqu’on les reconnaît, ils devraient pouvoir nous reconnaître aussi, non ? Les prosopagnosiques – puisque leur handicap porte un nom – s’en rendent compte généralement sur le tard. Ils racontent s’être sentis vaguement coupables avant d’être diagnostiqués. 
 
     « À l’école, personne ne teste votre capacité à reconnaître les visages. Petite, je m’en voulais, comme si je n’avais pas d’intérêt pour les gens, alors que je suis quelqu’un qui s’intéresse aux autres… », jure une journaliste qui préfère taire son nom.
 
     Pour la majorité des gens, le cerveau a une exceptionnelle capacité à reconnaître un visage familier en moins d’une seconde. C’est d’ailleurs pour essayer de comprendre ce superpouvoir que les chercheurs s’intéressent à ceux chez qui cela ne fonctionne pas. Ils distinguent la prosopagnosie acquise à la suite d’une lésion cérébrale de la forme congénitale de la maladie. Le premier cas peut aller jusqu’à une incapacité totale : on ne reconnaît pas son conjoint ni ses propres enfants. Le second cas est caractérisé par des difficultés plutôt que par l’incapacité totale. À en croire une des rares études sur le sujet, 2,5 % de la population mondiale souffrirait de cette maladie. 
 
     Les effets de mode n’arrangent pas les prosopagnosiques. Notre journaliste anonyme trouve le monde rempli d’hommes bruns légèrement barbus, tous interchangeables. Au travail, elle a renoncé à observer minutieusement les gens (« ça ne sert à rien »). « Serveur de resto, videur de boîte de nuit, contrôleur de train… Tous ces métiers me sont interdits », lâche-t-elle, rêveuse. Elle compense sa prosopagnosie en des notes dans ses carnets de reporter : « Cheveux frisés », « Gros nez », « Pull bleu », « Sacoche », etc.
 
     Les prosopagnosiques vous diront souvent que certaines personnes sont plus faciles à reconnaître que d’autres. C’est une question de prototypie : de l’écart moyen entre les yeux à la taille de l’œil, les visages s’éloignent plus ou moins d’une moyenne. Ces personnes sont très attentives aux indices périphériques. Elles regardent les bijoux, la coiffure, les habits, les sacs à main… Certains reconnaissent les gens à leur chien ou à leur voiture. Incapables de reconnaître un visage, les prosopagnosiques peuvent cependant parfaitement identifier les voix.
 
     L’acteur Brad Pitt a, lui aussi, fait son «  coming out  » de non-reconnaissance des visages : « C’est pour ça que je préfère rester chez moi », déclarait-il. On ne sait pas comment il navigue dans les soirées hollywoodiennes. Mais au cinéma, quand on est prosopagnosique, avec tous ces gens qui se ressemblent et changent de vêtements en cours de film, mieux vaut être acteur que spectateur. 
 
 (www.lemonde.fr)
0 La prosopagnosie est une maladie qui nous empêche de reconnaître les visages


Hamis
Igaz
3. Lisez l’article suivant sur une maladie rare, la prosopagnosie. Dites si les affirmations sont vraies ou fausses. Mettez V pour vrai et F pour faux. La réponse 0 vous servira d’exemple.
La maladie de ceux qui ne reconnaissent pas les visages 
 
     On est patient avec les dyslexiques, on s’amuse des personnes qui n’ont pas le sens de l’orientation. Mais les gens qui ne savent pas reconnaître ceux qu’ils ont déjà rencontrés ne font l’objet d’aucune compassion. Au contraire, on les trouve hautains, voire un peu snobs. Puisqu’on les reconnaît, ils devraient pouvoir nous reconnaître aussi, non ? Les prosopagnosiques – puisque leur handicap porte un nom – s’en rendent compte généralement sur le tard. Ils racontent s’être sentis vaguement coupables avant d’être diagnostiqués. 
 
     « À l’école, personne ne teste votre capacité à reconnaître les visages. Petite, je m’en voulais, comme si je n’avais pas d’intérêt pour les gens, alors que je suis quelqu’un qui s’intéresse aux autres… », jure une journaliste qui préfère taire son nom.
 
     Pour la majorité des gens, le cerveau a une exceptionnelle capacité à reconnaître un visage familier en moins d’une seconde. C’est d’ailleurs pour essayer de comprendre ce superpouvoir que les chercheurs s’intéressent à ceux chez qui cela ne fonctionne pas. Ils distinguent la prosopagnosie acquise à la suite d’une lésion cérébrale de la forme congénitale de la maladie. Le premier cas peut aller jusqu’à une incapacité totale : on ne reconnaît pas son conjoint ni ses propres enfants. Le second cas est caractérisé par des difficultés plutôt que par l’incapacité totale. À en croire une des rares études sur le sujet, 2,5 % de la population mondiale souffrirait de cette maladie. 
 
     Les effets de mode n’arrangent pas les prosopagnosiques. Notre journaliste anonyme trouve le monde rempli d’hommes bruns légèrement barbus, tous interchangeables. Au travail, elle a renoncé à observer minutieusement les gens (« ça ne sert à rien »). « Serveur de resto, videur de boîte de nuit, contrôleur de train… Tous ces métiers me sont interdits », lâche-t-elle, rêveuse. Elle compense sa prosopagnosie en des notes dans ses carnets de reporter : « Cheveux frisés », « Gros nez », « Pull bleu », « Sacoche », etc.
 
     Les prosopagnosiques vous diront souvent que certaines personnes sont plus faciles à reconnaître que d’autres. C’est une question de prototypie : de l’écart moyen entre les yeux à la taille de l’œil, les visages s’éloignent plus ou moins d’une moyenne. Ces personnes sont très attentives aux indices périphériques. Elles regardent les bijoux, la coiffure, les habits, les sacs à main… Certains reconnaissent les gens à leur chien ou à leur voiture. Incapables de reconnaître un visage, les prosopagnosiques peuvent cependant parfaitement identifier les voix.
 
     L’acteur Brad Pitt a, lui aussi, fait son «  coming out  » de non-reconnaissance des visages : « C’est pour ça que je préfère rester chez moi », déclarait-il. On ne sait pas comment il navigue dans les soirées hollywoodiennes. Mais au cinéma, quand on est prosopagnosique, avec tous ces gens qui se ressemblent et changent de vêtements en cours de film, mieux vaut être acteur que spectateur. 
 
 (www.lemonde.fr)
16 En général, on est très tolérants avec les gens atteint de prosopagnosie


Hamis
Igaz
3. Lisez l’article suivant sur une maladie rare, la prosopagnosie. Dites si les affirmations sont vraies ou fausses. Mettez V pour vrai et F pour faux. La réponse 0 vous servira d’exemple.
La maladie de ceux qui ne reconnaissent pas les visages 
 
     On est patient avec les dyslexiques, on s’amuse des personnes qui n’ont pas le sens de l’orientation. Mais les gens qui ne savent pas reconnaître ceux qu’ils ont déjà rencontrés ne font l’objet d’aucune compassion. Au contraire, on les trouve hautains, voire un peu snobs. Puisqu’on les reconnaît, ils devraient pouvoir nous reconnaître aussi, non ? Les prosopagnosiques – puisque leur handicap porte un nom – s’en rendent compte généralement sur le tard. Ils racontent s’être sentis vaguement coupables avant d’être diagnostiqués. 
 
     « À l’école, personne ne teste votre capacité à reconnaître les visages. Petite, je m’en voulais, comme si je n’avais pas d’intérêt pour les gens, alors que je suis quelqu’un qui s’intéresse aux autres… », jure une journaliste qui préfère taire son nom.
 
     Pour la majorité des gens, le cerveau a une exceptionnelle capacité à reconnaître un visage familier en moins d’une seconde. C’est d’ailleurs pour essayer de comprendre ce superpouvoir que les chercheurs s’intéressent à ceux chez qui cela ne fonctionne pas. Ils distinguent la prosopagnosie acquise à la suite d’une lésion cérébrale de la forme congénitale de la maladie. Le premier cas peut aller jusqu’à une incapacité totale : on ne reconnaît pas son conjoint ni ses propres enfants. Le second cas est caractérisé par des difficultés plutôt que par l’incapacité totale. À en croire une des rares études sur le sujet, 2,5 % de la population mondiale souffrirait de cette maladie. 
 
     Les effets de mode n’arrangent pas les prosopagnosiques. Notre journaliste anonyme trouve le monde rempli d’hommes bruns légèrement barbus, tous interchangeables. Au travail, elle a renoncé à observer minutieusement les gens (« ça ne sert à rien »). « Serveur de resto, videur de boîte de nuit, contrôleur de train… Tous ces métiers me sont interdits », lâche-t-elle, rêveuse. Elle compense sa prosopagnosie en des notes dans ses carnets de reporter : « Cheveux frisés », « Gros nez », « Pull bleu », « Sacoche », etc.
 
     Les prosopagnosiques vous diront souvent que certaines personnes sont plus faciles à reconnaître que d’autres. C’est une question de prototypie : de l’écart moyen entre les yeux à la taille de l’œil, les visages s’éloignent plus ou moins d’une moyenne. Ces personnes sont très attentives aux indices périphériques. Elles regardent les bijoux, la coiffure, les habits, les sacs à main… Certains reconnaissent les gens à leur chien ou à leur voiture. Incapables de reconnaître un visage, les prosopagnosiques peuvent cependant parfaitement identifier les voix.
 
     L’acteur Brad Pitt a, lui aussi, fait son «  coming out  » de non-reconnaissance des visages : « C’est pour ça que je préfère rester chez moi », déclarait-il. On ne sait pas comment il navigue dans les soirées hollywoodiennes. Mais au cinéma, quand on est prosopagnosique, avec tous ces gens qui se ressemblent et changent de vêtements en cours de film, mieux vaut être acteur que spectateur. 
 
 (www.lemonde.fr)
17 Cette maladie est souvent détectée à l’école


Hamis
Igaz
3. Lisez l’article suivant sur une maladie rare, la prosopagnosie. Dites si les affirmations sont vraies ou fausses. Mettez V pour vrai et F pour faux. La réponse 0 vous servira d’exemple.
La maladie de ceux qui ne reconnaissent pas les visages 
 
     On est patient avec les dyslexiques, on s’amuse des personnes qui n’ont pas le sens de l’orientation. Mais les gens qui ne savent pas reconnaître ceux qu’ils ont déjà rencontrés ne font l’objet d’aucune compassion. Au contraire, on les trouve hautains, voire un peu snobs. Puisqu’on les reconnaît, ils devraient pouvoir nous reconnaître aussi, non ? Les prosopagnosiques – puisque leur handicap porte un nom – s’en rendent compte généralement sur le tard. Ils racontent s’être sentis vaguement coupables avant d’être diagnostiqués. 
 
     « À l’école, personne ne teste votre capacité à reconnaître les visages. Petite, je m’en voulais, comme si je n’avais pas d’intérêt pour les gens, alors que je suis quelqu’un qui s’intéresse aux autres… », jure une journaliste qui préfère taire son nom.
 
     Pour la majorité des gens, le cerveau a une exceptionnelle capacité à reconnaître un visage familier en moins d’une seconde. C’est d’ailleurs pour essayer de comprendre ce superpouvoir que les chercheurs s’intéressent à ceux chez qui cela ne fonctionne pas. Ils distinguent la prosopagnosie acquise à la suite d’une lésion cérébrale de la forme congénitale de la maladie. Le premier cas peut aller jusqu’à une incapacité totale : on ne reconnaît pas son conjoint ni ses propres enfants. Le second cas est caractérisé par des difficultés plutôt que par l’incapacité totale. À en croire une des rares études sur le sujet, 2,5 % de la population mondiale souffrirait de cette maladie. 
 
     Les effets de mode n’arrangent pas les prosopagnosiques. Notre journaliste anonyme trouve le monde rempli d’hommes bruns légèrement barbus, tous interchangeables. Au travail, elle a renoncé à observer minutieusement les gens (« ça ne sert à rien »). « Serveur de resto, videur de boîte de nuit, contrôleur de train… Tous ces métiers me sont interdits », lâche-t-elle, rêveuse. Elle compense sa prosopagnosie en des notes dans ses carnets de reporter : « Cheveux frisés », « Gros nez », « Pull bleu », « Sacoche », etc.
 
     Les prosopagnosiques vous diront souvent que certaines personnes sont plus faciles à reconnaître que d’autres. C’est une question de prototypie : de l’écart moyen entre les yeux à la taille de l’œil, les visages s’éloignent plus ou moins d’une moyenne. Ces personnes sont très attentives aux indices périphériques. Elles regardent les bijoux, la coiffure, les habits, les sacs à main… Certains reconnaissent les gens à leur chien ou à leur voiture. Incapables de reconnaître un visage, les prosopagnosiques peuvent cependant parfaitement identifier les voix.
 
     L’acteur Brad Pitt a, lui aussi, fait son «  coming out  » de non-reconnaissance des visages : « C’est pour ça que je préfère rester chez moi », déclarait-il. On ne sait pas comment il navigue dans les soirées hollywoodiennes. Mais au cinéma, quand on est prosopagnosique, avec tous ces gens qui se ressemblent et changent de vêtements en cours de film, mieux vaut être acteur que spectateur. 
 
 (www.lemonde.fr)
18 Souvent, les prosopagnosiques ne savent pas qu’ils sont atteints d’une maladie et se sentent coupables


Igaz
Hamis
3. Lisez l’article suivant sur une maladie rare, la prosopagnosie. Dites si les affirmations sont vraies ou fausses. Mettez V pour vrai et F pour faux. La réponse 0 vous servira d’exemple.
La maladie de ceux qui ne reconnaissent pas les visages 
 
     On est patient avec les dyslexiques, on s’amuse des personnes qui n’ont pas le sens de l’orientation. Mais les gens qui ne savent pas reconnaître ceux qu’ils ont déjà rencontrés ne font l’objet d’aucune compassion. Au contraire, on les trouve hautains, voire un peu snobs. Puisqu’on les reconnaît, ils devraient pouvoir nous reconnaître aussi, non ? Les prosopagnosiques – puisque leur handicap porte un nom – s’en rendent compte généralement sur le tard. Ils racontent s’être sentis vaguement coupables avant d’être diagnostiqués. 
 
     « À l’école, personne ne teste votre capacité à reconnaître les visages. Petite, je m’en voulais, comme si je n’avais pas d’intérêt pour les gens, alors que je suis quelqu’un qui s’intéresse aux autres… », jure une journaliste qui préfère taire son nom.
 
     Pour la majorité des gens, le cerveau a une exceptionnelle capacité à reconnaître un visage familier en moins d’une seconde. C’est d’ailleurs pour essayer de comprendre ce superpouvoir que les chercheurs s’intéressent à ceux chez qui cela ne fonctionne pas. Ils distinguent la prosopagnosie acquise à la suite d’une lésion cérébrale de la forme congénitale de la maladie. Le premier cas peut aller jusqu’à une incapacité totale : on ne reconnaît pas son conjoint ni ses propres enfants. Le second cas est caractérisé par des difficultés plutôt que par l’incapacité totale. À en croire une des rares études sur le sujet, 2,5 % de la population mondiale souffrirait de cette maladie. 
 
     Les effets de mode n’arrangent pas les prosopagnosiques. Notre journaliste anonyme trouve le monde rempli d’hommes bruns légèrement barbus, tous interchangeables. Au travail, elle a renoncé à observer minutieusement les gens (« ça ne sert à rien »). « Serveur de resto, videur de boîte de nuit, contrôleur de train… Tous ces métiers me sont interdits », lâche-t-elle, rêveuse. Elle compense sa prosopagnosie en des notes dans ses carnets de reporter : « Cheveux frisés », « Gros nez », « Pull bleu », « Sacoche », etc.
 
     Les prosopagnosiques vous diront souvent que certaines personnes sont plus faciles à reconnaître que d’autres. C’est une question de prototypie : de l’écart moyen entre les yeux à la taille de l’œil, les visages s’éloignent plus ou moins d’une moyenne. Ces personnes sont très attentives aux indices périphériques. Elles regardent les bijoux, la coiffure, les habits, les sacs à main… Certains reconnaissent les gens à leur chien ou à leur voiture. Incapables de reconnaître un visage, les prosopagnosiques peuvent cependant parfaitement identifier les voix.
 
     L’acteur Brad Pitt a, lui aussi, fait son «  coming out  » de non-reconnaissance des visages : « C’est pour ça que je préfère rester chez moi », déclarait-il. On ne sait pas comment il navigue dans les soirées hollywoodiennes. Mais au cinéma, quand on est prosopagnosique, avec tous ces gens qui se ressemblent et changent de vêtements en cours de film, mieux vaut être acteur que spectateur. 
 
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19 Dans cette maladie, il y a plusieurs degrés de gravité


Hamis
Igaz
3. Lisez l’article suivant sur une maladie rare, la prosopagnosie. Dites si les affirmations sont vraies ou fausses. Mettez V pour vrai et F pour faux. La réponse 0 vous servira d’exemple.
La maladie de ceux qui ne reconnaissent pas les visages 
 
     On est patient avec les dyslexiques, on s’amuse des personnes qui n’ont pas le sens de l’orientation. Mais les gens qui ne savent pas reconnaître ceux qu’ils ont déjà rencontrés ne font l’objet d’aucune compassion. Au contraire, on les trouve hautains, voire un peu snobs. Puisqu’on les reconnaît, ils devraient pouvoir nous reconnaître aussi, non ? Les prosopagnosiques – puisque leur handicap porte un nom – s’en rendent compte généralement sur le tard. Ils racontent s’être sentis vaguement coupables avant d’être diagnostiqués. 
 
     « À l’école, personne ne teste votre capacité à reconnaître les visages. Petite, je m’en voulais, comme si je n’avais pas d’intérêt pour les gens, alors que je suis quelqu’un qui s’intéresse aux autres… », jure une journaliste qui préfère taire son nom.
 
     Pour la majorité des gens, le cerveau a une exceptionnelle capacité à reconnaître un visage familier en moins d’une seconde. C’est d’ailleurs pour essayer de comprendre ce superpouvoir que les chercheurs s’intéressent à ceux chez qui cela ne fonctionne pas. Ils distinguent la prosopagnosie acquise à la suite d’une lésion cérébrale de la forme congénitale de la maladie. Le premier cas peut aller jusqu’à une incapacité totale : on ne reconnaît pas son conjoint ni ses propres enfants. Le second cas est caractérisé par des difficultés plutôt que par l’incapacité totale. À en croire une des rares études sur le sujet, 2,5 % de la population mondiale souffrirait de cette maladie. 
 
     Les effets de mode n’arrangent pas les prosopagnosiques. Notre journaliste anonyme trouve le monde rempli d’hommes bruns légèrement barbus, tous interchangeables. Au travail, elle a renoncé à observer minutieusement les gens (« ça ne sert à rien »). « Serveur de resto, videur de boîte de nuit, contrôleur de train… Tous ces métiers me sont interdits », lâche-t-elle, rêveuse. Elle compense sa prosopagnosie en des notes dans ses carnets de reporter : « Cheveux frisés », « Gros nez », « Pull bleu », « Sacoche », etc.
 
     Les prosopagnosiques vous diront souvent que certaines personnes sont plus faciles à reconnaître que d’autres. C’est une question de prototypie : de l’écart moyen entre les yeux à la taille de l’œil, les visages s’éloignent plus ou moins d’une moyenne. Ces personnes sont très attentives aux indices périphériques. Elles regardent les bijoux, la coiffure, les habits, les sacs à main… Certains reconnaissent les gens à leur chien ou à leur voiture. Incapables de reconnaître un visage, les prosopagnosiques peuvent cependant parfaitement identifier les voix.
 
     L’acteur Brad Pitt a, lui aussi, fait son «  coming out  » de non-reconnaissance des visages : « C’est pour ça que je préfère rester chez moi », déclarait-il. On ne sait pas comment il navigue dans les soirées hollywoodiennes. Mais au cinéma, quand on est prosopagnosique, avec tous ces gens qui se ressemblent et changent de vêtements en cours de film, mieux vaut être acteur que spectateur. 
 
 (www.lemonde.fr)
20 À cause de la mode, les gens ont tendance à avoir la même apparence, ce qui rend la vie des prosopagnosiques plus facile


Hamis
Igaz
3. Lisez l’article suivant sur une maladie rare, la prosopagnosie. Dites si les affirmations sont vraies ou fausses. Mettez V pour vrai et F pour faux. La réponse 0 vous servira d’exemple.
La maladie de ceux qui ne reconnaissent pas les visages 
 
     On est patient avec les dyslexiques, on s’amuse des personnes qui n’ont pas le sens de l’orientation. Mais les gens qui ne savent pas reconnaître ceux qu’ils ont déjà rencontrés ne font l’objet d’aucune compassion. Au contraire, on les trouve hautains, voire un peu snobs. Puisqu’on les reconnaît, ils devraient pouvoir nous reconnaître aussi, non ? Les prosopagnosiques – puisque leur handicap porte un nom – s’en rendent compte généralement sur le tard. Ils racontent s’être sentis vaguement coupables avant d’être diagnostiqués. 
 
     « À l’école, personne ne teste votre capacité à reconnaître les visages. Petite, je m’en voulais, comme si je n’avais pas d’intérêt pour les gens, alors que je suis quelqu’un qui s’intéresse aux autres… », jure une journaliste qui préfère taire son nom.
 
     Pour la majorité des gens, le cerveau a une exceptionnelle capacité à reconnaître un visage familier en moins d’une seconde. C’est d’ailleurs pour essayer de comprendre ce superpouvoir que les chercheurs s’intéressent à ceux chez qui cela ne fonctionne pas. Ils distinguent la prosopagnosie acquise à la suite d’une lésion cérébrale de la forme congénitale de la maladie. Le premier cas peut aller jusqu’à une incapacité totale : on ne reconnaît pas son conjoint ni ses propres enfants. Le second cas est caractérisé par des difficultés plutôt que par l’incapacité totale. À en croire une des rares études sur le sujet, 2,5 % de la population mondiale souffrirait de cette maladie. 
 
     Les effets de mode n’arrangent pas les prosopagnosiques. Notre journaliste anonyme trouve le monde rempli d’hommes bruns légèrement barbus, tous interchangeables. Au travail, elle a renoncé à observer minutieusement les gens (« ça ne sert à rien »). « Serveur de resto, videur de boîte de nuit, contrôleur de train… Tous ces métiers me sont interdits », lâche-t-elle, rêveuse. Elle compense sa prosopagnosie en des notes dans ses carnets de reporter : « Cheveux frisés », « Gros nez », « Pull bleu », « Sacoche », etc.
 
     Les prosopagnosiques vous diront souvent que certaines personnes sont plus faciles à reconnaître que d’autres. C’est une question de prototypie : de l’écart moyen entre les yeux à la taille de l’œil, les visages s’éloignent plus ou moins d’une moyenne. Ces personnes sont très attentives aux indices périphériques. Elles regardent les bijoux, la coiffure, les habits, les sacs à main… Certains reconnaissent les gens à leur chien ou à leur voiture. Incapables de reconnaître un visage, les prosopagnosiques peuvent cependant parfaitement identifier les voix.
 
     L’acteur Brad Pitt a, lui aussi, fait son «  coming out  » de non-reconnaissance des visages : « C’est pour ça que je préfère rester chez moi », déclarait-il. On ne sait pas comment il navigue dans les soirées hollywoodiennes. Mais au cinéma, quand on est prosopagnosique, avec tous ces gens qui se ressemblent et changent de vêtements en cours de film, mieux vaut être acteur que spectateur. 
 
 (www.lemonde.fr)
21 Dans certains métiers, la prosopagnosie est un véritable handicap


Hamis
Igaz
3. Lisez l’article suivant sur une maladie rare, la prosopagnosie. Dites si les affirmations sont vraies ou fausses. Mettez V pour vrai et F pour faux. La réponse 0 vous servira d’exemple.
La maladie de ceux qui ne reconnaissent pas les visages 
 
     On est patient avec les dyslexiques, on s’amuse des personnes qui n’ont pas le sens de l’orientation. Mais les gens qui ne savent pas reconnaître ceux qu’ils ont déjà rencontrés ne font l’objet d’aucune compassion. Au contraire, on les trouve hautains, voire un peu snobs. Puisqu’on les reconnaît, ils devraient pouvoir nous reconnaître aussi, non ? Les prosopagnosiques – puisque leur handicap porte un nom – s’en rendent compte généralement sur le tard. Ils racontent s’être sentis vaguement coupables avant d’être diagnostiqués. 
 
     « À l’école, personne ne teste votre capacité à reconnaître les visages. Petite, je m’en voulais, comme si je n’avais pas d’intérêt pour les gens, alors que je suis quelqu’un qui s’intéresse aux autres… », jure une journaliste qui préfère taire son nom.
 
     Pour la majorité des gens, le cerveau a une exceptionnelle capacité à reconnaître un visage familier en moins d’une seconde. C’est d’ailleurs pour essayer de comprendre ce superpouvoir que les chercheurs s’intéressent à ceux chez qui cela ne fonctionne pas. Ils distinguent la prosopagnosie acquise à la suite d’une lésion cérébrale de la forme congénitale de la maladie. Le premier cas peut aller jusqu’à une incapacité totale : on ne reconnaît pas son conjoint ni ses propres enfants. Le second cas est caractérisé par des difficultés plutôt que par l’incapacité totale. À en croire une des rares études sur le sujet, 2,5 % de la population mondiale souffrirait de cette maladie. 
 
     Les effets de mode n’arrangent pas les prosopagnosiques. Notre journaliste anonyme trouve le monde rempli d’hommes bruns légèrement barbus, tous interchangeables. Au travail, elle a renoncé à observer minutieusement les gens (« ça ne sert à rien »). « Serveur de resto, videur de boîte de nuit, contrôleur de train… Tous ces métiers me sont interdits », lâche-t-elle, rêveuse. Elle compense sa prosopagnosie en des notes dans ses carnets de reporter : « Cheveux frisés », « Gros nez », « Pull bleu », « Sacoche », etc.
 
     Les prosopagnosiques vous diront souvent que certaines personnes sont plus faciles à reconnaître que d’autres. C’est une question de prototypie : de l’écart moyen entre les yeux à la taille de l’œil, les visages s’éloignent plus ou moins d’une moyenne. Ces personnes sont très attentives aux indices périphériques. Elles regardent les bijoux, la coiffure, les habits, les sacs à main… Certains reconnaissent les gens à leur chien ou à leur voiture. Incapables de reconnaître un visage, les prosopagnosiques peuvent cependant parfaitement identifier les voix.
 
     L’acteur Brad Pitt a, lui aussi, fait son «  coming out  » de non-reconnaissance des visages : « C’est pour ça que je préfère rester chez moi », déclarait-il. On ne sait pas comment il navigue dans les soirées hollywoodiennes. Mais au cinéma, quand on est prosopagnosique, avec tous ces gens qui se ressemblent et changent de vêtements en cours de film, mieux vaut être acteur que spectateur. 
 
 (www.lemonde.fr)
22 Pour les prosopagnosiques, les gens sont tous aussi difficiles à reconnaître


Hamis
Igaz
3. Lisez l’article suivant sur une maladie rare, la prosopagnosie. Dites si les affirmations sont vraies ou fausses. Mettez V pour vrai et F pour faux. La réponse 0 vous servira d’exemple.
La maladie de ceux qui ne reconnaissent pas les visages 
 
     On est patient avec les dyslexiques, on s’amuse des personnes qui n’ont pas le sens de l’orientation. Mais les gens qui ne savent pas reconnaître ceux qu’ils ont déjà rencontrés ne font l’objet d’aucune compassion. Au contraire, on les trouve hautains, voire un peu snobs. Puisqu’on les reconnaît, ils devraient pouvoir nous reconnaître aussi, non ? Les prosopagnosiques – puisque leur handicap porte un nom – s’en rendent compte généralement sur le tard. Ils racontent s’être sentis vaguement coupables avant d’être diagnostiqués. 
 
     « À l’école, personne ne teste votre capacité à reconnaître les visages. Petite, je m’en voulais, comme si je n’avais pas d’intérêt pour les gens, alors que je suis quelqu’un qui s’intéresse aux autres… », jure une journaliste qui préfère taire son nom.
 
     Pour la majorité des gens, le cerveau a une exceptionnelle capacité à reconnaître un visage familier en moins d’une seconde. C’est d’ailleurs pour essayer de comprendre ce superpouvoir que les chercheurs s’intéressent à ceux chez qui cela ne fonctionne pas. Ils distinguent la prosopagnosie acquise à la suite d’une lésion cérébrale de la forme congénitale de la maladie. Le premier cas peut aller jusqu’à une incapacité totale : on ne reconnaît pas son conjoint ni ses propres enfants. Le second cas est caractérisé par des difficultés plutôt que par l’incapacité totale. À en croire une des rares études sur le sujet, 2,5 % de la population mondiale souffrirait de cette maladie. 
 
     Les effets de mode n’arrangent pas les prosopagnosiques. Notre journaliste anonyme trouve le monde rempli d’hommes bruns légèrement barbus, tous interchangeables. Au travail, elle a renoncé à observer minutieusement les gens (« ça ne sert à rien »). « Serveur de resto, videur de boîte de nuit, contrôleur de train… Tous ces métiers me sont interdits », lâche-t-elle, rêveuse. Elle compense sa prosopagnosie en des notes dans ses carnets de reporter : « Cheveux frisés », « Gros nez », « Pull bleu », « Sacoche », etc.
 
     Les prosopagnosiques vous diront souvent que certaines personnes sont plus faciles à reconnaître que d’autres. C’est une question de prototypie : de l’écart moyen entre les yeux à la taille de l’œil, les visages s’éloignent plus ou moins d’une moyenne. Ces personnes sont très attentives aux indices périphériques. Elles regardent les bijoux, la coiffure, les habits, les sacs à main… Certains reconnaissent les gens à leur chien ou à leur voiture. Incapables de reconnaître un visage, les prosopagnosiques peuvent cependant parfaitement identifier les voix.
 
     L’acteur Brad Pitt a, lui aussi, fait son «  coming out  » de non-reconnaissance des visages : « C’est pour ça que je préfère rester chez moi », déclarait-il. On ne sait pas comment il navigue dans les soirées hollywoodiennes. Mais au cinéma, quand on est prosopagnosique, avec tous ces gens qui se ressemblent et changent de vêtements en cours de film, mieux vaut être acteur que spectateur. 
 
 (www.lemonde.fr)
23 Les prosopagnosiques trouvent des stratégies pour distinguer les gens


Hamis
Igaz
3. Lisez l’article suivant sur une maladie rare, la prosopagnosie. Dites si les affirmations sont vraies ou fausses. Mettez V pour vrai et F pour faux. La réponse 0 vous servira d’exemple.
La maladie de ceux qui ne reconnaissent pas les visages 
 
     On est patient avec les dyslexiques, on s’amuse des personnes qui n’ont pas le sens de l’orientation. Mais les gens qui ne savent pas reconnaître ceux qu’ils ont déjà rencontrés ne font l’objet d’aucune compassion. Au contraire, on les trouve hautains, voire un peu snobs. Puisqu’on les reconnaît, ils devraient pouvoir nous reconnaître aussi, non ? Les prosopagnosiques – puisque leur handicap porte un nom – s’en rendent compte généralement sur le tard. Ils racontent s’être sentis vaguement coupables avant d’être diagnostiqués. 
 
     « À l’école, personne ne teste votre capacité à reconnaître les visages. Petite, je m’en voulais, comme si je n’avais pas d’intérêt pour les gens, alors que je suis quelqu’un qui s’intéresse aux autres… », jure une journaliste qui préfère taire son nom.
 
     Pour la majorité des gens, le cerveau a une exceptionnelle capacité à reconnaître un visage familier en moins d’une seconde. C’est d’ailleurs pour essayer de comprendre ce superpouvoir que les chercheurs s’intéressent à ceux chez qui cela ne fonctionne pas. Ils distinguent la prosopagnosie acquise à la suite d’une lésion cérébrale de la forme congénitale de la maladie. Le premier cas peut aller jusqu’à une incapacité totale : on ne reconnaît pas son conjoint ni ses propres enfants. Le second cas est caractérisé par des difficultés plutôt que par l’incapacité totale. À en croire une des rares études sur le sujet, 2,5 % de la population mondiale souffrirait de cette maladie. 
 
     Les effets de mode n’arrangent pas les prosopagnosiques. Notre journaliste anonyme trouve le monde rempli d’hommes bruns légèrement barbus, tous interchangeables. Au travail, elle a renoncé à observer minutieusement les gens (« ça ne sert à rien »). « Serveur de resto, videur de boîte de nuit, contrôleur de train… Tous ces métiers me sont interdits », lâche-t-elle, rêveuse. Elle compense sa prosopagnosie en des notes dans ses carnets de reporter : « Cheveux frisés », « Gros nez », « Pull bleu », « Sacoche », etc.
 
     Les prosopagnosiques vous diront souvent que certaines personnes sont plus faciles à reconnaître que d’autres. C’est une question de prototypie : de l’écart moyen entre les yeux à la taille de l’œil, les visages s’éloignent plus ou moins d’une moyenne. Ces personnes sont très attentives aux indices périphériques. Elles regardent les bijoux, la coiffure, les habits, les sacs à main… Certains reconnaissent les gens à leur chien ou à leur voiture. Incapables de reconnaître un visage, les prosopagnosiques peuvent cependant parfaitement identifier les voix.
 
     L’acteur Brad Pitt a, lui aussi, fait son «  coming out  » de non-reconnaissance des visages : « C’est pour ça que je préfère rester chez moi », déclarait-il. On ne sait pas comment il navigue dans les soirées hollywoodiennes. Mais au cinéma, quand on est prosopagnosique, avec tous ces gens qui se ressemblent et changent de vêtements en cours de film, mieux vaut être acteur que spectateur. 
 
 (www.lemonde.fr)
24 Les prosopagnosiques développent d’autres capacités pour compenser leur faiblesse à reconnaître les visages


Hamis
Igaz
3. Lisez l’article suivant sur une maladie rare, la prosopagnosie. Dites si les affirmations sont vraies ou fausses. Mettez V pour vrai et F pour faux. La réponse 0 vous servira d’exemple.
La maladie de ceux qui ne reconnaissent pas les visages 
 
     On est patient avec les dyslexiques, on s’amuse des personnes qui n’ont pas le sens de l’orientation. Mais les gens qui ne savent pas reconnaître ceux qu’ils ont déjà rencontrés ne font l’objet d’aucune compassion. Au contraire, on les trouve hautains, voire un peu snobs. Puisqu’on les reconnaît, ils devraient pouvoir nous reconnaître aussi, non ? Les prosopagnosiques – puisque leur handicap porte un nom – s’en rendent compte généralement sur le tard. Ils racontent s’être sentis vaguement coupables avant d’être diagnostiqués. 
 
     « À l’école, personne ne teste votre capacité à reconnaître les visages. Petite, je m’en voulais, comme si je n’avais pas d’intérêt pour les gens, alors que je suis quelqu’un qui s’intéresse aux autres… », jure une journaliste qui préfère taire son nom.
 
     Pour la majorité des gens, le cerveau a une exceptionnelle capacité à reconnaître un visage familier en moins d’une seconde. C’est d’ailleurs pour essayer de comprendre ce superpouvoir que les chercheurs s’intéressent à ceux chez qui cela ne fonctionne pas. Ils distinguent la prosopagnosie acquise à la suite d’une lésion cérébrale de la forme congénitale de la maladie. Le premier cas peut aller jusqu’à une incapacité totale : on ne reconnaît pas son conjoint ni ses propres enfants. Le second cas est caractérisé par des difficultés plutôt que par l’incapacité totale. À en croire une des rares études sur le sujet, 2,5 % de la population mondiale souffrirait de cette maladie. 
 
     Les effets de mode n’arrangent pas les prosopagnosiques. Notre journaliste anonyme trouve le monde rempli d’hommes bruns légèrement barbus, tous interchangeables. Au travail, elle a renoncé à observer minutieusement les gens (« ça ne sert à rien »). « Serveur de resto, videur de boîte de nuit, contrôleur de train… Tous ces métiers me sont interdits », lâche-t-elle, rêveuse. Elle compense sa prosopagnosie en des notes dans ses carnets de reporter : « Cheveux frisés », « Gros nez », « Pull bleu », « Sacoche », etc.
 
     Les prosopagnosiques vous diront souvent que certaines personnes sont plus faciles à reconnaître que d’autres. C’est une question de prototypie : de l’écart moyen entre les yeux à la taille de l’œil, les visages s’éloignent plus ou moins d’une moyenne. Ces personnes sont très attentives aux indices périphériques. Elles regardent les bijoux, la coiffure, les habits, les sacs à main… Certains reconnaissent les gens à leur chien ou à leur voiture. Incapables de reconnaître un visage, les prosopagnosiques peuvent cependant parfaitement identifier les voix.
 
     L’acteur Brad Pitt a, lui aussi, fait son «  coming out  » de non-reconnaissance des visages : « C’est pour ça que je préfère rester chez moi », déclarait-il. On ne sait pas comment il navigue dans les soirées hollywoodiennes. Mais au cinéma, quand on est prosopagnosique, avec tous ces gens qui se ressemblent et changent de vêtements en cours de film, mieux vaut être acteur que spectateur. 
 
 (www.lemonde.fr)
25 C’est grâce à sa maladie que Brad Pitt est devenu acteur


Igaz
Hamis
1. Complétez le texte avec les mots de la colonne de droite. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
 Ton activité ici: Écris les lettres dans les cases vides!
A À LA FIN DES
B ENVIRON
C DONC
D GRÂCE À
E POUR AUTANT
F BIEN QUE/QU’ 
G SURTOUT 
H CAR


La Wii ? 
 
    Faire une partie de tennis, de golf ou de base-ball sans quitter le
salon... Les possibilités sont multiples sur la console Wii de
Nintendo, sortie en 2006.    un détecteur de
mouvement, les gestes du joueur, manette en main, sont
reproduits par un petit personnage dans le jeu. Mais est-ce    aussi efficace qu’une bonne séance de sport en plein
air ? 
 
   Plusieurs études se sont penchées sur le sujet    années
2000 et le constat est unanime : le jeu ne remplace pas une
véritable activité physique.    une heure de Wii
permette de brûler entre 60 et 70 calories, courir est beaucoup
plus efficace,    ça peut éliminer entre 300 et 400
calories, même si ce n’est qu’à une vitesse modérée – 6,5 km/h    . On ne joue    pas dans la même catégorie.
De plus, la répétitivité et l’approximation des gestes peuvent se
révéler dangereuses pour les articulations,    si la partie
s’éternise. En revanche, ces parties permettent de faire trois à
quatre fois plus de mouvements qu’un jeu traditionnel. 
 
    Donc, il vaut mieux jouer sur la console Wii que de ne pas faire
d’activité physique du tout. 
 
 (Science et Vie)
2. Mettez les verbes entre parenthèses à la forme qui convient. La réponse 0 vous servira d’exemple. 


Un douanier physionomiste 
 
     C’était il y a deux ans. On revenait de Thaïlande, crevés après
plus de 15 heures de vol, et on avait juste hâte de rentrer à
Montréal. Malheureusement, on n’est pas arrivés aussi vite
qu’on (le prévoir)   . Mon copain et moi, on (devoir)    passer les douanes américaines à Chicago. 
 
     En regardant ma photo de passeport, le douanier a déclaré que
ce/c’ (ne pas être)    moi : il ne me reconnaissait pas. Je
/J’ (changer)    la couleur de mes cheveux, c’est vrai,
et je devais avoir des cernes jusqu’aux genoux, mais quand
même ! 
 
     Je/J’ (essayer)   de le convaincre, en vain. Pendant ce
temps, je (sentir)    mon compagnon s’énerver de plus
en plus, sur le point d’exploser. Je me disais : « Non, il ne faut
pas qu’il (se mettre)    en colère ! » Mais il a craqué et
a insulté le douanier. Résultat : on (nous contrôler)     et on (attendre)    5-6 heures avant que le douanier (finir)   les vérifications. Quand il nous a finalement
relâchés, notre avion (partir)   . Il a fallu rester à
Chicago et repartir le lendemain. 
 
 (www.coupdepouce.com)
3. Complétez le texte par les infinitifs donnés dans la colonne de droite. Attention ! Il y a deux infinitifs en trop. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 Ton activité ici: Écris les lettres dans les cases vides!
A trouver
B partager
C envoyer
D interdire
E mettre 
F accéder 
G permettre 
H se construire
I croire 
K tricher 
L assister


Mais que font les ados sur leur portable ? 
 
    Presqu’aucun adolescent n’utilise son portable pour téléphoner ou
même    des SMS. Les ados passent beaucoup de temps sur
les réseaux sociaux comme Snapchat, qui est devenu essentiel dans la
vie quotidienne pour    des snaps drôles, des grimaces ou
des événements avec leurs amis. Ils n’en oublient pas moins
Facebook mais ils l’utilisent plus rarement car leurs parents peuvent    à leurs photos pour peu qu’ils soient « amis ».
Contrairement à ce que beaucoup pourraient    , les
adolescents font attention aux photos qu’ils postent sur Facebook ou
Instagram. Beaucoup d’entre eux sont conscients des risques qu’il
peut y avoir et des difficultés à    un emploi plus tard s’ils
postent des photos inappropriées. 
 
    Mais le portable ne sert pas seulement à s’afficher sur les réseaux
sociaux, beaucoup de jeunes l’utilisent aussi pour    durant
les contrôles. Les réponses sont écrites ou même enregistrées, et les
adolescents n’ont plus qu’à    des écouteurs dans leur
manche et à écouter le cours. 
 
    Les parents sont dépassés par l’arrivée en masse des portables mais
ils ne doivent pas les   , sauf quand l’usage est vraiment
trop excessif ou que les photos postées deviennent dangereuses pour
l’avenir de l’ado. Car les portables ne servent pas seulement à
téléphoner, ils servent aussi aux jeunes à trouver, à    leur
propre image et à partager leur vie avec leurs amis. 
 
 (www.geoado.com) 
4. Donnez les noms qui appartiennent à la même famille que les infinitifs entre parenthèses. Attention ! N’oubliez pas de mettre les noms au pluriel s’il le faut. La réponse 0 vous servira d’exemple. 


Le récit des navigatrices perdues dans le Pacifique serait-il faux ?
 
    
Jennifer Appel et Tasha Fuiaba, deux (naviguer)   secourues fin octobre dans le Pacifique pourraient avoir menti sur
plusieurs détails de leur dérive de plusieurs mois dans l’océan. Elles
affirment être parties le 3 mai en voilier d’Honolulu, à Hawaï, avec
leurs deux chiens. Leur objectif aurait été de rejoindre Tahiti en 18
jours. 
 
    Mais, comme le souligne une enquête de l’USGC, la Garde
côtière américaine, la (décrire)    du voyage infernal des
deux femmes contient des (mentir)   .
 
     Selon les (affirmer)    des navigatrices, leur moteur
serait tombé en panne le 30 mai après une violente tempête. Elles
ont été secourues le 29 octobre par un navire de l’armée américaine
à 1 500 km au sud-est du Japon, après avoir été repérées par un
bateau de pêche taïwanais qui a donné l’ (alerter)   . 
 
    Pourtant, une balise de détresse, un système de géolocalisation
en parfait état de fonctionnement a été retrouvée par la Garde côtière
à bord du voilier. Son (utiliser)    aurait permis d’alerter
très rapidement les (servir)   de secours, a affirmé un
officier de la Garde côtière. Interrogées à ce propos, les deux
femmes ont répondu qu’il aurait été « honteux de faire (appeler)    à la Garde côtière en l’absence de danger imminent, cela
risquant de causer la (mourir)   de quelqu’un d’autre
pendant ce temps ». 
 
    Bref, tout un scénario invraisemblable, vu le bon état de santé des
femmes et des animaux malgré leurs dires sur une (alimenter)     constituée uniquement de pâtes, de riz et de flocons
d’avoine. 
 
 (www.20minutes.fr) 
1. Vous allez entendre un texte sur le monde végan. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2018osz_emelt/e_francia_18okt_fl.mp3
 3:20

1. Vous allez entendre un texte sur le monde végan. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2018osz_emelt/e_francia_18okt_fl.mp3
 3:20
0 Les végans sont contre les tests de produits cosmétiques sur les animaux


Igaz
Hamis
1. Vous allez entendre un texte sur le monde végan. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2018osz_emelt/e_francia_18okt_fl.mp3
 3:20
1 Actuellement, il y a sept milliards de végans sur la planète


Hamis
Igaz
1. Vous allez entendre un texte sur le monde végan. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2018osz_emelt/e_francia_18okt_fl.mp3
 3:20
2 L’élevage des animaux cause plus d’émission de gaz à effet de serre que les avions, trains, bateaux et voitures ensemble


Igaz
Hamis
1. Vous allez entendre un texte sur le monde végan. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2018osz_emelt/e_francia_18okt_fl.mp3
 3:20
3 Si tout le monde était végan, il n’y aurait plus d’émission de gaz à effet de serre causée par notre alimentation


Igaz
Hamis
1. Vous allez entendre un texte sur le monde végan. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2018osz_emelt/e_francia_18okt_fl.mp3
 3:20
4 Pour produire une calorie de viande, on a besoin de 7 calories végétales


Igaz
Hamis
1. Vous allez entendre un texte sur le monde végan. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2018osz_emelt/e_francia_18okt_fl.mp3
 3:20
5 Un monde végan serait l’intérêt de tout le monde


Hamis
Igaz
1. Vous allez entendre un texte sur le monde végan. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2018osz_emelt/e_francia_18okt_fl.mp3
 3:20
6 Dans les pays pauvres, il y aurait moins de famine dans un monde végan


Igaz
Hamis
1. Vous allez entendre un texte sur le monde végan. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple. 
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2018osz_emelt/e_francia_18okt_fl.mp3
 3:20
7 Si on ne mangeait pas de viande, il y aurait plus d’animaux sur la Terre.


Hamis
Igaz
2. Vous allez entendre Marion Sauveur qui présente chaque samedi son émission, « C’est nouveau à table ». Avant les écoutes, lisez les questions. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Répondez aux questions. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2018osz_emelt/e_francia_18okt_fl.mp3
 12:45


0 Quel est le produit présenté par Marion Sauveur ? Une nouvelle boisson   , le thé   
8 Pourquoi faut-il faire la queue pour acheter le Cheese Tea ? Parce qu’il    
9 À quelle autre boisson le journaliste compare-t-il le Cheese Tea ?   
10 Qu’est-ce qui caractérise la spécialité fromagère utilisée pour préparer le Cheese Tea ?
Donnez deux caractéristiques. C’est   , c’est un     
11 Pourquoi ne peut-on pas trouver facilement la recette du Cheese Tea ?   
12 Pourquoi le Cheese Tea doit-il être très sucré ?   
13 Pourquoi le concept de Cheese Tea serait-il facile à adapter en France ? Parce qu’il y a    
3. Vous allez entendre un texte sur l’histoire de la poupée Barbie. Avant les écoutes, lisez la liste des événements qui sont dans le désordre. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Mettez les événements dans l’ordre chronologique. La réponse zéro vous servira d’exemple.
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2018osz_emelt/e_francia_18okt_fl.mp3
 22:25

Barbie arrive sur le marché européen
La fabrication des poupées Lilli commence à l’entreprise Hausser
Le fondateur de la société Mattel fait un voyage en Suisse avec sa femme et sa fille Barbara
La fille d’Elliot Handler reçoit une poupée
Lilli est copiée et est fabriquée aux États-Unis
L’apparition de la bande dessinée allemande : Lilli
La poupée Barbie devient l’un des jouets les plus vendus au monde
La société Hausser veut lancer un procès contre Mattel
La société Mattel achète les droits de Lilli
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