Bevezető
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Francia középszintű érettségi 2016. május Szövegértés 1.
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Francia középszintű érettségi 2016. május Szövegértés 2.
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Francia középszintű érettségi 2016. május Szövegértés 3.
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Francia középszintű érettségi 2016. május Nyelvhelyesség 1.
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Francia középszintű érettségi 2016. május Nyelvhelyesség 2.
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Francia középszintű érettségi 2016. május Nyelvhelyesség 3.
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Francia középszintű érettségi 2016. május Hallott szövegértés 1.
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Francia középszintű érettségi 2016. május Hallott szövegértés 2.
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Francia középszintű érettségi 2016. május Hallott szövegértés 3.
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Kedves érettségire készülők! 
 
Az alábbi feladatsort gyakorlásra szánjuk. A feladatoknál helyes válaszként mindig a legoptimálisabbat adjuk meg, ettől függetlenül az érettségin elképzelhető más elfogadható megoldás is. A technikai korlátok miatt elképzelhető, hogy egyes esetekben a helyes válaszotokat nem fogadja el a rendszer. A szabad szavas válaszoknál a mondatok végére nem kell pontot tenni, a kis- és nagybetűket nem különbözteti meg a rendszer, az ékezeteket azonban igen. Ha bármelyik feladattal kapcsolatban kérdésetek lenne, keressétek bizalommal az feladatsor összeállítóját a franciatanar0911[kukac]gmail[pont]com címen!
Lisez le texte et répondez aux questions.
Un homme retrouve son chien après un an de séparation 
 
   Quand vous adoptez un chien, c’est pour la vie. Ceux qui ont des chiens chez eux connaissent bien leur amour sans pareil. Michael Herrick ne fait pas exception à la règle : son chien nommé Reece était très fidèle et tous les deux étaient de bons amis. 
   Malheureusement, Michael a connu des moments difficiles. Il y a un an, il a perdu son travail et sa maison. N’ayant plus aucun revenu et ne trouvant aucun ami de confiance pour prendre en charge Reece, Michael a fait le choix très difficile de mettre son chien dans un refuge pour animaux. 
   Pendant l’année qui suivait, Michael s’est remis sur pied : il a retrouvé un travail et un logement. Mais tous les jours, Michael pensait a son ami Reece, et espérait que son toutou vivait une vie heureuse avec une famille qui avait les moyens de l’aimer comme lui, il l’aimait. Un jour, Michael naviguait sur la page Facebook du refuge ou il avait laissé son chien. En regardant les animaux disponibles pour l’adoption, il a été frappé par la photo d’un chien qu’il connaissait bien. C’était celle de son ami Reece ! 
   Tout de suite, il est parti, direction le refuge. Compte tenu de sa nouvelle situation financière, Michael a décidé d’adopter Reece a nouveau et de ramener son ami à la maison ! 
   Le personnel était content parce qu’il ne devrait pas s’inquiéter de la famille avec laquelle Reece allait vivre. Il va sans dire que maître et chien étaient tous les deux fous de joie d’être réunis. (www.kingpet.fr)  


0 Qui est Reece ?   
 
1. Pourquoi Michael a-t-il dû abandonner son chien ?   
 
2. Qu’est-ce qu’il a fait de son chien ?   
 
3. Qu’est-ce qui est arrivé à Michael l’année d’après ?    
 
 4. Qu’est-ce que c’est qu’un toutou ?   
 
5. Comment a-t-il eu des nouvelles de Reece ?     
 
6. Quelle information a-t-il trouvée sur Reece ?    
 
7. Comment Michael a-t-il réagi à cette information ?   
 
8. Comment les retrouvailles se sont-elles passées ?    
Vous avez peur des examens ? Voici des conseils pour mieux réussir. Retrouvez la place des questions. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 Ton activité ici!
 Lis les questions! Écris la lettre de la question correcte avant le paragraphe convenable.
A Notre alimentation a-t-elle une influence sur nos capacités mentales ?
B Est-il préférable de travailler le matin, le soir ou la nuit ? 
C Afin de stimuler la mémoire, faut-il privilégier une révision régulière ou travailler d’un bloc ? 
D Quelle est la meilleure façon de mémoriser un cours ? 
E Certains jeunes consomment des produits pour doper leurs performances : ritaline, amphétamines, MDMA, vitamines. Quelle est l’efficacité de ces produits ? 
F Combien d’heures faut-il dormir en période de révision pour s’assurer une mémorisation optimale ? 
G Quelles bonnes pratiques adopter avant le coucher ? 
H La révision doit-elle être réalisée en groupe ou individuellement ?
I Il est important de gérer ses émotions lors de l’examen. Mais comment faire ?  


  9 Chacun doit trouver sa technique, mais pour cela, il faut se tester. Certains aiment s’entendre réciter, d’autres ont besoin de lire, de voir des images, d’autres encore ont besoin de bouger pour mémoriser.
 0  Une révision régulière est recommandée. Il faut laisser au cerveau le temps de faire des liens avec toutes les autres informations que nous avons dans notre cerveau.
 10 L’idéal est de faire les deux. Travailler avec des amis est très efficace, parce que cela permet d’entendre des façons de réfléchir, de mémoriser très différentes des siennes. Se questionner, se donner des « petits trucs » permet de stimuler son attention, et donc, sa mémoire.
 11 Il est important d’avoir cinq cycles de sommeil au minimum, ce qui équivaut à 7 h 30 de sommeil. Le cerveau aussi a besoin d’un temps de repos.
 12 Ce n’est pas la période de la journée qui compte, car, en période d’examens, on révise toute la
journée. Mais il est important de faire des pauses régulièrement.

 13 Ne pas boire de boissons qui contiennent de la caféine, aérer sa chambre, faire quelques mouvements, faire des exercices de respiration. Réviser avant de dormir semble être plus efficace pour l’assimilation des informations, mais tout réviser avant de dormir n’a pas de sens.
 14 Oui, bien sûr ! Lorsque le corps se développe, il a particulièrement besoin de glucose, de bons gras et d’omégas (certains poissons, les noix). Surtout, il ne faut jamais commencer une journée sans un petit-déjeuner solide. Il faut manger varié, et surtout, avoir une activité physique régulière.
  15 Quelques trucs pour le jour de l’examen : contrôler sa respiration, se parler de façon positive, surtout si les effets du stress se ressentent physiquement : transpiration, maux de ventre. Se rassurer aussi en se disant que ces phénomènes sont normaux, il s’agit de manifestations biologiques du stress.
 16 Chacun y réagit différemment. C’est une des raisons pour lesquelles il faut les éviter. Les réactions pourraient ne pas être ce que l’on imagine. 
 
 (www.lemonde.fr)
 
 
Lisez le texte.
Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les affirmations fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 
Âgée d’une trentaine d’années, Sabine Schönborn a décidé de quitter son métier pour se consacrer au « mermaiding », un sport qui consiste à « se transformer » en sirène, avec un costume et du maquillage, et à nager dans un bassin. Témoignage. 
 
 Je m’appelle Sabine Schönborn, j’ai 34 ans, je suis infirmière de formation et je donne des cours de sirène depuis presque un an. Ça peut paraître fou, mais cette nouvelle passion pour le « mermaiding » m’a sauvée d’un burn-out et elle est devenue mon nouveau métier.
 
 Je donne des cours d’initiation dans lesquels j’enseigne aux enfants et aux adultes les bases de la natation de sirène. Mes élèves sont surtout des filles entre 8 et 14 ans, mais j’ai aussi beaucoup d’adolescents, et des adultes, hommes comme femmes. Finalement, il n’y a pas d’élève type. La preuve : ma plus vieille sirène a 66 ans ! 
 
 Il n’est pas rare non plus que les pères qui viennent inscrire leur fille me demandent de tester la nage de sirène avant pour se rendre compte de l’effort physique qu’elle implique.
 
 J’apprends aussi aux filles et aux femmes à se créer des accessoires avec des fleurs et un maquillage waterproof. Le déguisement fait partie intégrante du « mermaiding ».
 
 Si le « mermaiding » est à la portée de tous, on ne peut pas le pratiquer partout. Pour mes cours, j’ai besoin d’un bassin d’au moins 4,5 mètres de profondeur car la nageoire du costume de sirène permet de descendre très rapidement. Pour les mêmes raisons, la longueur du bassin ne doit pas être trop petite.
 
 Le « mermaiding » muscle tout le corps et est un excellent entraînement physique d’endurance. Je recommande un entraînement de 60 minutes une à deux fois par semaine pour les enfants. Pour ma part, je m’entraîne jusqu’à cinq fois par semaine, à chaque fois pendant deux ou trois heures.
 
Ma famille m’a soutenue tout au long de cette folle aventure. Même si je dois avouer que mon mari était très sceptique au début, il a fini par être convaincu quand il a vu le bien que ça me faisait et le nombre de mes élèves augmenter.
 
 Malheureusement, « mermaiding » reste un sport marginal. Je ne connais d’autres professeurs qu’à travers les réseaux sociaux. Est-ce que les sirènes existent vraiment ? Je crois seulement ce que je vois. Et en ce moment, je vois beaucoup de petites, grandes et même d’hommes sirènes dans ma piscine. J’en conclus donc qu’elles existent !
 
 (www.leplus.nouvelobs.com)
  
0 Le métier de Sabine consiste à maquiller les femmes en sirènes. 


Igaz
Hamis
Lisez le texte.
Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les affirmations fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 
Âgée d’une trentaine d’années, Sabine Schönborn a décidé de quitter son métier pour se consacrer au « mermaiding », un sport qui consiste à « se transformer » en sirène, avec un costume et du maquillage, et à nager dans un bassin. Témoignage. 
 
 Je m’appelle Sabine Schönborn, j’ai 34 ans, je suis infirmière de formation et je donne des cours de sirène depuis presque un an. Ça peut paraître fou, mais cette nouvelle passion pour le « mermaiding » m’a sauvée d’un burn-out et elle est devenue mon nouveau métier.
 
 Je donne des cours d’initiation dans lesquels j’enseigne aux enfants et aux adultes les bases de la natation de sirène. Mes élèves sont surtout des filles entre 8 et 14 ans, mais j’ai aussi beaucoup d’adolescents, et des adultes, hommes comme femmes. Finalement, il n’y a pas d’élève type. La preuve : ma plus vieille sirène a 66 ans ! 
 
 Il n’est pas rare non plus que les pères qui viennent inscrire leur fille me demandent de tester la nage de sirène avant pour se rendre compte de l’effort physique qu’elle implique.
 
 J’apprends aussi aux filles et aux femmes à se créer des accessoires avec des fleurs et un maquillage waterproof. Le déguisement fait partie intégrante du « mermaiding ».
 
 Si le « mermaiding » est à la portée de tous, on ne peut pas le pratiquer partout. Pour mes cours, j’ai besoin d’un bassin d’au moins 4,5 mètres de profondeur car la nageoire du costume de sirène permet de descendre très rapidement. Pour les mêmes raisons, la longueur du bassin ne doit pas être trop petite.
 
 Le « mermaiding » muscle tout le corps et est un excellent entraînement physique d’endurance. Je recommande un entraînement de 60 minutes une à deux fois par semaine pour les enfants. Pour ma part, je m’entraîne jusqu’à cinq fois par semaine, à chaque fois pendant deux ou trois heures.
 
Ma famille m’a soutenue tout au long de cette folle aventure. Même si je dois avouer que mon mari était très sceptique au début, il a fini par être convaincu quand il a vu le bien que ça me faisait et le nombre de mes élèves augmenter.
 
 Malheureusement, « mermaiding » reste un sport marginal. Je ne connais d’autres professeurs qu’à travers les réseaux sociaux. Est-ce que les sirènes existent vraiment ? Je crois seulement ce que je vois. Et en ce moment, je vois beaucoup de petites, grandes et même d’hommes sirènes dans ma piscine. J’en conclus donc qu’elles existent !
 
 (www.leplus.nouvelobs.com)
17. Le « mermaiding » se pratique dans l’eau. 


Hamis
Igaz
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Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les affirmations fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 
Âgée d’une trentaine d’années, Sabine Schönborn a décidé de quitter son métier pour se consacrer au « mermaiding », un sport qui consiste à « se transformer » en sirène, avec un costume et du maquillage, et à nager dans un bassin. Témoignage. 
 
 Je m’appelle Sabine Schönborn, j’ai 34 ans, je suis infirmière de formation et je donne des cours de sirène depuis presque un an. Ça peut paraître fou, mais cette nouvelle passion pour le « mermaiding » m’a sauvée d’un burn-out et elle est devenue mon nouveau métier.
 
 Je donne des cours d’initiation dans lesquels j’enseigne aux enfants et aux adultes les bases de la natation de sirène. Mes élèves sont surtout des filles entre 8 et 14 ans, mais j’ai aussi beaucoup d’adolescents, et des adultes, hommes comme femmes. Finalement, il n’y a pas d’élève type. La preuve : ma plus vieille sirène a 66 ans ! 
 
 Il n’est pas rare non plus que les pères qui viennent inscrire leur fille me demandent de tester la nage de sirène avant pour se rendre compte de l’effort physique qu’elle implique.
 
 J’apprends aussi aux filles et aux femmes à se créer des accessoires avec des fleurs et un maquillage waterproof. Le déguisement fait partie intégrante du « mermaiding ».
 
 Si le « mermaiding » est à la portée de tous, on ne peut pas le pratiquer partout. Pour mes cours, j’ai besoin d’un bassin d’au moins 4,5 mètres de profondeur car la nageoire du costume de sirène permet de descendre très rapidement. Pour les mêmes raisons, la longueur du bassin ne doit pas être trop petite.
 
 Le « mermaiding » muscle tout le corps et est un excellent entraînement physique d’endurance. Je recommande un entraînement de 60 minutes une à deux fois par semaine pour les enfants. Pour ma part, je m’entraîne jusqu’à cinq fois par semaine, à chaque fois pendant deux ou trois heures.
 
Ma famille m’a soutenue tout au long de cette folle aventure. Même si je dois avouer que mon mari était très sceptique au début, il a fini par être convaincu quand il a vu le bien que ça me faisait et le nombre de mes élèves augmenter.
 
 Malheureusement, « mermaiding » reste un sport marginal. Je ne connais d’autres professeurs qu’à travers les réseaux sociaux. Est-ce que les sirènes existent vraiment ? Je crois seulement ce que je vois. Et en ce moment, je vois beaucoup de petites, grandes et même d’hommes sirènes dans ma piscine. J’en conclus donc qu’elles existent !
 
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18. Avant de devenir prof de sirène Sabine travaillait dans un tout autre métier. 


Hamis
Igaz
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Âgée d’une trentaine d’années, Sabine Schönborn a décidé de quitter son métier pour se consacrer au « mermaiding », un sport qui consiste à « se transformer » en sirène, avec un costume et du maquillage, et à nager dans un bassin. Témoignage. 
 
 Je m’appelle Sabine Schönborn, j’ai 34 ans, je suis infirmière de formation et je donne des cours de sirène depuis presque un an. Ça peut paraître fou, mais cette nouvelle passion pour le « mermaiding » m’a sauvée d’un burn-out et elle est devenue mon nouveau métier.
 
 Je donne des cours d’initiation dans lesquels j’enseigne aux enfants et aux adultes les bases de la natation de sirène. Mes élèves sont surtout des filles entre 8 et 14 ans, mais j’ai aussi beaucoup d’adolescents, et des adultes, hommes comme femmes. Finalement, il n’y a pas d’élève type. La preuve : ma plus vieille sirène a 66 ans ! 
 
 Il n’est pas rare non plus que les pères qui viennent inscrire leur fille me demandent de tester la nage de sirène avant pour se rendre compte de l’effort physique qu’elle implique.
 
 J’apprends aussi aux filles et aux femmes à se créer des accessoires avec des fleurs et un maquillage waterproof. Le déguisement fait partie intégrante du « mermaiding ».
 
 Si le « mermaiding » est à la portée de tous, on ne peut pas le pratiquer partout. Pour mes cours, j’ai besoin d’un bassin d’au moins 4,5 mètres de profondeur car la nageoire du costume de sirène permet de descendre très rapidement. Pour les mêmes raisons, la longueur du bassin ne doit pas être trop petite.
 
 Le « mermaiding » muscle tout le corps et est un excellent entraînement physique d’endurance. Je recommande un entraînement de 60 minutes une à deux fois par semaine pour les enfants. Pour ma part, je m’entraîne jusqu’à cinq fois par semaine, à chaque fois pendant deux ou trois heures.
 
Ma famille m’a soutenue tout au long de cette folle aventure. Même si je dois avouer que mon mari était très sceptique au début, il a fini par être convaincu quand il a vu le bien que ça me faisait et le nombre de mes élèves augmenter.
 
 Malheureusement, « mermaiding » reste un sport marginal. Je ne connais d’autres professeurs qu’à travers les réseaux sociaux. Est-ce que les sirènes existent vraiment ? Je crois seulement ce que je vois. Et en ce moment, je vois beaucoup de petites, grandes et même d’hommes sirènes dans ma piscine. J’en conclus donc qu’elles existent !
 
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19. C’est un sport qui n’est recommandé que pour les filles entre 8 et 14 ans.


Igaz
Hamis
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Âgée d’une trentaine d’années, Sabine Schönborn a décidé de quitter son métier pour se consacrer au « mermaiding », un sport qui consiste à « se transformer » en sirène, avec un costume et du maquillage, et à nager dans un bassin. Témoignage. 
 
 Je m’appelle Sabine Schönborn, j’ai 34 ans, je suis infirmière de formation et je donne des cours de sirène depuis presque un an. Ça peut paraître fou, mais cette nouvelle passion pour le « mermaiding » m’a sauvée d’un burn-out et elle est devenue mon nouveau métier.
 
 Je donne des cours d’initiation dans lesquels j’enseigne aux enfants et aux adultes les bases de la natation de sirène. Mes élèves sont surtout des filles entre 8 et 14 ans, mais j’ai aussi beaucoup d’adolescents, et des adultes, hommes comme femmes. Finalement, il n’y a pas d’élève type. La preuve : ma plus vieille sirène a 66 ans ! 
 
 Il n’est pas rare non plus que les pères qui viennent inscrire leur fille me demandent de tester la nage de sirène avant pour se rendre compte de l’effort physique qu’elle implique.
 
 J’apprends aussi aux filles et aux femmes à se créer des accessoires avec des fleurs et un maquillage waterproof. Le déguisement fait partie intégrante du « mermaiding ».
 
 Si le « mermaiding » est à la portée de tous, on ne peut pas le pratiquer partout. Pour mes cours, j’ai besoin d’un bassin d’au moins 4,5 mètres de profondeur car la nageoire du costume de sirène permet de descendre très rapidement. Pour les mêmes raisons, la longueur du bassin ne doit pas être trop petite.
 
 Le « mermaiding » muscle tout le corps et est un excellent entraînement physique d’endurance. Je recommande un entraînement de 60 minutes une à deux fois par semaine pour les enfants. Pour ma part, je m’entraîne jusqu’à cinq fois par semaine, à chaque fois pendant deux ou trois heures.
 
Ma famille m’a soutenue tout au long de cette folle aventure. Même si je dois avouer que mon mari était très sceptique au début, il a fini par être convaincu quand il a vu le bien que ça me faisait et le nombre de mes élèves augmenter.
 
 Malheureusement, « mermaiding » reste un sport marginal. Je ne connais d’autres professeurs qu’à travers les réseaux sociaux. Est-ce que les sirènes existent vraiment ? Je crois seulement ce que je vois. Et en ce moment, je vois beaucoup de petites, grandes et même d’hommes sirènes dans ma piscine. J’en conclus donc qu’elles existent !
 
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20. A cause de l’effort physique qu’il demande, ce sport est conseillé plutôt aux pères de familles.


Hamis
Igaz
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Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les affirmations fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 
Âgée d’une trentaine d’années, Sabine Schönborn a décidé de quitter son métier pour se consacrer au « mermaiding », un sport qui consiste à « se transformer » en sirène, avec un costume et du maquillage, et à nager dans un bassin. Témoignage. 
 
 Je m’appelle Sabine Schönborn, j’ai 34 ans, je suis infirmière de formation et je donne des cours de sirène depuis presque un an. Ça peut paraître fou, mais cette nouvelle passion pour le « mermaiding » m’a sauvée d’un burn-out et elle est devenue mon nouveau métier.
 
 Je donne des cours d’initiation dans lesquels j’enseigne aux enfants et aux adultes les bases de la natation de sirène. Mes élèves sont surtout des filles entre 8 et 14 ans, mais j’ai aussi beaucoup d’adolescents, et des adultes, hommes comme femmes. Finalement, il n’y a pas d’élève type. La preuve : ma plus vieille sirène a 66 ans ! 
 
 Il n’est pas rare non plus que les pères qui viennent inscrire leur fille me demandent de tester la nage de sirène avant pour se rendre compte de l’effort physique qu’elle implique.
 
 J’apprends aussi aux filles et aux femmes à se créer des accessoires avec des fleurs et un maquillage waterproof. Le déguisement fait partie intégrante du « mermaiding ».
 
 Si le « mermaiding » est à la portée de tous, on ne peut pas le pratiquer partout. Pour mes cours, j’ai besoin d’un bassin d’au moins 4,5 mètres de profondeur car la nageoire du costume de sirène permet de descendre très rapidement. Pour les mêmes raisons, la longueur du bassin ne doit pas être trop petite.
 
 Le « mermaiding » muscle tout le corps et est un excellent entraînement physique d’endurance. Je recommande un entraînement de 60 minutes une à deux fois par semaine pour les enfants. Pour ma part, je m’entraîne jusqu’à cinq fois par semaine, à chaque fois pendant deux ou trois heures.
 
Ma famille m’a soutenue tout au long de cette folle aventure. Même si je dois avouer que mon mari était très sceptique au début, il a fini par être convaincu quand il a vu le bien que ça me faisait et le nombre de mes élèves augmenter.
 
 Malheureusement, « mermaiding » reste un sport marginal. Je ne connais d’autres professeurs qu’à travers les réseaux sociaux. Est-ce que les sirènes existent vraiment ? Je crois seulement ce que je vois. Et en ce moment, je vois beaucoup de petites, grandes et même d’hommes sirènes dans ma piscine. J’en conclus donc qu’elles existent !
 
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21. Le costume et le maquillage représentent une partie importante de ce sport.


Hamis
Igaz
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Âgée d’une trentaine d’années, Sabine Schönborn a décidé de quitter son métier pour se consacrer au « mermaiding », un sport qui consiste à « se transformer » en sirène, avec un costume et du maquillage, et à nager dans un bassin. Témoignage. 
 
 Je m’appelle Sabine Schönborn, j’ai 34 ans, je suis infirmière de formation et je donne des cours de sirène depuis presque un an. Ça peut paraître fou, mais cette nouvelle passion pour le « mermaiding » m’a sauvée d’un burn-out et elle est devenue mon nouveau métier.
 
 Je donne des cours d’initiation dans lesquels j’enseigne aux enfants et aux adultes les bases de la natation de sirène. Mes élèves sont surtout des filles entre 8 et 14 ans, mais j’ai aussi beaucoup d’adolescents, et des adultes, hommes comme femmes. Finalement, il n’y a pas d’élève type. La preuve : ma plus vieille sirène a 66 ans ! 
 
 Il n’est pas rare non plus que les pères qui viennent inscrire leur fille me demandent de tester la nage de sirène avant pour se rendre compte de l’effort physique qu’elle implique.
 
 J’apprends aussi aux filles et aux femmes à se créer des accessoires avec des fleurs et un maquillage waterproof. Le déguisement fait partie intégrante du « mermaiding ».
 
 Si le « mermaiding » est à la portée de tous, on ne peut pas le pratiquer partout. Pour mes cours, j’ai besoin d’un bassin d’au moins 4,5 mètres de profondeur car la nageoire du costume de sirène permet de descendre très rapidement. Pour les mêmes raisons, la longueur du bassin ne doit pas être trop petite.
 
 Le « mermaiding » muscle tout le corps et est un excellent entraînement physique d’endurance. Je recommande un entraînement de 60 minutes une à deux fois par semaine pour les enfants. Pour ma part, je m’entraîne jusqu’à cinq fois par semaine, à chaque fois pendant deux ou trois heures.
 
Ma famille m’a soutenue tout au long de cette folle aventure. Même si je dois avouer que mon mari était très sceptique au début, il a fini par être convaincu quand il a vu le bien que ça me faisait et le nombre de mes élèves augmenter.
 
 Malheureusement, « mermaiding » reste un sport marginal. Je ne connais d’autres professeurs qu’à travers les réseaux sociaux. Est-ce que les sirènes existent vraiment ? Je crois seulement ce que je vois. Et en ce moment, je vois beaucoup de petites, grandes et même d’hommes sirènes dans ma piscine. J’en conclus donc qu’elles existent !
 
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22. On peut pratiquer le « mermaiding » dans n’importe quel bassin parce que le costume de sirène permet de descendre très rapidement. 


Hamis
Igaz
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Âgée d’une trentaine d’années, Sabine Schönborn a décidé de quitter son métier pour se consacrer au « mermaiding », un sport qui consiste à « se transformer » en sirène, avec un costume et du maquillage, et à nager dans un bassin. Témoignage. 
 
 Je m’appelle Sabine Schönborn, j’ai 34 ans, je suis infirmière de formation et je donne des cours de sirène depuis presque un an. Ça peut paraître fou, mais cette nouvelle passion pour le « mermaiding » m’a sauvée d’un burn-out et elle est devenue mon nouveau métier.
 
 Je donne des cours d’initiation dans lesquels j’enseigne aux enfants et aux adultes les bases de la natation de sirène. Mes élèves sont surtout des filles entre 8 et 14 ans, mais j’ai aussi beaucoup d’adolescents, et des adultes, hommes comme femmes. Finalement, il n’y a pas d’élève type. La preuve : ma plus vieille sirène a 66 ans ! 
 
 Il n’est pas rare non plus que les pères qui viennent inscrire leur fille me demandent de tester la nage de sirène avant pour se rendre compte de l’effort physique qu’elle implique.
 
 J’apprends aussi aux filles et aux femmes à se créer des accessoires avec des fleurs et un maquillage waterproof. Le déguisement fait partie intégrante du « mermaiding ».
 
 Si le « mermaiding » est à la portée de tous, on ne peut pas le pratiquer partout. Pour mes cours, j’ai besoin d’un bassin d’au moins 4,5 mètres de profondeur car la nageoire du costume de sirène permet de descendre très rapidement. Pour les mêmes raisons, la longueur du bassin ne doit pas être trop petite.
 
 Le « mermaiding » muscle tout le corps et est un excellent entraînement physique d’endurance. Je recommande un entraînement de 60 minutes une à deux fois par semaine pour les enfants. Pour ma part, je m’entraîne jusqu’à cinq fois par semaine, à chaque fois pendant deux ou trois heures.
 
Ma famille m’a soutenue tout au long de cette folle aventure. Même si je dois avouer que mon mari était très sceptique au début, il a fini par être convaincu quand il a vu le bien que ça me faisait et le nombre de mes élèves augmenter.
 
 Malheureusement, « mermaiding » reste un sport marginal. Je ne connais d’autres professeurs qu’à travers les réseaux sociaux. Est-ce que les sirènes existent vraiment ? Je crois seulement ce que je vois. Et en ce moment, je vois beaucoup de petites, grandes et même d’hommes sirènes dans ma piscine. J’en conclus donc qu’elles existent !
 
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23. Le « mermaiding » rend forts les bras et les jambes aussi. 


Igaz
Hamis
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Âgée d’une trentaine d’années, Sabine Schönborn a décidé de quitter son métier pour se consacrer au « mermaiding », un sport qui consiste à « se transformer » en sirène, avec un costume et du maquillage, et à nager dans un bassin. Témoignage. 
 
 Je m’appelle Sabine Schönborn, j’ai 34 ans, je suis infirmière de formation et je donne des cours de sirène depuis presque un an. Ça peut paraître fou, mais cette nouvelle passion pour le « mermaiding » m’a sauvée d’un burn-out et elle est devenue mon nouveau métier.
 
 Je donne des cours d’initiation dans lesquels j’enseigne aux enfants et aux adultes les bases de la natation de sirène. Mes élèves sont surtout des filles entre 8 et 14 ans, mais j’ai aussi beaucoup d’adolescents, et des adultes, hommes comme femmes. Finalement, il n’y a pas d’élève type. La preuve : ma plus vieille sirène a 66 ans ! 
 
 Il n’est pas rare non plus que les pères qui viennent inscrire leur fille me demandent de tester la nage de sirène avant pour se rendre compte de l’effort physique qu’elle implique.
 
 J’apprends aussi aux filles et aux femmes à se créer des accessoires avec des fleurs et un maquillage waterproof. Le déguisement fait partie intégrante du « mermaiding ».
 
 Si le « mermaiding » est à la portée de tous, on ne peut pas le pratiquer partout. Pour mes cours, j’ai besoin d’un bassin d’au moins 4,5 mètres de profondeur car la nageoire du costume de sirène permet de descendre très rapidement. Pour les mêmes raisons, la longueur du bassin ne doit pas être trop petite.
 
 Le « mermaiding » muscle tout le corps et est un excellent entraînement physique d’endurance. Je recommande un entraînement de 60 minutes une à deux fois par semaine pour les enfants. Pour ma part, je m’entraîne jusqu’à cinq fois par semaine, à chaque fois pendant deux ou trois heures.
 
Ma famille m’a soutenue tout au long de cette folle aventure. Même si je dois avouer que mon mari était très sceptique au début, il a fini par être convaincu quand il a vu le bien que ça me faisait et le nombre de mes élèves augmenter.
 
 Malheureusement, « mermaiding » reste un sport marginal. Je ne connais d’autres professeurs qu’à travers les réseaux sociaux. Est-ce que les sirènes existent vraiment ? Je crois seulement ce que je vois. Et en ce moment, je vois beaucoup de petites, grandes et même d’hommes sirènes dans ma piscine. J’en conclus donc qu’elles existent !
 
 (www.leplus.nouvelobs.com)
24. Sabine conseille aux enfants de s’entraîner tous les jours, jusqu’à 5 fois par semaine. 


Igaz
Hamis
Lisez le texte.
Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les affirmations fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 
Âgée d’une trentaine d’années, Sabine Schönborn a décidé de quitter son métier pour se consacrer au « mermaiding », un sport qui consiste à « se transformer » en sirène, avec un costume et du maquillage, et à nager dans un bassin. Témoignage. 
 
 Je m’appelle Sabine Schönborn, j’ai 34 ans, je suis infirmière de formation et je donne des cours de sirène depuis presque un an. Ça peut paraître fou, mais cette nouvelle passion pour le « mermaiding » m’a sauvée d’un burn-out et elle est devenue mon nouveau métier.
 
 Je donne des cours d’initiation dans lesquels j’enseigne aux enfants et aux adultes les bases de la natation de sirène. Mes élèves sont surtout des filles entre 8 et 14 ans, mais j’ai aussi beaucoup d’adolescents, et des adultes, hommes comme femmes. Finalement, il n’y a pas d’élève type. La preuve : ma plus vieille sirène a 66 ans ! 
 
 Il n’est pas rare non plus que les pères qui viennent inscrire leur fille me demandent de tester la nage de sirène avant pour se rendre compte de l’effort physique qu’elle implique.
 
 J’apprends aussi aux filles et aux femmes à se créer des accessoires avec des fleurs et un maquillage waterproof. Le déguisement fait partie intégrante du « mermaiding ».
 
 Si le « mermaiding » est à la portée de tous, on ne peut pas le pratiquer partout. Pour mes cours, j’ai besoin d’un bassin d’au moins 4,5 mètres de profondeur car la nageoire du costume de sirène permet de descendre très rapidement. Pour les mêmes raisons, la longueur du bassin ne doit pas être trop petite.
 
 Le « mermaiding » muscle tout le corps et est un excellent entraînement physique d’endurance. Je recommande un entraînement de 60 minutes une à deux fois par semaine pour les enfants. Pour ma part, je m’entraîne jusqu’à cinq fois par semaine, à chaque fois pendant deux ou trois heures.
 
Ma famille m’a soutenue tout au long de cette folle aventure. Même si je dois avouer que mon mari était très sceptique au début, il a fini par être convaincu quand il a vu le bien que ça me faisait et le nombre de mes élèves augmenter.
 
 Malheureusement, « mermaiding » reste un sport marginal. Je ne connais d’autres professeurs qu’à travers les réseaux sociaux. Est-ce que les sirènes existent vraiment ? Je crois seulement ce que je vois. Et en ce moment, je vois beaucoup de petites, grandes et même d’hommes sirènes dans ma piscine. J’en conclus donc qu’elles existent !
 
 (www.leplus.nouvelobs.com)
25. Au début, le mari de Sabine ne croyait pas vraiment à la carrière de prof de sirène de sa femme.


Igaz
Hamis
Lisez le texte.
Mettez un V pour les affirmations vraies et un F pour les affirmations fausses. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 
Âgée d’une trentaine d’années, Sabine Schönborn a décidé de quitter son métier pour se consacrer au « mermaiding », un sport qui consiste à « se transformer » en sirène, avec un costume et du maquillage, et à nager dans un bassin. Témoignage. 
 
 Je m’appelle Sabine Schönborn, j’ai 34 ans, je suis infirmière de formation et je donne des cours de sirène depuis presque un an. Ça peut paraître fou, mais cette nouvelle passion pour le « mermaiding » m’a sauvée d’un burn-out et elle est devenue mon nouveau métier.
 
 Je donne des cours d’initiation dans lesquels j’enseigne aux enfants et aux adultes les bases de la natation de sirène. Mes élèves sont surtout des filles entre 8 et 14 ans, mais j’ai aussi beaucoup d’adolescents, et des adultes, hommes comme femmes. Finalement, il n’y a pas d’élève type. La preuve : ma plus vieille sirène a 66 ans ! 
 
 Il n’est pas rare non plus que les pères qui viennent inscrire leur fille me demandent de tester la nage de sirène avant pour se rendre compte de l’effort physique qu’elle implique.
 
 J’apprends aussi aux filles et aux femmes à se créer des accessoires avec des fleurs et un maquillage waterproof. Le déguisement fait partie intégrante du « mermaiding ».
 
 Si le « mermaiding » est à la portée de tous, on ne peut pas le pratiquer partout. Pour mes cours, j’ai besoin d’un bassin d’au moins 4,5 mètres de profondeur car la nageoire du costume de sirène permet de descendre très rapidement. Pour les mêmes raisons, la longueur du bassin ne doit pas être trop petite.
 
 Le « mermaiding » muscle tout le corps et est un excellent entraînement physique d’endurance. Je recommande un entraînement de 60 minutes une à deux fois par semaine pour les enfants. Pour ma part, je m’entraîne jusqu’à cinq fois par semaine, à chaque fois pendant deux ou trois heures.
 
Ma famille m’a soutenue tout au long de cette folle aventure. Même si je dois avouer que mon mari était très sceptique au début, il a fini par être convaincu quand il a vu le bien que ça me faisait et le nombre de mes élèves augmenter.
 
 Malheureusement, « mermaiding » reste un sport marginal. Je ne connais d’autres professeurs qu’à travers les réseaux sociaux. Est-ce que les sirènes existent vraiment ? Je crois seulement ce que je vois. Et en ce moment, je vois beaucoup de petites, grandes et même d’hommes sirènes dans ma piscine. J’en conclus donc qu’elles existent !
 
 (www.leplus.nouvelobs.com)
26. Le « mermaiding » est un sport très répandu.  


Igaz
Hamis
Mettez les verbes entre parenthèses à la forme qui convient. Écrivez vos réponses sur les lignes. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 Ton activité ici:
 Écris la forme convenable des verbes entre parenthèses dans les cases vides.
Il a retrouvé mon alliance !



   Pour fêter mon anniversaire, j’ai organisé une grande journée avec mes amis dans un immense parc à plusieurs
kilomètres de chez nous. Il (faire)    un temps magnifique, donc, après le déjeuner, nous (sortir)   faire un foot entre hommes comme au bon vieux temps. J’ai retiré mon alliance de peur de l’abîmer et je/j’ (la mettre)   dans la poche de mon pantalon.
 
    Le soir, en rentrant, je me suis aperçu que je/j’ (oublier)    de la remettre. J’ai glissé ma main dans la poche de mon pantalon mais elle (ne plus y être)   . Un copain m’a proposé de retourner sur place. J’ai téléphoné à ma femme et je/j’ (lui dire)    que je/j’ (rentrer)    plus tard que prévu. Sur place, nous (passer)    près d’une heure à la chercher, sans résultat. Tous mes espoirs (s’envoler)   . J’ai quand même décidé de laisser un petit mot avec mon numéro de téléphone à l’entrée du parc. 
 
   Trois semaines plus tard, un véritable miracle (se produire)   . Un homme (me téléphoner)    pour m’annoncer qu’il (retrouver)    mon alliance. Et puis, il a ajouté : « J’ai un loisir. Le week-end, je m’amuse à aller fouiller le sol des parcs avec mon détecteur de métaux à la recherche de petites choses oubliées. Je/J’ (voir)    votre petit mot, je/j’ (sortir)    mon détecteur pour retrouver votre alliance et ça a marché ! »
Incroyable !
 
 (www.maxi-mag.fr)  
Mettez les prépositions enlevées du texte à leur place ! La réponse 0 vous servira d’exemple.
 Ton activité ici:
 Fais les pairs!  Les préositions vont avec les chiffres!
La pollution sonore : le bruit
 
Une étude montre que le bruit est la pire des nuisances pour les Français. Pas facile de lutter 14 la pollution sonore ! « J’habite 15 deux ans 0/près d' une autoroute. Le bruit de cette voie rapide m’a rendue très irritable, je dors mal et quand je me réveille le matin, j’ai très mal 16 la tête. Nous sommes aussi propriétaires d’une petite maison située 17 une discothèque, donc les week-ends sont aussi insupportables ». Et ce n’est pas une question d’âge : les jeunes comme les moins jeunes affirment que le bruit est le principal problème de leur vie. Même à la campagne, réputée calme, c’est pareil. 18 travail, ce n’est pas mieux, surtout depuis le développement des « open space », ces bureaux ouverts qui devraient motiver la communication 19 les employés. Le problème est très peu réglementé 20 les autorités. Au fait, comment faire baisser le volume d’une voie rapide, d’une famille de voisins ou d’une discothèque ? Pas facile ! Et pourtant, ce n’est pas seulement une question de confort mais aussi de santé. Chaque année, plus de 1000 personnes deviennent sourdes 21 leur environnement bruyant.
 
 (www.geoado.com/actualites) 


K A CAUSE DE/D’ 19
E DEPUIS 17
H PAR 16
D À 15
G CONTRE 18
B A CÔTE DE/D’ 14
F AU 20
A ENTRE 21
Lisez le texte de l’Association Les Papillons blancs.
 Mettez les verbes entre parenthèses au conditionnel. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 Ton activité ici:
 Écris la forme conditionnelle des verbes entre parenthèses dans les cases vides.


Nous avons demandé à des enfants de laisser libre cours à leurs rêves en imaginant ce qu’ils (pouvoir)    changer dans le monde s’ils en avaient la possibilité.
 
Si j’étais… 
 
 Président de la République
« Si j’étais Président de la République, je/j’ (être)    élu par le peuple de France. Je/J’ (donner)    du travail à
tout le monde, ce n’est pas normal que tant de gens ne puissent pas gagner leur vie. Je/J’ (faire)   donc, avec mon
premier ministre, des propositions concernant le chômage, ça ne trainerait pas. Je donnerais une prime aux agriculteurs qui le méritent car leur travail est difficile. Je/J’ (aller)   aussi à la rencontre des Français dans leurs villes et je/j’ (envoyer)   à manger à ceux qui n’en ont pas. Je/J’ (rencontrer)   aussi des enfants défavorisés. Avec moi, ils (partir)   en vacances l’été et l’hiver. A ce sujet, je/j’ (vouloir)   recevoir le Président de
l’Association des Papillons Rouges pour lui présenter mon programme. » 
 
 (www.papillonsblancs91.fr)  
Vous allez entendre un texte sur la libre circulation des citoyens de l’Union Européenne en Europe. Lisez les questions. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Répondez par « oui » ou « non ». La réponse 0 vous servira d’exemple.
  Voici le contenu sonore:
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_kozep/k_francia_16maj_fl.mp3
 3:15
Le voyageur français doit-il...
0 avoir le passeport en plus de sa carte d’identité pour aller dans les États membres de l’Union Européenne?



oui
non
Vous allez entendre un texte sur la libre circulation des citoyens de l’Union Européenne en Europe. Lisez les questions. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Répondez par « oui » ou « non ». La réponse 0 vous servira d’exemple.
  Voici le contenu sonore:
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_kozep/k_francia_16maj_fl.mp3
 3:15
1. montrer une pièce d’identité a la frontière allemande ?


non
oui
Vous allez entendre un texte sur la libre circulation des citoyens de l’Union Européenne en Europe. Lisez les questions. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Répondez par « oui » ou « non ». La réponse 0 vous servira d’exemple.
  Voici le contenu sonore:
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_kozep/k_francia_16maj_fl.mp3
 3:15
3. changer d’argent en allant au Royaume Uni ?


non
oui
Vous allez entendre un texte sur la libre circulation des citoyens de l’Union Européenne en Europe. Lisez les questions. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Répondez par « oui » ou « non ». La réponse 0 vous servira d’exemple.
  Voici le contenu sonore:
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_kozep/k_francia_16maj_fl.mp3
 3:15
4. montrer une pièce d’identité en allant en Norvège ?


non
oui
Vous allez entendre un texte sur la libre circulation des citoyens de l’Union Européenne en Europe. Lisez les questions. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Répondez par « oui » ou « non ». La réponse 0 vous servira d’exemple.
  Voici le contenu sonore:
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_kozep/k_francia_16maj_fl.mp3
 3:15
5. changer d’argent en allant en Norvège ? 


oui
non
Vous allez entendre un texte sur la libre circulation des citoyens de l’Union Européenne en Europe. Lisez les questions. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Répondez par « oui » ou « non ». La réponse 0 vous servira d’exemple.
  Voici le contenu sonore:
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_kozep/k_francia_16maj_fl.mp3
 3:15
6. montrer une pièce d’identité en allant en Suisse ?


non
oui
Vous allez entendre un texte sur la libre circulation des citoyens de l’Union Européenne en Europe. Lisez les questions. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Répondez par « oui » ou « non ». La réponse 0 vous servira d’exemple.
  Voici le contenu sonore:
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_kozep/k_francia_16maj_fl.mp3
 3:15
7. montrer ses bagages a la frontière suisse ? 


oui
non
Vous allez entendre un texte sur la libre circulation des citoyens de l’Union Européenne en Europe. Lisez les questions. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Répondez par « oui » ou « non ». La réponse 0 vous servira d’exemple.
  Voici le contenu sonore:
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_kozep/k_francia_16maj_fl.mp3
 3:15
8. montrer une pièce d’identité en allant au Monaco ? 


non
oui
Vous allez entendre un texte sur la libre circulation des citoyens de l’Union Européenne en Europe. Lisez les questions. Ensuite, vous entendrez le texte deux fois. Répondez par « oui » ou « non ». La réponse 0 vous servira d’exemple.
  Voici le contenu sonore:
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_kozep/k_francia_16maj_fl.mp3
 3:15
2. montrer une pièce d’identité en allant au Royaume-Uni ? 


oui
non
Vous allez entendre le témoignage de Marie qui est partie à l’étranger pour un an. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Puis, vous écouterez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 Voici le contenu sonore: https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_kozep/k_francia_16maj_fl.mp3
 12:20
0 Elle est partie pour un an


A en Suisse
C en Allemagne
B en Italie
Vous allez entendre le témoignage de Marie qui est partie à l’étranger pour un an. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Puis, vous écouterez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 Voici le contenu sonore: https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_kozep/k_francia_16maj_fl.mp3
 12:20
10. Quand sa mère lui a parlé du départ, elle était plutôt


C triste
A contente
B indifférente
Vous allez entendre le témoignage de Marie qui est partie à l’étranger pour un an. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Puis, vous écouterez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
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 12:20
11. Les voyages scolaires allemands et les voyages scolaires français


B se ressemblent un peu
A se ressemblent beaucoup
C sont très différents
Vous allez entendre le témoignage de Marie qui est partie à l’étranger pour un an. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Puis, vous écouterez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
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 12:20
12. Les professeurs français organisent un voyage scolaire pour


A se reposer
C mieux connaître leurs élèves
B enseigner des choses à leurs élèves
Vous allez entendre le témoignage de Marie qui est partie à l’étranger pour un an. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Puis, vous écouterez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 Voici le contenu sonore: https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_kozep/k_francia_16maj_fl.mp3
 12:20
13. Les professeurs allemands organisent un voyage scolaire pour


A rendre les élèves plus autonomes
C se reposer
B apprendre la discipline à leurs élèves
Vous allez entendre le témoignage de Marie qui est partie à l’étranger pour un an. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Puis, vous écouterez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 Voici le contenu sonore: https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_kozep/k_francia_16maj_fl.mp3
 12:20
14. Le meilleur souvenir que Marie garde de son voyage scolaire allemand est


A une soirée pyjama
B une visite de château
C une excursion de nuit
Vous allez entendre le témoignage de Marie qui est partie à l’étranger pour un an. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Puis, vous écouterez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 Voici le contenu sonore: https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_kozep/k_francia_16maj_fl.mp3
 12:20
15. Apres une année passée dans une classe allemande, elle


B a regretté de quitter sa classe allemande
A a été heureuse de retrouver sa classe française
C a décidé de passer une année a Londres
Vous allez entendre le témoignage de Marie qui est partie à l’étranger pour un an. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Puis, vous écouterez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 Voici le contenu sonore: https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_kozep/k_francia_16maj_fl.mp3
 12:20
16. Ce qui lui manquait le plus pendant son voyage scolaire français, c’est


B la coopération à la préparation du voyage
A la bonne ambiance de la classe
C la sécurité des élèves
Vous allez entendre le témoignage de Marie qui est partie à l’étranger pour un an. Avant les écoutes, lisez les affirmations. Puis, vous écouterez le texte deux fois. Choisissez la bonne réponse. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 Voici le contenu sonore: https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_kozep/k_francia_16maj_fl.mp3
 12:20
9. Quand Marie est partie à l’étranger avec sa mère, elle avait


A 10 ans
B 12 ans
C 14 ans
Prendre un verre avant le repas fait partie des habitudes françaises. Vous allez entendre un reportage avec Caroline qui parle des apéros géants. Avant les écoutes, lisez les questions. Ensuite, vous entendrez le reportage deux fois. Répondez aux questions. La réponse 0 vous servira d’exemple.
 Voici le contenu sonore:
 https://dload-oktatas.educatio.hu/erettsegi/feladatok_2016tavasz_kozep/k_francia_16maj_fl.mp3 23:05


17. Comment un apéro géant s’organise-t-il ?   

18. D’où viennent les boissons ?   
  
19. Où l’événement se passe-t-il ?   
 
0 Quand le dernier apéro géant a-t-il eu lieu ?   
 
20. Pourquoi les pompiers sont-ils venus pendant la fête ?     
  
 21. Qu’est-ce qui s’est passé le lendemain ?    
 
22. Combien de fois Caroline a-t-elle déjà participé à des apéros géants ?   
23. Selon Caroline, quels sont les avantages de cet événement ?      (Donnez deux avantages.) 
 
  24. Pourquoi y a-t-il des problèmes ?    
A foglalkozás befejeződött.

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